Lucy et la bataille de l'empereur

Chapitre 42

Coucou tout le monde

⚠ Ce chapitre comporte une scène de nature érotique cependant je n'ai pas décrit l'acte. Seulement ce qui se passe avant. Pour ce à qui ça gênerait ou alors qui ne veulent tout simplement pas lire cette partie je mettrais le début en gras et la fin correspond à la fin du chapitre. Par contre sachez que c'est vraiment très light, ce chapitre sert surtout à développer la relation entre Lucy et Philippe.

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Je tenais quand même à vous prévenir avant que vous lisiez ce chapitre. Ce genre de scènes seront très occasionnelles mais si jamais vous trouvez ça bien je peux en faire d'autres.

Sur cette nouvelle, bonne lecture.

Les journaux clandestins n'ont pas arrêté d'être distribuer partout dans la citadelle. Du nord au Sud et d'Ouest en Est. La population n'a jamais été aussi énervée contre les tops. Et ce n'est pas pour me déplaire.

- Nous allons attaquer le palais demain soir. Rassembler autant de fidèle que possible. Maintenant allez prévenir le peuple de notre attaque ! Ordonnais-je.

Dès que je finis ma phrase, Sabrina, Luc et Nicolas se dispersent aux quatre coins de la citadelle. Dès qu'il parte je m'effondre sur ma chaise. Je suis épuisée. Si je n'arrive même pas à commander quatre personnes que je connais. Comment pourrais-je prétendre au trône de toute notre citadelle ? Je prends mon visage entre mes mains et soupire. Je n'ai pas arrêté de vouloir sauver les damnés de l'oppression. Je suis tellement proche de mon but et pourtant je n'ai jamais été aussi indécise. Pourquoi suis-je autant tremblante ! Aurais-je le trac ou pire peur ? Mon cœur bat à toute allure et me cheveux bruns indiscipliné tombent sur mon visage. Mon cerveau réfléchit sans prendre de pause. Notre plan est-il infaillible ? Ai-je pris en compte toutes les possibilités ? Nous serons deux fois plus nombreux. Mais aucune de ces personnes ne sais véritablement se battre. On aurait très bien pu faire un siège mais l'immortalité de l'empereur nous enlève cette technique. Je suis tellement absorbée par mes pensées que je ne vois même pas Philippe retirer mes mèches brunes.

- Tu réfléchis beaucoup trop fait attention tu vas finir comme Ambrose.

- Finir comme moi ! Ce n'est pas une punition mais un privilège !

- Si ça te fait plaisir de le croire.

- Il est préférable de finir comme moi que comme toi.

- Qu'ai-je de si différent comparé à toi ?

- N'en avez-vous donc pas assez de vous battre comme des enfants ! Ce n'est ni le lieu ni le moment pour vos chamailleries !

- Et bien mademoiselle nous sort les griffes. Et ce n'est pas la première fois ! Rappelle-toi quand on s'était battu. Elle a dû monter sur une table et faire sortir tous les clients. Je me rappelle encore de sa tête. Tiens regarde c'est exactement celle qu'elle est en train de faire en ce moment ! C'est hilarant ce petit pli sur son front.

- Ambrose ! Je touche mon front vivement pour enlever le pli. Premièrement ce n'est pas vrai et deuxièmement je réfléchis au plan.

- Tu ne crois pas en notre victoire ?