Salut tout le monde! Voici donc un nouveau chapitre! J'espère qu'il vous plaira on va enfin apprendre quelque chose sur les garçons. Par contre, je ne suis pas sure de pouvoir poster vendredi mais je vais essayer. Louis et Cassie sont presque proche dans le dernier chap lol. Ouais ouais, il y a de l'evolution. Lexie a fait son bisou a notre bon pote Jonas, qu'on aime tant et Liam ? Il s'est prit une gamelle... c'est la vie!
Je vous remercie encore et toujours pour vos lectures, je vous adore et j'espère que vous allez bien. Certaines m'ont mise que "too bad" leur manque lol. Je vous ai traumatisé ? ahaha! Plus que 22 chap a écrire de mon coté avant la fin mais il vous reste 37 chaps à lire. CA PASSE TROP VITE! Bonne lecture !!
PDV Cassie
Vendredi-3eme semaine de Décembre.
J'ouvris les yeux, percevant mon corps se réanimer finement et le froid me piqua la peau. Je sentis malgré tout une douce chaleur dans mon dos et son bras à ma taille. Zayn dormait, collé à mon échine et je distinguai son souffle brulant dans mon cou. Je me redressai, le poussant doucement et je pu voir Louis, étalé, les jambes ouvertes et ronflant. Je comprenais mieux pourquoi j'avais carrément dormi sur la moitié de mon corps... Louis avait-il capté qu'il n'était pas tout seul ?
J'abandonnai le lit, poussant le drap et je sorti de la chambre en fermant la porte, jetant un dernier regard sur les deux jeunes hommes. Ils dormaient à poings fermés et mon absence ne se fit même pas noter. J'avais passé la nuit avec eux deux, ce qui pouvait porter à des idées malsaines, mais j'avais réellement dormi. Bien qu'en vérité, j'avais fait quelque chose que les gens de mon monde ne faisaient pas forcement : partager. J'avais partagé la chambre, le lit et la présence rassurante de Zayn avec son frère, l'ayant trouvéétrange dans la cuisine. D'ailleurs en y pensant je ne comprenais pas forcement.
Louis m'avait parlé d'insomnie mais dans sa façon de faire j'avais reconnu quelque chose que j'avais déjà estimé chez Zayn, la peur, celle d'une chose que les autres ne comprenaient pas mais également la peur de ce que les gens faisaient quand ils ne comprenaient pas, se moquer. J'avais compris hier soir que Louis avait peur de l'orage ou du tonnerre et qu'il avait du passé voir son frère mais m'avait vu, moi. Il avait donc surement rebrousser chemin et était allé dans la cuisine. J'avais du insister pour qu'il vienne avec nous et au fond, je pouvais saisir sa réticence. Je connaissais maintenant quelque chose sur lui qui devait le mettre mal à l'aise et un peu faible, cependant pour moi il n'y avait aucune raison.
Moi aussi j'avais eu besoin du métisse, besoin de ses bras, de son attention. Après la dispute avec Agnès, j'avais eu l'impression qu'elle m'avait donné un coup en plein dans le cœur et que quelque chose m'avait presque détruite. Je savais le peu de tendresse que ma belle-mère me portait mais cet acharnement sur moi commençait à me peser. Je pouvais comprendre le fait que je devais lui rappeler le souvenir de ma mère, ou encore qu'elle ne pouvait pas m'aimer autant que ces enfants, mais était-ce normal de me détester ainsi ? Je n'avais donc pas réfléchis et j'avais foncé chez Zayn, oubliant notre volonté d'être discret, de nous cacher, oubliant même la possibilité que sa mère soit là et il m'avait pris dans ses bras.
J'arrivais dans le salon, posant mon pied sur la dernière marche de l'escalier. Le calme dans la maison des deux frères était si apaisant, toute l'atmosphère était différente en réalité. Je me sentais bien, détendue et pas anxieuse de savoir où était un membre de ma famille. Les meubles étaient simples, chaleureux et je passai dans le salon pour atteindre la cuisine. Sa maison était comme lui, simple et tellement pleine de douceurs. Zayn avait l'habitude de me faire mon petit déjeuner alors j'avais eu envie de faire pareil pour lui. Il était encore tôt et je savais qu'il faudrait à un moment donné aller en cours, mais pour l'instant je ne voulais pas quitter cette bulle dans laquelle je me sentais enfin libre d'être moi-même.
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BrotherHood (Z.M.)
FanfictionUne certaine personne a dit un jour que l'on ne choisi pas sa famille et bien cette personne je l'emmerde. Nous n'avons certes pas le même sang coulant dans les veines, mais il est mon frère, il est ma famille. Une autre personne a dit que lorsque l...