A Travers Le Temps. Tome 2, l'Âge des Tudors. (Terminer, Non corriger).

Chapitre 38.

2 semaines plus tard, le roi de France, François 1er à accepter l'alliance avec l'Angleterre et est maintenant dans la salle du conseil. François est un homme de grande taille et très bien bâti. Il a les cheveux mi-longs, brun, les yeux bleus et une barbe naissante. Il est habillé tout en bleu avec comme motifs, les fleurs de lys, le motif de royauté française. Il est accompagné d'une jeune femme très belle, une peau bronzé, des yeux marron, des cheveux longs, ondulé et châtain foncé. Contrairement à François, c'est une femme d'une petite taille.

Mon cher cousin ! Dit François d'une voix grave tout en nous souriant.

Cousin... Répond Henri.

François me regarde et je me prosterne, mais Henri m'en empêche.

François, je vous présente ma future épouse, Charlotte.

François me sourit et se prosterne, tout comme sa femme.

Madame, nous sommes heureux de vous connaître enfin. Dit le roi de France.

J'en suis aussi heureuse. Lui répondis-je en lui souriant.

Ils se relèvent tous les deux.

Je suis honoré de connaître enfin une Plantagenêt. Dit le roi de France.

Je lui souris nerveusement, mais Henri s'approche de François.

Je vous prie d'entrée dans la salle, pour que nous puissions négocier. Répond Henri.

François acquit de la tête et nous entrons tous dans la salle de réunion, nous nous installons tous les quatre autour de la table, avec Charles-Brandon, le Duc de Buckingham et d'autre conseillers.

Comme vous le savez, j'aimerais faire une alliance avec vous, contre l'Empereur Charles. Et pour consolider notre alliance j'aimerais marier mon fils à l'une de vos filles. Dit Henri.

François nous regarde surprit.

Un fils ? Nous demande-t-il. Je croyais que vous aviez que deux filles.

J'ai eu un fils très récemment avec Lady Charlotte. Il s'appelle Richard. Il sera le prochain roi d'Angleterre et d'Ireland. Répond-t-il.

Je vois...

Il regarde sa femme, celle-ci acquit de la tête silencieusement.

J'accepte cette alliance, notre fille Marguerite se mariera avec votre fils Richard. Répond François.

Quelle âge à-t-elle ? Demande Henri.

Elle n'a que quelques mois. Répond François.

Bien... J'aimerais aussi faire une alliance avec la maison des Médicis. Continu Henri.

Pourquoi cela ? Demande le roi de France.

Tout simplement parce qu'ils sont riche, et ils pourront nous aider pour la guerre.

Pour cela, il nous faudrait l'aide du Pape... Répond François.

Grâce à ma future Reine, nous aurons l'appui du Pape et donc des Médicis. Continu Henri.

Et Comment votre future Reine réussira ? Demande le roi de France.

Le Pape Léon X est tout simplement son Parrain. Répond Henri.

Je comprends mieux, je pense en effet que le Pape Léon X pourra réussir à les convaincre... Répond-t-il.

En réalité se ne sera pas le Pape Léon X qui s'occupera des négociations, mais ma future reine, Charlotte. Répond-t-il.

Je le regarde surprise, tout comme François et sa femme. Le Duc de Buckingham allait rappliquer, mais le roi le fit taire d'un seul regard.

Ai-ce bien sage ? Demande Charles Brandon.

Charlotte est une femme intelligente, elle saura faire preuve de compréhension. Répond Henri simplement.

Et quand viendront-ils ? Demande Buckingham d'une voix rugueuse.

Ils viendront dans 2 semaines. Répond-t-il simplement.

Bien, alors je serais de tout cœur avec vous, votre majesté. Dit François en me regardant tout en me souriant.

Je lui souris à mon tour, heureuse de son soutiens. Un domestique s'approche avec le traité de paix, Henri le signe, puis vint le tour de François de signer. Une fois fini, nous nous levons tous et accompagnèrent nos invité jusqu'à leur chambre, étant donné que la reine est enceinte. Une fois raccompagnés nous retournons dans la salle du conseil.

Mon roi ! Je ne suis pas d'accord ! Dit le Duc de Buckingham.

Dans quoi ? Demande le roi.

Une femme ne peut mener de négociation ! Elle est peut-être la filleule du Pape Léon X, mais peut-être qu'elle nous trahira, nous ne pouvons pas faire confiance à une Plantagenêt ! Répond-t-il en colère.

Je vous demande pardon ! Dis-je à mon tour en colère par cette accusation.

Buckingham ! Vous allez trop loin ! Dit le roi.

Je dis juste la pure vérité ! Cette femme est un poison !

MAINTENANT CELA SUFFIT ! COMMENT OSER-VOUS INSULTER VOTRE FUTUR REINE ! Cria le roi. N'OUBLIER PAS OU SE TROUVE VOTRE PLACE BUCKIMGHAM, CAR SI JAMAIS J'ENTAND UNE FOIS DE PLUS CE GENRE D'INSULTE ENVERS MA FEMME ! JE PEUX VOUS ASSURER QUE VOUS REGRETTERAIS D'ÊTRE NE VOUS ET VOTRE MISERABLE FAMILLE !

Le Duc ne dit rien et se contente de nous regarder à tour de rôle.

Très bien, mais ne me dîtes que je ne vous aurais pas prévenu ! Répond le Duc avant de quitter la pièce et de fermer la porte derrière lui.

Henri allait une fois de plus d'essayer d'en découdre avec lui, mais je l'en empêche en lui attrapant par la main.

Majesté, laisser le se calmer un petit peu. Lui dis-je d'une voix douce.

Il soupire et commence à se calmer petit à petit. Il me prend dans ses bras.

Demain sera un grand jour, notre mariage sera inoubliable. Dit-il enfin.