Chapitre 57.

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Après cette révélation choquante, le roi de France demande à la famille Médicis de venir dans le bureau étant donné qu'ils sont déjà dans le pays depuis un peu plus longtemps que nous. Dans la pièce, il y a Henri, François, mon fils Richard, moi-même, une femme d'un âge avancée ayant des cheveux blond bouclé habillée de la mode italienne, elle est accompagnée d'une jeune fille de l'âge de mon fils Richard. Celle-ci est une belle petite fille blonde ayant des yeux bleus, une peau blanche, habillée de la mode italienne.

Henri, Charlotte, je vous présente Clarisse de Médicis, dit-il en désignant la femme d'un âge avancé. Et je vous présente la petite Catherine. Continu François tout en souriant à la petite fille.

Clarisse et Catherine se prosterne devant nous.

Nous sommes heureux de faire votre connaissance vos majesté. Répond Clarisse d'une voix douce.

Clarisse, nous aimerions modifier le contrat de mariage entre votre nièce Catherine et mon fils Henri. Répond François d'une voix douce.

Il y a-t-il un problème ? Demande Clarisse.

Nous avons décidé que mon fils Henri devienne l'époux de la princesse Aliénor, fille du roi Henri et de la reine Charlotte. Répond François.

Je vous demande pardon ?! Demande Clarisse d'une voix brusque. Mais vous ne pouvez pas !

En échange, votre nièce deviendra reine d'Angleterre et de l'Ireland en se mariant avec Richard, l'héritier du trône. Explique François d'une voix calme.

Je tourne mon visage vers mon fils Richard, celui-ci est très calme et regarde Catherine avec un regard attendrissant. Celle-ci rougis timidement et se cache un peu derrière sa tante.

Et les 100 000 Ecus d'argent et les 28 000 Ecus de bijoux, qu'aller vous en faire ?! Dois-je vous rappelez que vous devez me les rendre ! Dis Clarisse d'une voix pleine de colère tout en prenant Catherine brusquement ce qui fait grimacer cette petite de douleurs.

Je regarde cette femme durement.

Veuillez la lâcher... Lui dis-je. Vous lui faîtes mal. Continuais-je.

Je fais ce que je veux ! Répond Clarisse.

Cette fois-ci, Henri s'approche de Clarisse et l'oblige à lâcher Catherine. Clarisse s'éloigne de nous et nous crache tout ce qu'elle a sur le cœur.

De toute façon vous pouvez faire ce que vous voulez avec cette enfant ! Cette enfant est une malédiction ! Répond Clarisse.

Que voulez-vous dire ? Demande François.

C'est à cause d'elle que mon frère et ma belle-sœur sont décédé ! Je ne veux plus jamais l'avoir auprès de moi ! Dit-elle hystérique.

Mais Tante...

Taisez-vous ! Vous n'êtes pas ma nièce !

Ayant assez de tout ceci, Richard s'approche de la petite Catherine en pleure après les révélations de sa Tante.

N'avez-vous pas honte de la traitée ainsi, elle est votre nièce, pas un objet qui n'a aucune émotions... Répond-t-il avec calme tout ayant de l'amertume.

Je n'ai aucune honte...

ASSEZ ! Cria François en interrompant Clarisse. Que ce soit bien clair, je ne tolèrerais plus une seule insulte qui sorte à nouveau de votre bouche ! Dit-il à Clarisse. Pour ce qui est de la dote, je décide de les donner aux souverains d'Angleterre ! Et quant à votre comportement, j'en parlerais avec le Pape étant donné qu'il a aussi contribuer à l'éducation de Catherine.

Vous...

Taisez-vous ! Dois-je vous rappelez que vous vous adresser au roi de France ?! Maintenant déguerpissez ! Réponds le roi de France.

Clarisse grogne et s'approche de Catherine. Mais François prend la petite avec lui.

Catherine restera auprès de Richard pour apprendre à mieux le connaître. Répond François d'une voix dure.

Clarisse folle de rage, s'en va et claque la porte avant de sortir. Je regarde Richard, celui-ci comprit vite et s'approcha de la petite Catherine.

Voulez-vous vous promenez avec moi dans les jardins ? Demande Richard d'une voix douce tout en lui tendant son bras à Catherine.

La petite acquis de la tête timidement, prend son bras et sortent de la pièce.

Je vais envoyer tout de suite un message au Pape... Répond François.

Je me retrouve seule avec Henri, je soupire et m'assoie sur le canapé épuisée par ses rebondissements. Henri se met à ma hauteur et me caresse les cheveux.

J'aimerais temps lui avouer ma véritable identité... Je ne veux plus qu'il ait des secrets entre nous...

Que se passe-t-il mon amour ? Me demande Henri inquiet.

Je sais que je dois lui dire la vérité sur moi, mais pour l'instant c'est le mauvais moment.

Tout va bien... Lui répondis-je tout en forçant le sourire.

Charlotte... Je sais qu'il y a quelque chose qui ne va pas.

Je suis juste fatigué de tout ça... J'en ai assez de toutes ses trahisons... Lui répondis-je simplement.

Je sais... Me répond-t-il simplement à son tour.

Et vous ? Lui demandais-je. Comment allez-vous ?

Pour Marie ? Me demande-t-il.

J'acquis de la tête et celui-ci s'assoit sur le canapé, tout aussi épuisé que moi.

Je suis encore sous le choc, je n'aurais jamais cru que ma propre fille me trahirait, et rejoigne l'Empereur... Répond-t-il d'une voix tremblante.

Je suis désolée... Lui répondis-je.

Il me sourit avec tendresse et m'embrasse sur le front.

Sachez que je ne survivrais jamais, si vous...

Jamais je ne vous trahirais, mon amour ! Lui dis-je en lui coupant la parole. Sachez que je serais toujours auprès de vous...

Il m'embrasse cette fois-ci sur les lèvres.

A Travers Le Temps. Tome 2, l'Âge des Tudors. (Terminer, Non corriger).Où les histoires vivent. Découvrez maintenant