𝙃𝙚𝙮, 𝙗𝙞𝙚𝙣𝙫𝙚𝙣𝙪𝙚!
Viens te plonger dans une multitude d'univers différents.
Tu cherche une histoire d'amour avec ton personnage fictif préféré?
Une amitié fraternelle avec un autre?
Tu es au bon endroit!
/!\ TOME DEUX /!\
Des imagines sur:...
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Depuis que les Déviants avaient hérités de droits, Connor ne t'adressait plus la parole, mis à part pour le travail. Et même lors des enquêtes, il restait froid et distant.
Tu soufflas en ouvrant la porte du commissariat, avant de t'y engouffrer.
Une autre enquête impliquant des Déviants venait de se résoudre, et tu avais failli y laisser ta vie. Mais le RK800 travaillant avec toi t'avait littéralement sauvé la vie, une fois de plus.
Tu croisas d'ailleurs son regard en t'asseyant à ton bureau, qui était à côté de celui de ton père, le lieutenant Anderson.
-Dure journée, gamine? Demanda Gavin en te tendant un café. -T'as même pas idée. Soufflas-tu, passant une main sur ton visage. Merci. Continuas-tu en pointant le gobelet fumant entre tes mains. -De rien, ma grande. Annonça-t-il en retournant à son bureau.
Malgré son attitude fatiguante, Gavin était comme ton grand-frère. Avant de travailler avec ton père et l'androïde envoyé par CyberLife, c'était avec Reed que tu enquêtais.
Tu avais difficilement réussi à percer cette carapace de mauvais garçon pour y trouver quelqu'un de drôle, et d'attachant.
Après avoir vu l'heure, tu pris ta veste et te dirigeas vers la sortie. Mais en chemin, une main t'attrapa pour te tirer dans la salle de repos. Cette personne ferma la porte derrière vous tandis que tu te tournais vers elle.
-Connor. Commenças-tu, tandis qu'il croisait les bras sur sa poitrine.
Tu avais décidé de prendre la même attitude que lui, froide comme la glace.
-Vous m'énervez, Agent Anderson. Tu levas les yeux au ciel. Toi aussi, tu étais lieutenant. Mais pour éviter de te confondre avec ton père, Hank, tout le monde t'appelait "agent". -La réciprocité, Connor, la réciprocité... Murmuras-tu. Oh et puis merde, depuis quand tu me vouvoies toi? Ah oui, depuis que tu me détestes sans aucune raison valable. T'énervas-tu. Maintenant, tu m'excuseras, j'ai envie de rentrer chez moi.
Tu commenças à ouvrir porte mais le RK800, pas vraiment de cet avis, te plaqua doucement mais fermement contre cette dernière. Tu te retrouves alors coincée entre le bois et le corps de l'androïde.
-Je ne te déteste pas, Y/N. -C'est pourtant ce que tu fais croire. -Je suis juste... perdu. Sa diode passa au rouge avant de redevenir jaune. Il leva sa main vers ton visage et cala une de tes mèches derrière ton oreille. Est-ce que tu sais ce que ça fait, ce qu'un androïde ressent quand il commence à se comporter comme un humain? Quand il se met à ressentir des émotions humaines, comme la haine, la joie, l'amour...
-Connor, tu/
Fronçant les sourcils, il ne te laissa pas finir ta phrase, posant ses lèvres sur les tiennes.
