Nous sommes enfin arrivés au Château de Hampton Court. Le château est immense aussi immense que Versailles. Nous entrons à l'intérieur du château et entrons dans une chambre quelconque. Le patient à les yeux grand ouvert, mais je peux facilement voir qu'il souffre horriblement.
Nous l'installons sur un lit, mon adrénaline est tellement puissante que je ne fais même pas attention à la décoration. J'entends une nouvelle personne entrée dans la pièce.
Puis-je savoir ce qui se passe ? Et qui est cette étrangère ? Demande une voix féminine.
Nous n'avons pas le temps de vous expliquer, madame. Réponds le noble d'une voix froide.
Apporter moi vite de l'eau propre, du savon, un tissu propre, une aiguille et du fil ! Et demander aussi une pince ! Dis-je autoritaire.
Pour une fois, le soldat fait ce qu'il me demande sans même discuter.
Pourquoi est-elle ici ? Demande la femme.
Avez-vous un Ruban ? Demandais-je au Noble.
L'homme s'approche d'une commode et me passe un ruban bleu. Je le prends en main et m'attache les cheveux en queue de cheval. Quelques minutes plus tard, le soldat revient avec tout ce qu'il faut y compris une pince.
Comme tout à l'heure je nettoie tout d'abord le contour de la plaie. Lorsque je fini enfin, je prends la pince, mais le noble prend mon poignet.
Que faîtes-vous ? Me demande-t-il curieux.
Je dois savoir si un fragment ne s'est pas coincé, s'il y en a un, la plaie risque de s'infecter. Dis-je calmement.
S'infecter ? Me demande-t-il ne comprenant pas le mot.
Bon sang, j'avais oublié...
Je veux dire, avant qu'elle ne fétide... Dis-je en me rattrapant.
Il relâche mon poignet et continue je mon travail. A l'aide de mes 2 doigts, j'écarte un peu la blessure, le blessé grogne de douleur et serre les poings.
Il me faudrait une bougie... Dis-je simplement.
Le soldat prend une bougie et l'allume grâce au feu de cheminée.
Essayer d'éclairer la blessure. Dis-je simplement.
Il approche la bougie, et je peux enfin voir l'objet de ma convoitise.
Il est là... Dis-je à moi-même.
Je prends la pince en main et l'approche délicatement vers la plaie, puis à l'aide de la pince j'attrape le petit fragment de couteau et le retire délicatement. Je pose le fragment et la pince sur le mouchoir.
Le plus dure est fait, maintenant je peux la refermé. Dis-je en attrapant cette fois-ci l'aiguille et le fil.
Je fais un petit nœud au bout de l'aiguille, mais avant de commencer, je nettoie le contour de la blessure. Je commence ensuite à transpercer la peau à l'aide de l'aiguille et recouse petit à petit la blessure. Lorsqu'un peu de sang se remet à couler, je la nettoie et continue ensuite mon travail. Au bout de deux longue heures de travail, je fini enfin de la recoudre.
Couteau ? Demandais-je.
On me donne un couteau et je coupe le fil, je nettoie ensuite une dernière fois la blessure. Je prends ensuite un petit bout de tissu propre et le pause sur sa plaie pour pouvoir la protéger. Je reprends ensuite un plus grand tissu propre.
Redresser-le, je dois le bander. Dis-je.
Le soldat le redresse, je le bande soigneusement et le rallonge tout doucement.
Allez-vous m'expliquer ce qui se passe ? Demande une voix féminine.
Je me tourne vers cette voix. C'est une femme de taille moyenne, légèrement bronzé, des cheveux long et noir avec des yeux noirs. Elle porte une petite couronne en argent sur la tête et porte une robe longue et noire.
Je croyais que vous deviez assister à une exécution d'une sorcière ! Dit-elle en rogne.
Nous avons été attaqués par un prisonnier, le Duc Charles Brandon m'a protégé et c'est grâce à la prisonnière qu'il est encore en vie. Réponds-t-il.
Vous avez ramené une prisonnière chez-nous ? Et qui plus ai la sorcière ! Dit la femme en colère. Garde ! Ramener là à la Tour !
Non ! Dit le noble d'une voix pleine de colère.
Mais...
Je suis le roi ! Je vous interdis de discuter mes ordres ! Répond-t-il.
Le roi ?! C'est Henri Tudors, Henri VIII ?! Mais cette femme, ai-ce Catherine d'Aragon, Anne Boleyn ?
Si c'est le souhait de sa majesté, je ne peux que l'accepter. Répond la reine.
Elle se tourne pour sortir de la pièce et ferme la porte derrière elle.
Lorsqu'il se tourne à nouveau vers moi, je ne peux m'empêcher de me prosterné face à lui.
Je suis désolée majesté, je ne savais pas que vous étiez le roi... Dis-je faiblement.
Relevez-vous... Répond-t-il d'une voix ennuyer.
Je me relève doucement sans relevé la tête.
J'aimerais que vous surveillez le Duc, si il survit vous serez récompensé et vous serez aussi pardonner, mais si il meurt je demanderais à mon bourreau de vous trancher la tête avec une hache de bûcheron. Me dit-il d'une voix froide. Ai-ce bien clair ? Me demande-t-il.
Je ne réponds pas bien trop apeurée par ces paroles haineuses.
Regardez-moi ! M'ordonne-t-il d'une voix tranchante.
Je sursaute et réponds à son ordre.
Suis-je assez clair ? Me demande-t-il à nouveau en me regardant droit dans les yeux.
J'acquis de la tête tremblante de la tête aux pieds. Il se tourne vers la sortie et ferme la porte derrière lui sans aucune délicatesse.
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A Travers Le Temps. Tome 2, l'Âge des Tudors. (Terminer, Non corriger).
FanfictionCharlotte est née dans les années 80, sœur d'Elena et tante d'Althéa. Son plus grand rêve est de devenir médecin chirurgienne, pour approfondir ses connaissances, elle décide de partir en Angleterre pour continuer ses études de médecines. Mais un jo...