Chapitre 41. !

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Nous sommes le soir, je suis habillée de ma robe de chambre. Je suis assise sur le lit et lis un livre sur Aliénor d'Aquitaine.

Je me demande comment cela va se passer maintenant ?

Que lisez-vous ?

Je sursaute et remarque qu'Henri est contre la porte et m'observe lire un livre.

Je lis la biographie d'Aliénor d'Aquitaine... Lui répondis-je doucement.

Il me sourit avec tendresse, puis s'approche de moi avec douceur.

La seule femme à être devenue Reine de France, puis ensuite reine d'Angleterre. Répond-t-il simplement.

Je lui souris à mon tour et acquis de la tête, il s'assoit sur le lit, m'embrasse tendrement et ses baisers descends sur mon cou.

Je croyais que vous deviez vous occuper de choses importantes, comme écrire une lettre au Médicis. Lui dis-je.

C'est vrai, mais j'ai décidé de le faire demain, pour l'instant, j'aimerais récompenser ma femme. Répond-t-il simplement tout en embrassant mon cou.

Récompensé de quoi ? Lui demandais-je en gémissant de plaisir.

Pour avoir réussis votre première négociation. Continu-t-il, tout en descendant sa main en direction de mon bas ventre.

Ce n'est pas raisonnable... Dis-je.

Pourquoi ? Me demande-t-il en touchant mon clitoris du bout de ses doigts.

Parce que Richard... Est à côté... Et il... Pourrais nous entendre... Lui répondis-je haletante.

Tout en riant, il incère deux doigts en moi.

Notre fils dort à point fermé, vous n'avez pas à vous inquiéter. De plus Isabelle est là pour s'occuper de lui. Répond-t-il tout en commençant des vas et viens.

Mon cœur bat à cent à l'heure et je sens le rouge me monter aux joues, ma respiration devient plus haletante. Ne voulant pas qu'on entende mes gémissements, j'embrasse Henri à pleine bouche. Sentant ma paroi vaginale se resserrer autour de ses doigts, il décide de les retirer, de retirer ma robe de nuit et de m'allonger sur le lit. Je suis maintenant nue devant mon mari.

Voyant que je commence à
m'impatienter, il retire tous ses vêtements et se place à califourchon sur moi, il embrasse mes lèvres, puis il descend à mon cou, ensuite ma poitrine où il s'attarde un peu sur celle-ci. Au bout de quelques minutes de torture, il descend ses baisés jusqu'à mes cuisses, embrasse l'intérieur, tout en plaçant mes jambe sur ses épaules, puis sans cri et gare, sa langue touche le centre de mon plaisir et je sursaute.

Le plaisir qu'il m'avait procuré, il y a déjà peut-être une petite heure, revient une nouvelle fois. Je pose mes mains sur sa tête pour l'inciter à continuer et de ne surtout pas s'arrêter. Voyant mon plaisir grandissant, il sourit accélère un peu plus ses coups de langues. Et quelques minutes plus tard, l'orgasme explose enfin, mon corps se remplie de spasme incontrôlable.

Il remonte son visage vers le mien et il m'embrasse avec tendresse. Il attend que je revienne à moi, mais sans même me demander quoi que ce soit, il se lève et m'entraîne avec lui, et me plaque contre le mur de notre chambre à coucher.

Que faîtes-vous ? Lui demandais-je perdu.

La dernière fois, je vous avais promis de vous faire l'amour sauvagement, si vous réussissez avec les Médicis, non ? Et croyez-moi, c'est ce que je compte faire ! Répond-t-il.

Il place ces mains sous mes cuisses, puis me soulève, pour ensuite me pénétrer avec douceur. Je place mes bras autour de son cou et il commence des vas et viens tantôt doux, tantôt brusque. Mes gémissements deviennent des cris incontrôlables. Mais d'un coup, nous tombons tous les deux, Henri se retrouve alors allongé sur le sol, sur le dos et quant à moi, je suis assise sur lui.

Sans même maîtriser mon corps, je pose mes mains sur son torse et bouge mes hanches, mais Henri reprend vite l'avantage sur moi en échangeant nos places. Je place mes mains sur le bas de son dos pour l'obliger à bouger et c'est ce qu'il fait à mon plus grand bonheur. Au bout de quelques minutes, je sens son membre grossir et ma paroi vaginale se resserrer.

Henri... Je vais venir...

Il étouffe mes gémissements par un baisé et accélère à nouveau ses mouvements. Quelques secondes après nous venons tous les deux en même temps, mais le désir n'est toujours pas tari tout comme son désir. Il décide de nous emmener jusqu'au lit pour m'allonger dessus et se place à califourchon sur moi. Il me pénètre une nouvelle fois et nous continuons de faire l'amour, jusqu'à tard dans la nuit.

A Travers Le Temps. Tome 2, l'Âge des Tudors. (Terminer, Non corriger).Où les histoires vivent. Découvrez maintenant