Chapitre 63.

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Combien de navires ? Demande mon mari au conseil.

Nos éclaireurs disent qu'il y a 130 navires, dont un totales de 50 000 hommes...

50 000 ?! S'exclama Charles-Brandon.

Je vis les conseillers se décourager. C'est alors que le roi tape du poing sur son trône et prit une voix dure.

Nous ne pouvons pas abandonner ! Pas maintenant ! Pas tant que nous respirons encore ! Dit-il.

Que voulez-vous qu'on fasse mon roi ? Demande l'un des conseillers.

Ont-ils des allier à leurs côtés ? Demandais-je à mon tour.

Non, votre majesté... Réponds le messager.

Ais-t-il trop tard pour demander de l'aide ? Demandais-je.

Que voulez-vous dire ? Me demande Charles-Brandon.

Avez-vous oubliez que nous avons des alliés puissant ? Leur demandais-je. Nous avons Rome, la France et l'Ecosse comme allié ! Demandons à tous leur aide.

Ne croyez-vous pas que ce sera un signe de faiblesse ? Nous demande l'un de nos conseillers.

Nous sommes en guerre ! Répond mon mari. Et comme dit votre Reine nous avons plus que besoin d'allié pour cette campagne ! C'est pour cela que je vous ordonne de préparer des navires de guerre, Charles-Brandon sera votre chef et vous devrez lui obéir.

Et qui s'occupera de la stratégie ? Demande Charles-Brandon.

Je m'en occuperais et je serais accompagné de mon fils Richard. Quant à ma femme elle s'occupera d'envoyer différent messages à nos alliés. Répond mon mari tout en me souriant.

J'acquis de la tête à mon tour, souriante. Lorsque tout le monde partirent pour se préparer à la guerre, quant à moi, je vais à mon bureau pour écrire les différentes lettres pour nos alliés.

Je commence à écrire pour l'Ecosse :

« Mon Altesse royal,

Comme vous le savez, l'Empereur Charles et votre cousine Marie Tudors nous ont déclaré la guerre en entrant dans le territoire de votre cher Oncle,  le roi Henri VIII et frère de votre mère. Ayant su, il y a peu de temps que Charles vous avez menacez étant donné que vous êtes Protestant. Nous aimerions que vous nous aidions contre cet ennemi commun qui nous oppresse. Je vous promets qu'ensemble nous vaincrons notre ennemi.

Toutes mes amitiés mon Altesse,

Charlotte Tudor. »

Je fis pratiquement la même écriture sur les deux autre lettre, au bout de trois heures de travail, je place les parchemins à l'intérieur des enveloppes, puis demande à Isabelle de les donner à notre messager pour les envoyer au plus vite à nos alliés. Je pris Victoria dans mes bras et Aliénor me rejoins inquiète.

Que se passe-t-il mère ? Me demande Aliénor.

Tout va bien ma chérie... Nous avons juste de petits problèmes avec l'Espagne. Lui expliquais-je tout en essayant de rester vague pour ne pas l'effrayer.

Pourtant vous avez beaucoup travaillé... Me dit-elle.

Je lui souris avec tendresse et l'embrasse sur le haut de sa tête.

Sache que vous êtes ma plus grande fierté, vous, votre sœur et vos frères. Lui dis-je.

Pourquoi me dîtes-vous cela ? Me demande-t-elle inquiète. Sommes-nous en guerre ?

Je lui caresse la joue.

Je ne veux pas que vous vous inquiétiez. Lui dis-je. Je demanderais à Isabelle de vous emmener le plus loin possible du danger.

Et vous viendrez avec nous ? Me demande-t-elle.

Ma place est auprès de votre père, je ne peux l'abandonner et je ne peux pas non plus abandonner le peuple. Lui expliquais-je.

Richard sera auprès de vous, alors pourquoi pas moi ? Me demande-t-elle d'une voix sombre.

Ne vous inquiéter pas pour votre frère je ferais en sorte qu'il soit auprès de vous, avec ou contre le gré de votre père ! Lui dis-je.

Mais en parlant de père, il ne voudra jamais que vous restiez avec lui... Me dit-elle.

Je sais bien... Lui dis-je en lui souriant.

Puis-je vous posez une autre question ? Me demande-t-elle.

Bien sûr, que se passe-t-il ? Lui demandais-je à mon tour.

Ais-t-il vrai que vous veniez du futur ? Me demande-t-elle.

Mon souffle se coupa et mes yeux s'écarquillent de surprise.

Comment...

Je vous ai entendu vous et père la dernière fois. Me dit-elle.

Je vois... Lui dis-je tout en souriant gênée de cette révélation. Je souffle un bon coup, pour reprendre mon courage. J'ai toujours dis à votre père que vous étiez intelligente et très maligne.

Alors ? Me demande-t-elle.

C'est vrai, je viens bel et bien du futur, mais vous ne devez en aucun cas le dire à qui que ce soit, cela pourrais vous mettre en danger qui pourrais vous être fatale. Lui dis-je.

Elle me sourit et m'embrasse la joue, puis me regarde droit dans les yeux.

Ais-ce que je dois savoir quelque chose sur mon futur époux ? Me demande-t-elle.

Je ris, et lui caresse la joue.

Vous le saurez lorsque vous serez plus âgée. Lui répondis-je. Il est tard, allé vous coucher... Lui dis-je tout en lui passant une nouvelle sa petite sœur.

Quant à moi je me prépare pour me coucher moi aussi. Quelques minutes plus tard, Henri arrive dans la chambre, complètement épuisé. Je me tourne vers lui pour le regarder se déshabiller.

Notre fils deviendra un grand roi et sera plus tard un grand chef de guerre... Répond-t-il simplement.

Henri... Allez-vous...

Vais-je l'emmener avec moi à la guerre ? Bien sûr que non, Charlotte. C'est mon fils et l'héritier du trône d'Angleterre. Voir même plus... Continus-t-il.

Que voulez-vous dire ? Lui demandais-je ne comprenant pas.

L'empereur nous a renvoyer un message lorsque j'étais auprès de notre fils... Me dit-il avant de me tendre la lettre.

Je m'assois avant de le lire, et le contenu me choc !

« Mon cher Roi Henri VIII,

Je su récemment que votre neveu vous a élu héritier au trône d'Ecosse à sa mort, ma cousine Marie m'a annoncer que votre Reine à refuser de divorcer pour se marier, je dois avouer que je respecte sa loyauté auprès de vous, mais sachez qu'en refusant mon offre, votre catin à condamnés elle et ses enfants ! Voyez-vous, lorsque j'anéantirais vous et votre usurpatrice de famille, ma chère cousine héritera du trône qui lui revient de droit !

L'empereur Charles. ».      

Et qu'est-ce que cela veut dire ? Lui demandais-je encore sous le choc.

Il vient d'insulter ma famille, alors je ferais en sorte que son trône nous reviennent de droit ! Répond-t-il d'une voix haineuse.

A Travers Le Temps. Tome 2, l'Âge des Tudors. (Terminer, Non corriger).Où les histoires vivent. Découvrez maintenant