Chap 6

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Salut à tous! Comme certaines ont du le voir, je reprends officiellement la fiction todayyyy (meme si j'ai craquer pas mal de fois ^^). J'ai bien profiter du repos et j'ai vraiment hate de vous retrouver sur cette fiction là. Vous m'avez trop manquer!!!! Je vous remercie encore pour celles et ceux qui m'ont suivi et merci à ceux qui ont découvert cette fiction. J'espère que le chapitre vous plaira.


Je pense par contre poster le Lundi, le Mercredi et le Vendredi maximum, peut-etre de temps en temps dans le week-end on vera bien. Je vous embrasse et vous souhaite une bonne lecture et une bonne journée!


PS! vous allez me detester à la fin mais je suis sadique et je me soigne lol. Bsxxx!



PDV Cassie

Vendredi-1ère semaine d'Octobre.

Le réveil fut dur et j'eu envie de balancer mon portable sur le mur quand il sonna. Je ne voulais clairement pas être réveillée vu que je venais de rêver que je mangeai une tarte aux pommes. Je confirmai c'était un rêve stupide. J'avais le morceau dans la bouche et boum, le réveil venait imposer sa douce présence, j'avais envie de pleurer. Déjà que je n'en mangeais pas dans la vraie vie, je pouvais au moins avoir le droit de gouter au plaisir du sucre dans un beau songe.

Je me redressai, poussant mes cheveux en bataille et je posai mes pieds au sol. Il était 7h00 et j'avais cours à 8h30. Je devais donc me préparer pour aller gentiment dans mon merveilleux campus, dans le cours de Tanner, pourtant, au lieu d'être agacée, j'en fus presque contente, parce que j'allais le voir.

Je me redressai, poussant subtilement mon rideau pour voir Zayn dans sa chambre. Il marchait en caleçon sortant apparemment du lit, vu ses cheveux aussi en désordre que les miens et je souris. Le voir dans cette tenue me donnait chaud, méchamment chaud, et repenser à hier soir également. Il m'avait embrassé sur mon balcon, oui, lui, pas moi. Je notais bien la différence. Il m'avait doucement caller dans le coin et poser ses lèvres chaudes et pleines sur les miennes et mon dieu, que ce mec embrassait à merveille. J'aurais pu en réclamer toute une nuit.

Je ne savais même pas comment nous en étions arrivés à ça, vu que tout était parti du fait que j'avais laissé sa précieuse Kelly tomber sur le sol, couverte de boisson. Je savais que c'était méchant, voir cruel, mais je l'avais vu se rapprocher d'elle... trop près. Il voulait l'embrasser et ça, je ne le supportais pas. Ethan, m'avait déjà ignorée, je ne voulais pas que Zayn aussi. Et sur le coup, c'était moi qu'il avait embrassé. C'était d'une gaminerie sans nom, mais je l'assumais.

Je ne me déchiffrais pas avec lui, je jouais certes mais parfois, je n'y arrivais pas. Un court laps de temps dans cette espèce de bulle que l'on se créait, je me sentais devenir quelqu'un d'autre, parce qu'il me faisait réfléchir à tout cela. Je ne comprenais pas, tout ce que je savais c'était que j'aimais cette sensation de presque liberté, parce que dans ce court laps de temps j'étais libre d'être qui je voulais. Je pouvais certes être cruelle pour l'avoir mais je n'étais pas de nature sympathique...

Mon téléphone sonna doucement et je marchai vers l'appareil. Je le pris en main et je distinguai le nom de mon copain. Il était parti au cours de la fête et je ne l'avais plus revu alors qu'il savait que j'allais être seule. Il aurait pu rester avec moi, s'assurer que la fête se finisse bien, que j'ai pu tout gérer, mais au lieu de cela, il avait agit comme un inconnu. Je lis donc son message et j'eu envie de balancer réellement le téléphone sur le mur.

« Mon Homme : Bonjour Bae, j'ai une surprise pour toi, je te vois au campus. Bise »

Je soupirais en lâchant le téléphone et je voulu répondre que je m'en moquais de son cadeau, mais je ne le fis pas. Je préférais repenser à Zayn. Après le baiser, il était resté un moment sur le balcon, pensif. Il n'avait pas dit grand-chose comme si ce baiser avait dérangé quelque chose en lui et il s'était excusé, disant qu'il devait partir. Il avait pris un pas avant de sortir de la terrasse pour me réclamer si ça allait et j'avais acquiescé, silencieuse. Cela m'avait abasourdi qu'il me demande si ça allait alors que... en fait, je n'en avais pas l'habitude. Pas l'habitude qu'on prenne le temps de me demander si j'allais bien, pas l'habitude des hommes comme lui.

BrotherHood (Z.M.)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant