A Travers Le Temps. Tome 2, l'Âge des Tudors. (Terminer, Non corriger).

Chapitre 33. (!)

Arrivant dans notre chambre, il m'embrasse avec fougue avant de me dire d'une voix pleine de promesses.

Lorsque je vous ai vu avec cette robe, je n'avais qu'une seule envie. C'était de vous déshabillé pour vous faire mienne. Répond le roi en embrassant mon cou.

J'enlève son manteau et sa chemise blanche, il se retrouve torse nu, il m'enlève mon haut de ma robe et mon jupon, je me retrouve en robe de chambre. Il m'embrasse à nouveau langoureusement, mais je l'interromps, j'attrape sa ceinture et la déboucle, puis je lui descends son pantalon et son sous-vêtement. Il se retrouve nu face à moi, je le pousse ensuite vers le lit et il s'allonge sur celui-ci.

Que faîtes-vous ? Me demande-t-il d'une voix remplie de désir.

Je vais vous faire plaisir, mon roi... Lui répondis-je en l'embrassant langoureusement.

Ma main touche son torse, elle descend ensuite sur ses abdos muscler et enfin je touche son membre durci par le désir. Henri sursaute légèrement et interrompt notre baisé. Je lui souris et il m'embrasse sauvagement. J'entoure son membre de ma main et commence à faire des vas et viens, tantôt lent, tantôt rapide. Ses grognements sont devenus des gémissements incontrôlables. Lorsque je sens son membre grossir, j'abandonne ses lèvres, pour embrasser son torse, ses abdos et je pris sans hésitation son membre dans ma bouche. Un cri de surprise surgît de ses lèvres. Une fois de plus, il se met grossir et quelques secondes plus tard, il se libère à l'intérieur de ma bouche. J'essuie ma bouche et remonte jusqu'à son visage, il est essoufflé, mais je peux voir un regard remplie de luxure. C'est à ce moment-là, qu'il décide de retourner la situation en me renversant sous lui. Il retire ma robe de chambre. Je me retrouve nue à mon tour.

Je pense que c'est à mon tour de vous faire plaisir... Répond Henri en m'embrassant sur mes lèvres.

Il embrasse mon cou, puis il descend ses baisers sur mon premier sein, l'une de ses mains descends jusqu'à atteindre mon intimité, il pénètre un doigt en moi. Plus le temps passe et plus j'ai du mal à contrôler mes gémissements et mes hanches se mettent à bouger d'elle-même. Au bout de 10 minutes de tortures, je sens l'orgasme venir, mais il s'arrête avant que je puisse jouir.

HENRI ! Lui criais-je.

Il rit et m'embrasse

J'ai une autre façon de vous faire jouir... Répond-t-il simplement en m'embrassant une seconde fois.

Il descend ses baisers sur mon cou, ma poitrine, mon ventre encore arrondie de ma grossesse et enfin son visage se retrouve entre mes jambes. Et enfin sa langue touche mon clitoris. Un gémissement franchit mes lèvres, mes jambes se posent sur ses épaules pour l'empêcher de s'arrêter, alors que je suis sur le point de jouir une fois de plus. Mes gémissements deviennent des cris de plaisir.

Je vais jouir ! Lui dis-je en criant.

Sa langue accélère autour de mon clitoris et au moment où j'allais enfin jouir, il s'arrête.

HENRI ! Criais-je frustrée.

Il rit, son visage remonte au mien, mais cette fois-ci, il a un visage sérieux.

Ai-ce vrai pour l'Ecosse ? Me demande-t-il.

Attend il est sérieux là ?!

Vous me le demandez lorsque nous sommes en pleine acte ? Lui demandais-je en frustrer.

Charlotte...

Je soupire, je le bouscule sans ménagement et remet ma robe de nuit. Je me tourne vers lui.

Voulez-vous la vérité ? En réalité, c'est l'empereur Charles qui à essayer de me manipuler en me disant que votre neveu, le roi d'Ecosse, le fils de votre sœur Marie, en disant que c'était un roi impitoyable avec son peuple. Lui expliquais-je.

Pourquoi a-t-il...

Pourquoi ? Avez-vous oublié que vous avez divorcé avec sa tante, Catherine d'Aragon ? Lui demandais-je.

Ce n'était pas une raison suffisante pour me poignarder dans le dos ! Me répond-t-il en fronçant les sourcils tout en me regardant droit dans les yeux.

Attendez ! Êtes-vous en train d'insinuer que je vous ai trahis ? Lui demandais-je.

Après tout vous avez essayé de prendre le trône à mon neveu !

Je n'ai rien fait de cela ! Lui dis-je. Charles à essayer de me manipuler, de plus je ne savais même pas que c'est votre neveu qui est sur le trône d'Ecosse ! C'est François qui...

François, le roi de France ! Vous communiquez avec mon pire ennemi ! Répond-t-il en colère.

Ce pire ennemie comme vous dîtes ! Est celui-ci qui m'a empêché de faire une grosse bêtise, en m'avouant que Charles voulait peut-être réclamer vengeance en me demandant de détrôner votre neveu ! Lui expliquais-je en colère à mon tour.

Il se redresse d'un coup, nu et s'approche de moi d'un regard plein de colère.

Vous m'avez manipulé depuis le début ! Si j'aurais su que vous étiez une pu...

Une rage immense monte et je le gifle de toutes mes forces.

JE NE SUIS PAS UNE PUTAIN ! Lui criais-je dessus.

Henri me prend par les épaules me plaque contre le mur.

GIFLER MOI UNE FOIS DE PLUS ET VOUS REGRETTEREZ TOUTE VOTRE VIE ! Me cria-t-il dessus à son tour.

Cette fois-ci, je prends mon courage à deux mains et je le pousse de toutes mes forces. Mais il revient à la charge et il m'immobilise de tout son poids. Je me débats, mais il est trop fort, alors je me mets à hurler.

LÂCHER-MOI ESPECE D'ENFOIRER ! Lui hurlais-je.

Calmez-vous ! Êtes-vous folle ! Me dit-il en essayant de me calmer.

Et vous, vous êtes un Paranoïaque ! Lui dis-je.

Il m'emmène jusqu'au lit et plonge sa tête dans mon cou espérant que je me calme.

Lâcher-moi ! Lui dis-je en hurlant.

Non... Je ne vous lâcherais pas... Répond-t-il en m'embrassant le cou.

Des frissons me parcourent tous le corps.

Hors de question ! Pas après qu'il m'ait insulté et menacer !

Prise d'une immense adrénaline, je le repousse et Henri tombe au sol. Je me relève prête à m'enfuir le plus rapidement possible, mais lorsqu'il se relève, je vis que le haut à droite de son front est en sang. La colère s'évanouie et je me précipite vers lui pleine de culpabilité.

Henri ! Je suis vraiment désolée ! Lui dis-je en regardant sa blessure.

Celui-ci ne comprenant pas, il touche son front et vit son propre sang sur ses doigts.

Je suis désolée ! Je vais chercher un tissu propre et ce qu'il faut pour vous soigner ! Lui répondis-je en partant dans mes appartement pour aller chercher ce qu'il faut pour le soigner.