𝙃𝙚𝙮, 𝙗𝙞𝙚𝙣𝙫𝙚𝙣𝙪𝙚!
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/!\ TOME DEUX /!\
D...
Imagine with//Berlin - Money Heist : Korea - 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆 𝒄𝒊𝒏𝒒
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Berlin écrasa brusquement la montre sous sa chaussure, te faisant sursauter.
Il avait mis un coup de pression sur les otages pour trouver la personne qui avait volé cette montre. Et il l'avait trouvée. Miseon l'avait laissée tomber, sans faire exprès.
Il la tira au milieu des rangs, reprenant la parole. -Cette femme, on va la tuer. Denver s'approcha brusquement, de la même manière que Rio. -Quoi? -Arrêtes tes conneries, Berlin. -Faut qu'elle serve d'exemple. Reprit sérieusement le chef des opérations.
-Tu fais quoi de ce qu'a dit le Professeur? -C'est comme ça qu'on règle les choses dans la vraie vie! Hurla le chef, te faisant sursauter. Le seul moyen efficace de contrôler les humains, c'est la peur.
Alors qu'ils s'embrouillaient entre eux, tu tournas les yeux vers Miseon. Les engrenages de ton cerveau commencèrent à fonctionner, alors que tu observais les larmes couler sur ses joues. Elle ne pouvait pas mourir, il en était hors de question.
-C'était moi. Soufflas-tu, attirant l'attention des braqueurs. -Qu'est-ce que tu as dit? Demanda somment le responsable, te faisant frissonner. -J'ai volé la montre et je la lui ai donné de force parce que j'étais trop sous surveillance. Tue-moi à sa place.
Berlin fronça brusquement les sourcils, alors que Miseon tournait un regard plein d'espoir, mais aussi de peur, vers toi.
-Non, tu n'as pas volé cette montre. Ne me prends pas pour un con. Déclara le chef en secouant la tête, s'approchant de toi en un grand pas pour te surplomber de toute sa hauteur. -J'ai été toute seule dans ce bureau pendant des heures, c'était facile de fouiller les tiroirs. Tu levas tes yeux pleins de défis vers lui, te surprenant toi-même de ton propre courage.
Mais un seul regard vers la femme enceinte te rassura dans ton choix de te sacrifier à sa place.
-Rio, emmène-là dans le bureau. Enferme-la de force s'il le faut. Souffla dangereusement l'homme, les yeux toujours rivés dans les tiens. -Quoi? Non... non! C'était moi! Putain, Berlin! C'était moi!
Tu continuas de hurler, tirée par Rio hors du hall, avant de lancer un dernier regard à la femme enceinte.
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Les yeux rivés sur les caméras, le regard vide, tu observais les otages s'embrouiller dans le hall principal.
Tu l'avais entendu, quelques secondes plus tôt, ce coup de feu. Il avait résonné dans toute la fabrique, et tu étais même persuadée que la police à l'extérieur l'avait également entendu.
Denver avait tué Miseon, sous les ordres de Berlin.
Tu avais entendu les braqueurs s'embrouiller dans la pièce à côté et, à chaque fois que la voix de Berlin avait pris le dessus, tu avais frissonné.
Il y a de cela à peine quelques heures, tu avais presque l'impression d'apprécier cet homme, qui semblait si tendre avec toi. Mais tu avais oublié qui il était réellement, et cet acte n'en était qu'un brutal rappel.
Il entra dans la pièce, claquant la porte avant d'allumer une cigarette. Son regard sombre tomba sur toi, et l'homme pouffa, expirant la fumée.
-Est-ce qu'elle est morte? Osas-tu demander, tremblante. -T'allais vraiment prendre sa place, hein? Demanda-t-il à son tour, ignorant ta question. Alors que tu n'as pas volé cette montre? -Est-ce qu'elle est morte?
Tu répétas, ta patience s'amenuisant à cause de la fatigue. L'homme haussa les sourcils, répétant silencieusement sa question, mais répondant aussi de la même manière à la tienne.
-Qu'est-ce que ça peut te foutre, putain? Explosas-tu, te relevant si brutalement de ta chaise qu'elle se renversa en arrière. Elle était enceinte, bordel, elle a pas mérité ça! C'est de la faute de ce Directeur à la con! C'est lui qui lui a dit de/
Tu stoppas brusquement ta phrase lorsqu'il apparut en moins de deux secondes devant toi, son souffle se répercutant sur ton visage. Tu te figeas, réalisant ce que tu avais fait.
-Je.. Je suis désolée, mais elle ne méritait pas ça.
Tu baissas les yeux, des larmes s'y accumulant par peine. L'homme en face de toi fronça les sourcils, levant sa main pour la placer sous ton menton, redressant ton visage pour lui faire face.
-Il sera puni. Le Directeur sera puni. Mais je devais le faire. Tu ne peux pas comprendre.
Il te relâcha, s'éloignant pour te tourner le dos, face à la fenêtre, continuant à fumer.
-Pourquoi est-ce que tu as refusé que je prennes sa place?Personne ne m'attends, dehors. Ça n'aurait rien changé. -Ça non plus, tu ne peux pas comprendre. Soupira l'homme. -Alors explique-moi.
Il fronça les sourcils, se tournant à nouveau vers toi. Le chef des braqueurs s'approcha une nouvelle fois à grands pas de toi, te faisant sursauter.
L'homme posa ses mains sur tes joues, approchant son visage du tiens sans hésiter, pour poser ses lèvres sur les tiennes.
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