A Travers Le Temps. Tome 2, l'Âge des Tudors. (Terminer, Non corriger).

Chapitre 16. (!)

Que se passe-t-il ? Pourquoi pleurez-vous ? Lui demandais-je perdue.

Elle se lève du lit et prend un coffre pour mettre toutes mes robes.

Mais que faîtes-vous Isabelle ? Lui demandais-je.

Vous devez partir pour Rome ! Me dit-elle.

Quoi, mais...

Elle tourne à nouveau vers moi et me prend en coupe mon visage.

Ecoutez, vos parents ne sont pas ce que vous croyez, ils vont ont cacher la vérité. C'est pour cela que vous devez partir pour Rome, au Vatican pour connaître vos véritables origines ! Me dit-elle avec sérieux.

Quoi ?! Mais de quoi vous parlez ?! Lui demandais-je.

Lorsque vous arriverais au Vatican diriger-vous vers la Basilique Saint-Pierre, et ensuite demander de voir Léon X, il vous dira la vérité sur vos parents. Me dit-elle sans répondre à ma question.

Quoi ? Mais comment...

Charlotte, ne discutez pas ! Dit-elle en se retournant vers moi brusquement. Ecoutez-moi, vous devez faire ce voyage si voulez connaître toutes vos réponses à vos questions.

Mais le roi ne voudra jamais...

Je vais demandé à Charles Brandon de vous accompagner lors de votre voyage, il saura convaincre le roi.

Et si Anne montait sur le trône ? Lui demandais-je.

Elle me sourit remplie de compassion.

Vous saurez la détrônez. Me répond-t-elle simplement.

Que veut-t-elle dire ?

Aller dépêchez-vous de vous préparer, vous devez partir aujourd'hui ! Me dit-elle. Je m'occuperais de Charles-Brandon.

Très bien, alors allez le prévenir et moi je m'occupe de terminer de ranger mes affaires. Lui dis-je.

Je vous cherchez douce Char...

Je me tourne et remarque que c'est le roi qui vient d'entrer dans mes appartements, lorsqu'il vit des coffres remplie de mes robes, son regard s'assombrie. Mon cœur se mit à tambouriner.

Bon sang !

Isabelle, pouvez-vous me laisser avec sa majesté ? Lui demandais-je d'une voix tremblante.

Bien, madame... Me dit-elle en se prosternant et en sortant rapidement de ma chambre.

Lorsqu'elle sortit de la pièce, le roi me fit signe de la tête.

Que se passe-t-il ? Me demande-t-il d'une voix froide.

Majesté, je dois partir pour Rome, au Vatican... Lui dis-je d'une voix basse.

Pourquoi cela ? Me demande-t-il.

Je dois régler une affaire personnelle avec le Pape Léon X. Lui expliquais-je.

De quoi parle cette affaire ? Me demande-t-il.

Je ne peux malheureusement pas vous en dire plus, Majesté. Lui répondis-je d'une voix douce.

Il s'avance vers moi.

Ai-ce grave ? Me demande-t-il.

C'est... Compliqué... Lui répondis-je. Disons que je me pose des questions et qu'il est le seul à pouvoir y répondre. Lui expliquais-je.

Il soupire.

Il en n'ait hors de question que vous partiez... Dit-il d'une voix grave.

Je vous promets que je reviendrais, dès que j'aurais mes réponses à mes questions. Lui répondis-je. Si cela peut vous rassurer, je demanderais à Charles Brandon de m'accompagner. Lui dis-je.

Pourquoi lui en particulier ? Me demande-t-il en fronçant les sourcils.

Il est l'un des seuls amis que j'ai et le seul dont j'ai réellement confiance... Lui répondis-je.

Il me regarde droit dans les yeux.

Quant devez-vous partir ? Me demande-t-il.

Je dois partir aujourd'hui. Lui répondis-je.

Il soupire une fois de plus.

Très bien vous avez mon accord, mais à une condition. Me dit-il.

Laquelle ? Lui demandais-je.

Je vous accompagnerais jusqu'au port avec Charles, et lors de ce voyage, je veux que vous restiez seul avec moi dans la voiture. Me dit-il.

Très bien, mais où ira Charles ? Lui demandais-je.

Il chevauchera à cheval. Me dit-il.

J'accepte. Lui répondis-je.

Il me sourit et m'embrasse sur les lèvres avec douceur, je ferme les yeux pour le savourer, mais il s'écarte subitement.

Je vous attendrais à l'extérieur. Me dit-il simplement.

Il se recule et quitte ma chambre. Lorsque je ne le vis plus dans mon champs de vision, je me ressaisie et je recommence à ranger mes affaires. Lorsque tout fut fini, je sors des appartements accompagné de gardes qui portent mes coffres remplie de mes robes. Nous sortons à l'extérieur, je vis alors Charles Brandon sur un cheval et le roi qui m'attends au pied d'une voiture.

Je me dirige vers lui, lorsque j'arrive à sa hauteur, il prit ma main et m'aide à monter les marches de la voiture. Lorsque je m'installe, le roi s'installe à son tour à mes côtés et le garde referme derrière lui. Lorsque nous fûmes seuls, il me prit par le bras et m'installa sur ses genoux.

Majesté ? Demandais-je surprise de son soudain comportement.

Je vous veux que pour moi... Me dit-il en m'embrassant sur mes lèvres avec douceur.

Je sentis ensuite les chevaux tirer la voiture, quant à moi je ferme les yeux profitant une fois de plus au plaisir que le roi me procure. Je sens sa langue toucher la mienne, sous ses baisers incessant, je gémis de plaisir, il me fait pivoter pour que je sois à califourchon sur lui. J'entoure sa nuque de mes bras. Comme la dernière fois, de ses mains il remonte les pans de ma robe avec douceur. Pour une fois, je ne veux pas qu'il arrête. Je veux au contraire qu'il continu. Lorsque les pans de ma robe sont à mes hanches, il me redresse doucement et sa main se pose sur mon sexe. J'interromps notre baisé, mon souffle devient erratique et je plonge mes mains dans ses cheveux noirs. Je sens son doigt se presser contre mon clitoris, un gémissement franchit alors mes lèvres.

J'ai tellement envie de vous... Dit-il dans un soupir remplit de désir.

Puis sans ménagement, il retire sa main de mon sexe et replace ma robe correctement.

Que faîtes-vous ? Lui demandais-je dans un soupire déçue.

Je ne veux pas vous faire l'amour dans une voiture, mais dans un lit et je ne veux pas vous prendre comme un sauvage alors que vous êtes encore vierge. M'explique-t-il.

Je rougis face à ses paroles.

Vous...

Je l'ai sue lorsque je vous ai embrassé pour la première fois. Me dit-il.

Je lui souris, heureuse qu'il prenne cela en considération et l'embrasse avec amour. Je m'installe ensuite correctement à ses côtés, il pose son bras autour de mes épaules et je pose ma tête sur son épaule. Nous parlons de tout et de rien. Au bout de deux jours de routes, nous arrivâmes enfin au port. Le roi nous accompagne jusqu'au bateau.

Avant que vous montiez, j'aimerais vous offrir ceci. Me dit-il en me tendant un collier.

C'est un collier magnifique, un collier en or et remplie d'émeraudes. Je lui souris et l'embrasse une dernière fois avant de monter sur le bateau et de lui dire au revoir, en compagnie de Charles Brandon.