Chapitre 50 (!)

993 33 0
                                    

Nous nous dirigeons vers notre chambre, Henri m'embrasse à pleine bouche. Il me déshabille entièrement jusqu'à me trouver nue devant lui. Il m'allonge sur notre lit et se déshabille à son tour, jusqu'à se retrouver tout aussi nu que moi. Il se place à califourchon et m'embrasse sur les lèvres, puis mon cou et mes seins, comme tout à l'heure, intercepte mon sein droit et le suçote et embrasse mon téton.

Son autre main, descends jusqu'à mon intimité, je replis mes genoux pour qu'il est plus accès. Je le sens sourire contre ma poitrine, son doigt touche mon clitoris, puis fait quelques rotations. Les gémissements que je tente de retenir, franchissent mes lèvres. Sa bouche abandonne mon sein droit, pour prendre en bouche celui de gauche. Son doigt qui était pressé contre mon clitoris s'insère dans ma chère moite.

Henri... Gémis-je sous le plaisir.

Sans même me répondre, Henri abandonne mes seins et ses baisers descendent sur mon ventre, puis sa tête se trouve entre mes jambes. Mes doigts s'entremêlent dans ses cheveux sombres. Henri relève la tête pour m'observer et me sourit avec tendresse. Puis sans même me prévenir, il pose sa bouche sur mes lèvres intimes. Je sursaute surprise de cet assaut, mes gémissements reprennent en vigueur. Je sens sa langue me caresser mon clitoris et ses doigts faire des vas et viens en moi. Les minutes passent, et le plaisir me submerge de plus en plus.

Mon amour... Je vais...

Henri enlève ses doigts, mais il continu de me torturer avec sa langue, ses mains quant à elles, immobilisent mes genoux. Ma respiration devient de plus en plus haletante et enfin l'orgasme explose sous mon cri de jouissance. Henri se redresse et m'embrasse sur les lèvres. Nous haletons tous les deux.

Vous êtes toujours aussi délicieuse... Me chuchote-t-il.

Je lui souris et l'embrasse avec tendresse. Ma main descends jusqu'à toucher son membre tendu comme un piquet, mais il intercepte mon poignet.

Laissez-moi vous toucher... Lui dis-je suppliante.

Il me sourit et m'embrasse à nouveau.

Il en n'ait hors de question. Aujourd'hui, c'est moi qui m'occupe de vous. Me répond-t-il.

Il se redresse pour se mettre debout et il m'aide à en faire de même. Puis il pose ses mains sous mes fesses et me soulève sans aucuns efforts.

Que faîtes-vous ? Lui demandais-je un peu perdue.

J'aimerais faire quelque chose de nouveau. Me répond-t-il enfin.

Nous nous retrouvons à nouveau dans son bureau, il dégage d'un coup de main son bureau. Il me fait asseoir sur celui-ci. De mes bras, j'entoure sa nuque. Sans même dire un mot, il me pénètre de son membre avec douceur. Sans même que je pris le temps de m'habituer à sa pénétration, il plonge sa tête dans mon cou et décide de se faire fougueux, alors que je suis sur le point de venir une fois de plus. Il se retire de mon antre, il se met à genoux et pose sa bouche sur mes lèvres intimes. Le plaisir est tellement intense, que je suis obligé de m'allonger sur son bureau.

Mes cris deviennent incontrôlables et je jouis une seconde fois. Je me redresse et l'oblige à reculer. Nous trébuchons tous les deux sur le sol. Je suis à califourchon sur lui, je prends son membre en main pour l'insérer en moi. Nous gémissons tous les deux, nous sommes tous les deux en transe. Ayant pris l'habitude de son intrusion en moi, je pris l'initiative de bouger mes hanches d'avant en arrière. Au bout de quelques minutes, je sens une fois de plus le plaisir me submerger. Son membre grossit de secondes en secondes et mon sexe se resserre autour de lui.

Je vais jouir ! Répond-t-il en gémissant son plaisir.

Je mords ma lèvre inférieur évitant de crier et par dessus tout ne pas lui donner se plaisir, mais il en décide autrement et me bascule sous lui. Ses coups de bassin deviennent bien plus sauvages et violent, qu'il y a quelques minutes. Mes cris franchissent mes lèvres et nous finissons par jouir tous les deux.

Après quelques heures à faire l'amour, nous ne sommes toujours pas rassasier de l'un de l'autre. Nous sommes dans notre lit, pour être exact, Henri est assis contre les oreillers, embrassant ma poitrine et quant à moi, je suis à califourchon sur lui, la tête légèrement penché en arrière. Cette fois-ci, c'est doux et nous nous regardons droit dans les yeux tout en faisant l'amour. Mais alors, qu'on allait une fois de plus s'abandonner dans le plaisir ultime. Une personne toqua à la porte.

Mon roi ? Demande un serviteur derrière la porte.

Nous nous arrêtons, Henri grogne de frustration ne voulant pas arrêter, quant à moi je me mets à rire discrètement.

Je jure de tuer cet homme ! Dit Henri d'une voix frustré.

Je me retire de lui et Henri se lève du lit, s'habille de sa robe de nuit pour se diriger vers la porte, il ouvre brusquement celle-ci, faisant sursauter le pauvre serviteur.

QUOI ! Dit le roi d'une voix morose.

J... Je voulais vous annoncez... Que le banquet... Etait prêt... Réponds le serviteur.

Henri me regarde, de haut en bas, puis regarde à nouveau le serviteur avec un froncement de sourcils.

Il n'y a plus de banquet ! Répond mon mari en lui fermant la porte aux nez.

Mais quel goujat !

A Travers Le Temps. Tome 2, l'Âge des Tudors. (Terminer, Non corriger).Où les histoires vivent. Découvrez maintenant