Chapitre 43.

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3 ans ont passé, Henri, notre fils Richard qui est maintenant âgé de 3 ans et moi-même jouons dans les jardins du château. C'est alors qu'un messager arrive en courant vers nous.

Mon Roi ! Cria-t-il.

Henri se tourne vers lui en le regardant, lui faisant comprendre qu'il n'aimait pas être déranger.

Que se passe-t-il ? Pourquoi toute cette agitation ?!

C'est l'Empereur Charles ! Nos hommes ont vus plusieurs navires de guerre Espagnol sur le territoire Anglais ! Expliqua le messager en panique.

Je vous demande pardon ! Répond mon mari avec colère. Comment ont-ils pu s'introduire sur mon territoire ! Continu-t-il en s'approchant du garde, avec un regard menaçant.

Je ne...

Répondez ! Cria-t-il.

Henri ! Calmez-vous, je vous en prie, vous faîtes peur à notre fils. Dis-je prenant Richard dans mes bras.

Henri se tourne vers nous, puis soupire avant de s'approcher de nous, il embrasse sur le haut de la tête de Richard et m'embrasse sur les lèvres.

Je suis désolé de m'être emporter. Répond-t-il avec douceur.

Il se tourne à nouveau vers le messager, celui-ci tremble de peur.

Réunissez tout de suite le conseil, je veux que dans 1 heure tout le monde sois rassemblé dans la salle du trône. Dit le roi d'une voix calme.

Le messager acquit de la tête et court prévenir tout le conseil. Le roi se tourne à nouveau vers moi, quant à moi, je me rends compte que la guerre à commencer aujourd'hui et je sais que je pourrais perdre à tout moment l'amour de ma vie. Nous nous dirigeons vers nos appartements pour y déposer Richard à Isabelle. Puis nous nous dirigeons tous les deux dans la salle du trône. Quelques minutes plus tard, tout le monde furent rassembler devant nous.

Comme vous le savez mes amis, je vous ai rassemblé parce que l'Empereur Charles s'est introduit sur nos terre. L'Empereur accepte de faire la guerre contre nous en entrant en Angleterre. Mais ce que j'aimerais savoir avant tout est comment se peut-il qu'il ait réussi à passer nos frontière, alors que celle-ci sont lourdement garder. Qui étaient les hommes chargé de cette affaire ? Demande le roi.

C'était mes hommes. Répond Charles Brandon d'une voix dure.

Et comment se fait-il qu'il ait réussit à passer ? Demande le roi d'une voix dure.

Je ne sais point mon roi... Mais je dois vous avouer qu'il y avait un petit nouveau dans mes rangs. Réponds Charles en baissant la tête.

Un petit nouveau ? Demande le roi. Et pourquoi je n'ai pas été au courant ? Demande-t-il.

Pourtant il disait que vous avez acceptez son affectation et de plus, il y avait une lettre avec votre signature. Répond Charles.

Je vois dans les iris de mon mari qu'il pourrait à tout moment péter les plombs. Je prends l'initiative de poser une main sur sa cuisse ce qui a le don de le calmer légèrement.

Comment était cet homme ? Demande le roi.

Il est blond aux yeux bleu, assez enfantin de taille moyenne et il s'appelle Victor. Répond Charles Brandon.

Henri parle dans sa barbe. Mais prononce un nom qui ne m'est pas inconnu.

Maudit Duc de Buckingham !

Faîtes le venir... Immédiatement ! Répond-t-il sombrement.

Bien !

Charles sort de la pièce, quant à moi je regarde mon mari, celui-ci est plutôt calme.

Qui est ce Victor ? Je ne le connais pas...

Quelques minutes plus tard, Charles revient avec un jeune garçon blond, il est habillé d'une simple chemise blanche et d'un pantalon.

Vos altesses... Dit le jeune garçon, tout en ce prosternant devant nous.

Êtes-vous Victor ? Demande Henri.

C'est exact. Répond-t-il.

Avez-vous un lien de famille avec le Duc de Buckingham ? Demande Henri.

Victor relève la tête surprit.

Je n'ai aucun lien de famille avec le Duc...

NE ME MENTEZ PAS ! Hurla Henri tout en se relevant de son trône, prêt à bondir sur l'individu.

Celui-ci sursaute, mais reste à sa place.

Je vous assure que je ne vous mens pas, majesté... Répond-t-il simplement.

Pourtant, le Duc à un neveu du nom de Victor, et il a la même description que vous ! Répond le roi.

Je comprends votre méfiance, mais je vous assure que je ne suis pas son neveu et que je n'ai aucun lien de famille avec le Duc. Répond-t-il.

Henri s'approche de lui, arrivé à ses pied, il le prend par le col de sa chemise.

Si jamais, je vous revois faire une patrouille et que vous laissez une fois de plus passez l'ennemi, neveu ou non du Duc, je vous ferez décapiter ! Dit le roi d'une voix menaçante. Ai-ce bien clair ? Lui demande-t-il.

Oui, majesté... Répond-t-il ayant une certaine crainte dans ses yeux.

Henri le lâcha, se retourne pour se rassoir sur le trône, mais entre-temps, je vis ce jeune garçon, sourire comme si qu'il avait gagné la partit...

J'ai comme l'impression que cela ne fait que commencer...

Charles, j'aimerais que vous envoyiez une lettre au roi de France en expliquant qu'on aura besoin de lui, et faîtes maintenant. Demain, nous partirons pour chasser l'Empereur Charles de nos terres ! Répond Henri d'une voix dure.

Quoi ?!

Tout le monde criaient de joie en disant à mort l'Empereur Charles, quant à moi l'angoisse monta en moi, car je savais qu'il allait aussi partir en guerre au côté de ses hommes, surtout, je ne savais pas comment lui annoncer la nouvelle d'un nouvel enfant au sein de notre famille.

A Travers Le Temps. Tome 2, l'Âge des Tudors. (Terminer, Non corriger).Où les histoires vivent. Découvrez maintenant