𝙃𝙚𝙮, 𝙗𝙞𝙚𝙣𝙫𝙚𝙣𝙪𝙚!
Prête à plonger dans des mondes où tout devient possible ?
Ici, chaque oneshot t'entraîne dans un nouvel univers, une nouvelle émotion, une nouvelle version de toi.
Tu veux vivre une histoire d'amour avec ton perso préfér...
Imagine with//Berlin - Money Heist : Korea - 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆 𝒔𝒊𝒙
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-𝗿𝘂𝗻 𝗮𝘄𝗮𝘆 𝘄𝗶𝘁𝗵 𝗺𝗲. -𝗱𝗲𝗮𝗹 𝗱𝗼𝗻𝗲, 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗻𝗲𝗿
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"Je ne t'ai pas laissé prendre sa place par égoïsme."
Cette phrase tournait en boucle dans ta tête, alors que tu faisais inlassablement tourner ta fourchette dans ton plat.
Quelques heures plus tôt, il t'avait embrassée comme si sa vie en dépendait, dans le bureau de la Direction. Une fois ta bouche relâchée, il t'avait prononcé ces onze petits mots, qui ne cessaient de se répéter encore et encore à l'intérieur de tes méninges.
Tu avais alors reculé d'un pas avant de fuir du bureau, paniquant. Tu ne paniquais pas parce que Berlin t'avait embrassée. Tu paniquais parce que tu avais aimé ça. Et tu t'en voulais.
Effleurant tes lèvres des doigts, tu frissonnas en sentant encore le fantômes des siennes dessus. Tu relevas les yeux vers l'étage du dessus, où il était généralement posé. Mais cette fois-ci, il était absent.
Depuis que tu sais fui, il s'était passé de nombreuses choses. Le Directeur s'était fait tirer dessus par la police, une équipe médicale était rentrée le sauver et le soigner, et vous aviez découvert que Miseon était vivante. Denver lui avait seulement tiré dans la cuisse, afin que tout le monde croit qu'il l'avait tuée. Mais aussi, Tokyo et tout l'équipe avait mené une petite rébellion contre Berlin qui, tu l'avais compris en étant postée devant les caméras, était dans la pièce attenante au bureau.
Après avoir fini de manger, tu remontas avec Rio jusqu'au bureau. Les pensées mouvementées, tu observais l'ancien chef à travers la caméra, attaché à une chaise.
Ses tremblements te firent froncer les sourcils. Tu connaissais ce type de tremblement, c'était ceux d'un homme atteint par la myopathie de Helmer. Ton père, autrefois, avait été atteint de cette maladie, avant d'en périr. Tu savais à quel point ces tremblements lui étaient douloureux.
Lorsque Rio s'éloigna et sorti de la pièce, tu te levas discrètement, ouvrant la porte qui menait à l'ancien chef. -Où est-ce que t'as mis ton traitement? L'homme fronça les sourcils, levant ses mains attachées pour essuyer sa sueur. -De quoi tu parles? Demanda-t-il. -Tu sais de quoi je parle, Berlin. Je ne peux pas te détacher, mais je peux au moins t'aider à ce niveau là.
