A Travers Le Temps. Tome 2, l'Âge des Tudors. (Terminer, Non corriger).

Chapitre 12.

Combien y a-t-il de chevalier ? Demandais-je à Charles Brandon.

Ils sont au total 30 Participants, madame. Me répond-t-il.

Et en quoi consistent les règles de ce sport ? Lui demandais-je.

Une partie se joue en trois lances, 1 point est donné au joueur qui brise une lance d'un homme entre sa taille et son cou, 2 points quand elle se brise sur le haut, c'est difficile. Le coup porté sur le haut bien souvent glisse dessus et les lances ne se brisent pas et 3 points lorsqu'un cavalier est jeté à terre. De plus celui qui se fait mordre la poussière à un cavalier gagne son cheval. M'explique-t-il.

Et peut-on perdre la vie lors d'une joute ? Lui demandais-je.

Les lances ont les pointes recouvertes de fer ce qui les émousse, évidement des accidents peuvent se produire.

Les connaissez-vous tous ? Lui demandais-je.

Il rit.

Non, je ne l'ai connais pas tous, mais ne vous inquiétez pas pour sa majesté. Il est considéré comme l'un des meilleures de la Joute. M'explique-t-il.

Si vous le dîtes... Lui dis-je.

Le championnat commença avec deux Duc. Duc de Cambridge et l'autre celui de Cornouaille. Une personne ayant un drapeau se place au centre. Le drapeau porte l'effigie des Tudors. Il regarde à tour de rôle les chevaliers si ils sont prêts, il soulève soudainement le drapeau et cours de l'autre. Les deux chevaliers se foncent dessus, lance à la main. Lorsque les lances se percutent se fut le Duc de Cornouaille qui tomba à terre. Tout le monde acclama la victoire du gagnant. Puis, ce fut au tour du roi Henri VIII, mon foulard se trouve à l'intérieur de son casque, face à lui se trouve Charles Quint.

Ce fut d'abord l'écuyer de Charles qui se mit au centre.

Mesdames et Messieurs ! J'ai l'honneur de vous présenter le fils d'Isabelle de Castille et Philippe 1er, Empereur du Saint-Empire, Roi d'Espagne, de la Sicile, de Naples, de Jérusalem et Duc de Bourgogne. Veuillez applaudir l'Empereur Charles! Cria-t-il.

Tous applaudirent son favoris, se fut ensuite un autre écuyer qui le remplacer.

Je ne savais pas que Charles Quint avait autant de titres...

Mes seigneurs et Gentes Dames ! Dit-il. C'est un honneur, de présenter notre roi. Fils d'Henri VII et d'Elizabeth. Notre roi d'Angleterre et de l'Irlande. Veuillez applaudir notre Roi Henri ! Dit-il en le désignant.

Aussitôt, une foule applaudir leur champion et en criant.

Comme tout à l'heure, une personne se mit au centre détenant un drapeau, il attendit que les deux rois soient. Il abaissa le drapeau et courut de l'autre côté pour se mettre à l'abri. Les deux se foncèrent dessus, lance à la main. Lorsqu'ils arrivèrent pratiquement à hauteur. Henri le toucha à sa taille. Il gagna alors un point. Sans m'en rend compte, j'ai retenu mon souffle, espérant que le roi d'Angleterre ne soit touché.

Point pour le roi Henri d'Angleterre. Cria le juge.

Tout le monde l'acclama. Puis une seconde fois ils se foncèrent dessus, mais cette fois-ci, le drame arriva. Car Charles toucha le roi, celui-ci tomba de son cheval et sur la lice. Je me lève précipitamment, je descends des gradins et cours vers le roi. Lorsque je suis arrivée, je m'accroupie à sa hauteur. Je vérifie son pouls pour savoir s'il est en vie.

Il est en vie !

Nous devons l'emmener en sécurité ! Dis-je d'une voix dure.

Les gardes le soulevèrent et l'emmenèrent à ma chambre. Lorsque le roi fut allongé sur mon lit. Je retire doucement son casque et vis une petite blessure sur le front, je retire en même temps toute son armure pour savoir, si il n'a pas d'autres. Et je vis en n'ai fait une plaie qui m'inquiéta qui se trouve au niveau de sa jambe.

Si je ne fais rien, cela pourrais vite se transformé en ulcère*.

Je pris d'abords le soin de nettoyer la blessure qui se trouve au niveau de sa tête, lorsque cela fut fini, je m'occupe alors de sa jambe. Je la pose sur mes genoux délicatement. Je commence par nettoyer la plaie avec délicatesse.

Je regarde l'un des gardes.

Avez-vous dans votre jardin une plante du nom d'Aloe Vera.

Oui, nous en avons... Répond le garde.

Parfait ! Allez m'en chercher au moins 2, cela pourrais me servir à soigner la plaie de sa majesté. Dis-je. Isabelle ! Aller me chercher de l'huile et plusieurs tissus propres. Lui dis-je.

Oui, madame. Me dit-elle.

Quant à moi, je m'occupe de rassembler ce qu'il me faut, baule, pilon. Lorsque les gardes me ramenèrent les plantes, je le pris en main et pris toutes les feuilles. Je les coupe en morceaux et les posent dans le baule. Je les broie ensuite avec le pilon. Isabelle me ramena ensuite l'huile et plusieurs tissus propres.

Isabelle préparez-moi une bande rectangulaire, un carré et essayez de me faire un bandage. Lui dis-je.

Elle acquit de la tête et commence son travail. Lorsque je fini de broyer les feuilles, je rajoute de l'huile et broya une fois de plus. Lorsque cela fut fini, je pris un autre petit baule, le petit tissu carré qu'Isabelle m'a préparé et plaça mon mélange sur le tissu. Tout le liquide s'écoula dans me petit récipient. Je jette ensuite ce qui m'est inutile et applique mon baume sur le tissus rectangulaire qui servira de pansement. Lorsque je place le pansement sur la blessure, je pris le bandage et l'entoura à sa jambe.

* Un ulcère est une plaie, accompagnée d'une désintégration du tissu. Plus précisément, il s’agit d’une érosion (discontinuité macroscopique). Les causes d'un ulcère peuvent être endogènes (stress, cancer, insuffisance veineuse…) et/ou exogènes (actions bactériologique, mécanique, chimique…).