A Travers Le Temps. Tome 2, l'Âge des Tudors. (Terminer, Non corriger).

Chapitre 61.

4 ans sont passés, Guillaume à quitter le château pour apprendre auprès d'un précepteur, on me dit aussi qu'il est très proche des jeunes filles.

Un peu comme son père, avant...

Aliénor est devenue une petite fille vive et très intelligente pour son âge. Richard à apprit à mieux connaitre sa fiancé, Catherine de Médicis. Il est très galant et attendrissant avec elle. A chaque fois quand Catherine voit Richard, elle ne peut s'empêcher de rougir. Henri quant à lui, il a décidé de partir en Ecosse pour faire une alliance, avec son neveu. Quant à moi, j'ai donné naissance à une seconde petite fille, nous l'avons surnommée Victoria. Cela fait maintenant 2 ans qu'elle est née.

Je me souviens qu'Henri était contre ce prénom, mais je lui ai dit que Victoria avait été une très grande Reine, d'ailleurs on se souvient de son nom grâce à l'ère Victorienne. Il alors tout de suite accepté.

Sa naissance fut très rapide et très douce. Victoria à les cheveux bruns et les yeux marrons de son père. Contrairement à sa sœur qui à son âge était déjà très vive, Victoria est très calme, discrète et très timide.

Isabelle est auprès de moi, nous sommes dans mes appartements et elle lis une histoire aux filles et je regarde attendrit, c'est alors que je découvre des gardes s'approcher de nous, ils se prosternent devant moi, avant de se redresser.

Que puis-je faire vous ? Leur demandais-je.

Marie Tudor est ici. Dit l'un des gardes.

Surprise, je regarde Isabelle et lui fait signe de sortir avec mes filles, ce qu'elle comprit, avant de d'accompagner les filles dans les jardins. Après quelques minutes, Marie entre enfin dans mes appartements accompagnés de ses gardes espagnols. Quant à moi, je suis avec mes gardes.

Ma très chère belle-mère. Me dit-elle d'un sourire forcé.

Je fronce les sourcils, lui faisant comprendre que son petit manège ne marche pas avec moi.

Que faîtes-vous ici, Marie ? Lui demandais-je sans équivoque.

Je vois que vous ne passez pas par quatre chemin... Me dit-elle. C'est l'Empereur qui m'a envoyé ici. Il veut faire des négociations ! Me dit-elle.

Et qu'elle est son prix ? Lui demandais-je.

Je n'ai pas...

Quel est son prix ? Lui demandais-je une seconde fois.

Il veut que vous divorciez et que vous l'épousiez. Répond-t-elle avec sérieux.

Je ris face à cette révélation.

Êtes-vous en train de vous moquer de moi ? Lui demandais-je en riant.

Non, je suis très sérieuse... Répondis-t-elle.

Et si je refuse ? Lui demandais-je en lui souriant avec moquerie.

Alors, il vous déclarera la guerre et vous tuera sans aucune pitié. Dit-elle en grognant.

Cette fois-ci je m'approche d'elle, ses gardes sont prêts à réagir en cas de problèmes, mais je ne démonte pas.

Et vous croyez qu'en me menaçant, vous me ferais peur, Marie... Lui dis-je d'une voix sombre. N'oublier pas à qui vous avez à faire et où vous êtes. Lui dis-je.

Ce que je me souviens c'est que vous êtes qu'une Putain et votre fils Richard à voler ma place ! Me dit-elle.

Il a volé votre place ? Lui demandais-je. C'est vous qui avez décidé de partir de l'Angleterre. Lui dis-je simplement.

Je suis la véritable héritière au trône, votre fils n'est qu'un batard ! Dit-elle.

Cette fois-ci, je perds mon self-control, et je la gifle de toutes mes force, ses gardes s'avances vers nous, mais je les dissuade d'une voix sombre.

Vous feriez mieux ranger vos jouets messieurs, si vous ne voulez pas être décapité avant de voir votre protéger enfermer à la tour de Londres pour avoir insulté une Reine ! Leur dis-je avant de regarder Marie. Quant à vous, vous devriez avoir honte de revenir en Angleterre, après avoir trahis votre père ! Il vous aimer, et vous l'avez trahit de la pire des manières qui soit ! Alors maintenant, vous allez retourner auprès de votre fils de chien d'Empereur et dîtes-lui bien que je préfère qu'on m'arrache les boyaux, plutôt que divorcer et de me marier avec un traître et un lâche ! Et si je vous revois encore aujourd'hui, je ferais en sorte de vous faire faire couper la tête et j'obligerais vos gardes à emporter votre tête jusqu'à votre Empereur !

Qu'ai ce que cela veut dire ? Me demande-t-elle choquée par mon langage.

Que vous n'êtes plus la bienvenue dans mes différents territoires ! Répond une voix que je ne connais que trop bien et qui me fait toujours battre mon cœur à la chamade.

Père... Dit Marie tout en se prosternant devant lui.

Que ce soit bien clair, vous n'êtes plus ma fille...

Quoi, mais...

Comme à dit ma femme vous devriez retourner auprès de votre Empereur pour lui informer de son refus, ou je serais sous l'obligeance de demander à mes gardes vous expulser de l'Angleterre. Répond Henri d'une voix sombre.

Non... Vous ne pouvez pas... Dit Marie d'une voix pleine de chagrin.

Garde... Dit Henri d'une voix neutre.

Mon roi.

Ramener cette étrangère hors de mon château, et faîtes en sorte que plus jamais, elle ne revienne en Angleterre...