A Travers Le Temps. Tome 2, l'Âge des Tudors. (Terminer, Non corriger).

Chapitre 62.

Après que le garde emmène Marie hors de ma vue, Henri s'approche de moi et me caresse le visage avec douceur.

Comment allez-vous ma chère ? Me demande-t-il.

Très bien, et vous avec votre entretiens en Ecosse ? Lui demandais-je en retour.

Les négociations se sont très bien passé, mais il y a un problème...

Que se passe-t-il ? Ne veulent-ils pas d'alliance avec la France ou...

Non, ce n'est pas ça... Comme vous le savait, Mon neveu est le roi d'Ecosse ?

Oui...

Henri soupire et me regarde droit dans les yeux.

Il est tombé très malade récemment, les médecins disent qu'il ne va sûrement pas s'en sortir.

Oh mon dieu... Mais que va-t-il se passer ? Lui demandais-je choquée par la nouvelle.

Etant donner que je suis son oncle, mon neveu veut absolument que je prennent le titre de roi d'Ecosse... Dit-il soudainement.

Donc en acceptant, vous deviendriez...

Roi d'Angleterre, d'Ireland et d'Ecosse... Me reprend-t-il.

Avez-vous donner votre réponse ? Lui demandais-je.

J'ai accepter... Je ne voulais pas que le pays tombe entre de mauvaise main.

Pourquoi dîtes-vous cela ?

Lorsque mon neveu mourra, de nombreux iarls* voudraient s'emparait du trône, et cela pourrais créer une guerre civile. Et si je peux éviter cela, je vous avoue que cela m'arrangerais !

Mais votre neveu ne s'est-il pas marié ? n'a-t-il pas eu de fils ? Lui demandais-je.

Non... Il en n'a pas eu le temps...

Je vois... Je suppose que vous n'avez pas eu le choix... Lui répondis-je. Mais comment allez-vous faire lorsqu'il y aura des problème en Ecosse ? Lui demandais-je.

Je devrais me déplacer plus régulièrement. Me répond-t-il simplement.

J'acquis de la tête, mais Henri me regarde légèrement inquiet.

Que se passe-t-il mon amour ? Me demande-t-il.

Je me demandais simplement pourquoi l'empereur voulait ma main. Dis-je.

Je n'en ai aucune idée, mais tout ce que je sais est qu'il paiera pour avoir offensé notre famille ! Me répond-t-il en colère.

Henri, puis-je vous posez un question ? Lui demandais-je.

Bien sûr, que se passe-t-il mon amour ?

Imaginons que mon don décide de me renvoyer à mon époque et qu'il était possible que vous veniez avec moi, ai-ce que...

Ai-ce que je vous suivrez ? Me demande-t-il en me coupant la parole.

J'acquis de la tête inquiète pour sa réponse, mais cette inquiétude fut vite balayer lorsqu'il posa sa main sur ma joue tout en souriant.

Bien sûr que je vous suivrez. Ne sommes nous pas mari et femme jusqu'à la mort ? Me demande-t-il.

Les larmes me montent aux yeux, mais avant que je ne tombe en larme, je pris mon époux dans mes bras et le serre contre moi, comme si que ma vie dépendait de la sienne.

Je vous aime, Henri... Lui répondis-je d'une voix enrouée de larmes de bonheur.

Henri me serre contre lui et embrasse le haut de ma tête, puis pose son menton sur le haut de ma tête.

Jamais je ne vous abandonnerais, ma douce Charlotte. Répond-t-il enfin.

Les mois passèrent, nous n'avons plus entendu parler de l'Empereur pendant des moi, j'eu l'Espoir qu'aucune guerre n'éclaterais, mais encore une fois, je me suis trompée...

Votre Majesté ! Dit un messager en entrant dans la chambre en trombe.

Que se passe-t-il ! Pourquoi une telle inquiétude ? Demande Henri.

Le messager dépose la lettre entre les main de mon mari. Après sa lecture, il ferme les yeux puis regarde à nouveau le messager.

Merci de m'avoir apporter le message.

Celui-ci s'incline devant nous, puis s'en va. Henri regarde Charles-Brandon avec un air sérieux.

Veuillez réunir le conseil de guerre... Dit-il simplement.

Charles acquit de la tête et sort de la pièce. Je regarde Henri.

Que se passe-t-il ? Lui demandais-je inquiète.

L'empereur vient de nous déclarer la guerre en entrant sur le territoire Anglais. Me répond-t-il.

Où l'a-t-on vu ? Lui demandais-je.

Ils viennent tout juste d'arriver dans la Manche. M'explique-t-il.

Une boule au ventre commence à surgir, Isabelle s'approche de moi avec Aliénor et Victoria. Je prends Aliénor dans les bras et l'enlace fortement.

Que se passe-t-il mère ? Me demande-t-elle curieuse.

Je la regarde tendrement et lui souris.

Rien ma puce. Lui dis-je avant de la déposée à terre. Soit sage, je reviens ma puce.