Chapitre 48

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Cela fait maintenant 3 ans que Guillaume est né, 2 ans que mon fils Richard est partit avec son tuteur et 3 ans qu'Henri est parti en guerre contre l'Empereur Charles. Guillaume à tout hérité de son père que ce soit son physique, comme son caractère. Nous sommes tous les deux dans le jardin et pour la première fois de la journée, Guillaume dort assit sur mes genoux, la tête contre ma poitrine. Isabelle est auprès de moi et nous discutons ensemble. C'est alors qu'un garde court dans notre direction.

Ma Reine ! Cria-t-il.

Je le regarde surprise.

Que se passe-t-il ? Lui demandais-je.

Sa Majesté le roi vient tout juste de rentrer ! Répond-t-il.

J'ouvre en grand les yeux, je regarde Isabelle, celle-ci prend Guillaume dans ses bras avec délicatesse sans le réveiller, quant à moi, je me redresse et me met à courir le plus rapidement possible. Lorsque j'arrive à la cours, je vois de nombreux soldats, puis je vois un homme habillé d'une simple chemise blanche et d'une culotte noire.

Henri !

Je me précipite vers lui et lui saute dans les bras, celui-ci me rattrape juste à temps, tout en riant de bon cœur.

Vous m'avez tellement manqué ! Lui dis-je en pleurant.

Il me serre quelques seconde dans ses bras, avant de me poser une question évidente.

Où est notre fils ? Me demande-t-il en m'écartant de lui.

C'est alors qu'Isabelle s'approche de nous avec Guillaume, Henri s'approche de lui. Guillaume se réveil. Il regarde Henri, puis il dévie son regarde au miens, à la fois perdu et ensommeillé.

Mère ? Qui est cet homme ? Me demande Guillaume d'une voix ensommeillé.

C'est votre père. Lui dis-je d'une voix douce.

Celui-ci ouvre les yeux en grand, il oblige Isabelle à le lâcher et se jette dans les bras de son père. Henri le soulève et le serre contre lui.

J'avais hâte de vous rencontrer ! Répond Guillaume d'une voix pleine de joie.

Henri lui sourit et lui embrasse le front.

Moi de même. Répond mon mari.

Mère n'arrêter pas de pleurer. Répond Guillaume.

Guillaume ! Dis-je en lui faisant les gros yeux.

C'est vrai !! Répond Guillaume d'une voix aiguë.

Henri me regarde et son regard devient sombre, puis il regarde Isabelle.

Pouvez-vous ramener le prince Guillaume dans ses appartements.

Bien sûr votre majesté. Répond Isabelle tout en se prosternant devant nous, avant de reprendre Guillaume dans ses bras. Lorsque nous sommes enfin seuls, Henri s'approche de moi et m'embrasse avec fougue.

Pourquoi ne m'avoir rien dit sur votre tristesse ? Me demande-t-il tout en m'embrassant.

Je ne voulais pas vous gêner avec mes problèmes futiles... Lui répondis-je.

Futiles ?! Me demande-t-il tout en s'écartant de moi et en fronçant les sourcils. Que ça soit bien clair, vos problèmes, sont mes problèmes ! Répond-t-il.

Je l'embrasse une fois de plus. Je sens alors un désir venir en moi.

Je vous veux... Lui dis-je d'une voix pleine de désir.

Il me sourit, il soulève légèrement les pans de ma robe et pose sa main sur mon intimité.

Vous êtes trempé... Répond-t-il tout en m'embrassant langoureusement.

Je retire sa main et l'oblige à venir avec moi, nous nous dirigeons vers la grotte, c'est l'endroit où Henri m'a voler mon tout premier baisé. Je me sépare de lui et je me déshabille pour me retrouver nue devant lui, il se précipite sur moi et m'embrasse langoureusement. Tout en m'embrassant, il retirer sa chemise blanche et je lui retire sa culotte. Il m'allonge sur ma robe qui est au sol, ses baisers se plante sur ma poitrine, il embrasse et suçote mes tétons. Après quelques minutes de tortures, Henri décide enfin de passer aux choses sérieuses en insérant son membre en moi. Je ferme les yeux voulant profiter un maximum du moment, mais rien ne se passe, j'ouvre à nouveau les yeux.

Que se passe-t-il ? Lui demandais-je dans un gémissement.

Il caresse ma joue, avec des yeux larmoyant et m'embrasse avec tendresse.

Vous m'avez tellement manqué, j'ai cru que jamais je ne vous reverrais... Me dit-il simplement avec une certaine tristesse dans la voix.

J'aller répliquer, mais il commence ses vas et viens avec douceurs, puis ils deviennent petit à petits des coups de butoirs. Mes gémissements se transforment en cris de plaisir. Je sens perdre pieds de plus en plus, mais il décide tout à coup de quitter notre étreinte.

Non ! Lui criais-je désespérément.

Henri rit face à mon énervement, me relève et approche ses lèvres de mon oreille.

Je vous veux dans notre lit, pas dans une grotte... Me chuchote-t-il.

Il se rhabille, puis m'aide à me rhabiller, lorsque nous entrons dans l'immense château, tout le monde acclamèrent le roi de sa victoire contre l'empereur. Sauf un, notre chère Duc de Buckingham. Je me tourne vers mon mari et je le regarde droit dans les yeux, il fait de même.

Je suppose que vous devez savoir que la Reine à donner naissance à un second fils. Dit le roi d'une voix pleine de joie. Puis soudain, il prit une mine sérieuse.

Mais avant de faire un banquet pour notre victoire, j'aimerais parler seul avec le Duc de Buckingham ! Répond-t-il.

Celui-ci surprit, nous regarde à tour de rôle.

Pourquoi cela ? Nous demande-t-il avec sérieux.

Alors son neveu ne lui a rien dit ?

Vous verrai bien, mon chère Duc ! Répond le roi d'une voix légèrement hypocrite. Allons dans mes appartements. Continu mon mari tout en m'emmenant avec lui.

A Travers Le Temps. Tome 2, l'Âge des Tudors. (Terminer, Non corriger).Où les histoires vivent. Découvrez maintenant