Salut salut!!!! Je suis particulierement contente today parce qu'il pleut mdrr. J'avoue, on pleure souvent quand ca arrive mais il fait chaud et on CREVE. J'ai un mariage samedi et je pris par contre pour qu'il ne pleuve pas. Alors comment ca va pour vous ? Je suppose que vous me boudez toujours pour mon sadisme lol... rhoooo allez, c'est entre nous en plus, je poste la SUITE!!! Ouais, je pense que ca va un peu calmer votre haine mdr.
Je vous remercie pour vos votes et commentaires, je vous adore... j'espère que ce chap va vous plaire meme s'il y a toujours une dose de sadisme mais qui aime bien chatie bien.
PDV Cassie
Mercredi-1ere semaine de Décembre.
J'avais perçu sa phrase qui avait frappé dans mes oreilles mais ne semblait pas vouloir entrer dans mon esprit. Cette phrase à elle seule m'avait bouleversé, immobilisé, choqué et je restai face à lui paralysée et incapable de dire quoique ce soit. Il me fixait, tentant de trouver une réaction, la moindre petite réaction mais j'étais pire que tétanisée par des mots tout simples, presque banaux qui traduisaient tout sauf une situation banale... pour n'importe lequel d'entre nous.
- -Merci, j'ai eu la réaction que j'attendais de ta part, lâcha t'il durement avec une teinte de déception dans sa voix. Je le vis tourner les talons et aller prendre ses affaires en lançant une autre phrase plus faible. « Je savais que c'était une mauvaise idée et... laisse tomber. » lâcha t'il complètement perturbé par mon attitude et il fourra tout dans son sac.
Je savais formellement que je devais réagir, lui dire quelque chose, même la plus stupide, le retenir, ou au moins essayer, mais je n'y parvenais pas totalement troublée par son aveu... il avait vécu dans la rue, comme... comme un clochard ? Comme les hommes que l'on voyait parfois dans la rue, devant les restaurants ou la banque ? Comme ça... c'était cela qu'il venait de m'annoncer ?
Les questions tournaient dans ma tête et rien ne traversait mes lèvres. Zayn prit son sac, marcha vers la porte en l'ouvrant d'un coup et là je compris enfin l'information dans mon stupide cerveau. Je levai les yeux vers lui en marchant vers la porte comme si mon corps se réveillait tout d'un coup d'une longue période de coma.
- -Ne fais pas ça, s'il te plaît, dis-je doucement mais il passa la porte quand même en me tournant le dos, « Zayn ! Reviens, je suis désolée... reviens » criais-je alors qu'il marchait dans le couloir, ne prenant plus la peine de tourner la figure dans ma direction. J'avais agi comme une imbécile... j'avais été stupide de ne pas le rassurer sur le fait que cela ne changeait rien mais peut-être qu'au fond cela changeait quelque chose.
Il disparut dans l'ascenseur, ses yeux braqués dans ma direction et les portes se refermèrent nous séparant. Je me mordis les lèvres, encore sous le choc de ses aveux et je refermai la porte en plaquant mon dos dessus. Je me laissai glisser contre la cloison, ma main tremblante effleura l'interrupteur par inadvertance me laissant dans le noir complet, mes jambes ne pouvant me soutenir et mes fesses touchèrent le bois chaud du parquet. Je posai ma tête à mes mains en réalisant encore ce qui venait de se passer... ce qu'il venait de me confesser.
Je savais que Zayn et Louis avaient eu une enfance difficile, chaotique et surement traumatisante mais en les voyant si forts, souriants et normaux j'avais toujours minimisé la dureté de leur passé. Maintenant, je voyais les choses différemment et j'avouais que cela me faisait peur... penser à ce qu'ils avaient traversé faisait cet effet-là parce que l'homme avait toujours peur de ce qu'il ne connaissait pas.
Je relevai les yeux dans la pièce, scrutais chaque recoin enfoui dans une faible obscurité et je me surpris à imaginer la pièce sans les meubles, sans le téléviseur, le living room, la bibliothèque... sans plus aucun mobilier, juste une pièce vide. Puis, je m'imaginais sans murs, sans parquet à la boiserie couteuse, sans bâtiments, juste sur le goudron sale et suintant de la rue. Je me surpris à voir un autre genre de décor, une ruelle sombre, des poubelles... le vent, le froid, l'humidité de la nuit et puis vint les autres personnages de la rue, les bêtes, les cafards, les rats et les gens... les autres gens qui mourraient de faim et de froid tout comme moi.
VOUS LISEZ
BrotherHood (Z.M.)
FanfictionUne certaine personne a dit un jour que l'on ne choisi pas sa famille et bien cette personne je l'emmerde. Nous n'avons certes pas le même sang coulant dans les veines, mais il est mon frère, il est ma famille. Une autre personne a dit que lorsque l...