A Travers Le Temps. Tome 2, l'Âge des Tudors. (Terminer, Non corriger).

Chapitre 64.

Cela fait maintenant 5 ans que mon mari est partit en guerre avec ses nombreux alliés contre l'Empereur. Chaque jours, nous nous envoyons des lettres. Richard est âgé de 19 ans et a prit la place de son père sur le trône, et il y arrive très bien, je suis d'ailleurs très heureuse que son frère Guillaume âgé de 17 ans l'aide de temps en temps, tout comme sa sœur Aliénor âgée de 15 ans. J'ai demandé que les précepteur viennent directement au château pour s'occuper de l'éducation de Victoria qui est maintenant âgée de 7 ans. C'est alors que je vis Isabelle se précipité vers moi.

Charlotte ! Cria-t-elle paniquée.

Que se passe-t-il ? Lui demandais-je.

C'est Henri... Dit-elle essoufflée.

Quoi ?!

Elle me tendis un parchemin que je pris craignant le pire pour mon roi, sachant que c'est inhabituel pour lui d'envoyer deux lettres en une journée.

Ma chère Charlotte, 

J'ai une merveilleuse nouvelle à vous annoncer, nos troupe ont pu enfin entrer dans la capital de l'Espagne, et nous avons capturé l'Empereur et Marie. Nous les ramenons en Angleterre pour qu'ils soient juger. J'ai hâte de vous prendre à nouveau dans mes bras. Vous me manquer mon amour.

Votre mari, Henri.

Des larmes de joie, coulent le long de mes joues, enfin, il va bientôt me revenir ! Je suis tellement heureuse ! 

Où sont mes enfants ?! Demandais-je à Isabelle.

Ils sont tous au bureau de votre fils Aîné Richard. Me répond-t-elle avec un sourire.

Je me lève et me dirige en courant vers mes enfants, arrivée dans le bureau de Richard, tout le monde est occupés. Lorsque je referme la porte derrière moi, tout le monde lève la tête.

Mère, que se passe-t-il ? Me demande Richard.

J'ai une merveilleuse idée à vous annoncer, votre père, le roi, à vaincu Charles et votre demi-sœur Marie. Il explique sur cette lettre qu'ils les ramènent tout les deux en Angleterre pour qu'ils soient juger. Leur expliquais-je.

Vraiment ? Demanda Victoria en quittant les bras d'Aliénor en se dirigeant vers moi.

Oui ! Lui répondis-je en la portant dans mes bras.

Et quant arrivera-t-il ? Me demande Aliénor.

Si tout se passe bien, il devrait arrivé dans 5 mois. Lui répondis-je.

Mère, je dois vous annoncer quelque chose de très important. Dit Richard d'une voix sérieuse.

Que se passe-t-il ? Lui demandais-je.

C'est au sujet de votre parrain, le pape Léon.  

Richard se lève, s'approche de moi et me tend une lettre. Je repose Victoria et je prend la lettre des mains.

Ma chère Charlotte, 

Comme vous le savez, je me fait vieux. Sachez que je vous ai toujours considérer comme ma fille. Mes médecins m'ont annoncé que je suis malade, je sens que je vais bientôt rejoindre mon dieu. Mais je ne suis pas là pour m'apitoyer sur mon sort. J'ai fait en sorte de vous donner les titres empereurs du Saint-Empire, souverain des Romains, d'Espagne, de Sicile et de Jérusalem. 

Je vous souhaite un immense bonheur, ma chère.

Le Pape Léon.

Tout va bien, mère ? Me demande Aliénor.

Je plie proprement la lettre et lui sourit.

Tout va bien, ma fille. Lui répondis-je tout en lui souriant tristement.

Mère, je vous prie de ne pas faire cela avec nous... Dit Guillaume d'une voix sérieuse.

Guillaume ! Dit Richard d'une voix coléreuse.

Richard, votre frère à raison, je ne devrais pas me cacher face à vous. Lui dis-je d'une voix douce. Quand l'avez-vous reçu ? Demandais-je en regardant Richard.

Nous l'avons reçu il y a une heure. Me répond-t-il.

Très bien, lorsque votre père arrivera, nous lui annonceront tous la nouvelle... Leur répondis-je simplement, avant de tourner le dos pour partir.

Mère ? M'appel Aliénor.

Oui ? Lui demandais-je.

Êtes-vous sûr que vous ne voulez pas rendre visite à votre parrain ? Me demande-t-elle curieuse.

Non, mon devoir est de rester auprès de vous et du peuple anglais... Lui répondis-je.

Mais...

Aliénor, ma décision est prise. L'interrompais-je sans être brusque avec elle, avant de partir de la salle. Lorsque j'arrive dans mes appartements, je me dirige droit dans ma chambre et m'installe sur mon lit. Lorsque je suis sûr d'être seule, mon corps commence à décrisper et je me met pleurer comme une petite fille qui vient de perdre son père. Au bout de 1H00, je commence enfin à me sentir mieux. Je demande alors à Isabelle de me faire couler un bain, pour pouvoir me détendre. Après avoir fini de préparer mon bain, Isabelle me déshabille et m'aide à entrer dans la baignoire.

J'ai tellement hâte de revoir Henri... Et de pouvoir à nouveau me confier...