BrotherHood

The Beginning

Donc voilà ma toute première Fanfiction, j'espère que celle-ci vas vous plaire. N'hésiter pas à commenter pour me faire part de vos avis. Bonne lecture à tous. Love yourself et bye.
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Bye, bye le Michigan, bonjour la Californie.

Je quitte ma ville natale pour la Californie, vous vous demandez peut-être, pourquoi. La réponse est simple, j'ai toujours rêvé d'aller dans la fameuse université de Berkeley qui se trouve donc en Californie. Une grande université renommée et il est très difficile d'entrer, mais je l'ai fait, je vais rentrer là-bas passer mes années là-bas. J'ai travaillé tellement dure et mes efforts ont payé.

Je frotte mes mains et souris quand je finis de faire ma dernière valise. Je l'attrape et la fais descendre de mon lit, dans lequel je ne dormirai plus. J'attrape ma valise et commence à partir de ma chambre avant de quitter cette pièce et ne plus la revoir ou très peu. Je me retourne et la contemple. Ici, il y a mes tous mes souvenirs, cette pièce ma vue grandir. Je suis passé d'un petit bébé à une jeune femme de seulement dix-sept ans (bientôt dix-huit ans). Qui va rentrer dans une université dont elle a toujours rêvé. Je me sens mélancolique tout d'un coup, me rendre compte que je grandis me fais un petit pincement au cœur.

Je soupire et descends l'escalier. Je regarde mon petit salon qui va quand même me manquer. Ma maison va me manquer.

Owen : April dépêche ! Crie mon frère depuis l'extérieur de la maison. Non, la douceur et la tendresse, il ne connaît pas. Il est plus grand de nous deux et je dois l'avouer ce petit chiatique de première va me manquer.

Moi : J'arrive, détends toi ! Je crie à mon tour avant d'attraper ma valise et à l'extérieur de la maison, ou m'attends mon frère appuyé sur sa voiture les bras croisés sur son torse.

Owen : Bas ce n'est pas trop tôt. Dit-il en soupirant. Je roule des yeux et lui tends ma valise. Il l'attrape et la range dans le coffre, je le regarde faire.

Moi : Tout est bon ? Je lui demande quand il a fini de ranger ma valise dans le coffre qui est devenue une vraie partie de tectrice, à cause de mes valises empilées.

Owen : Ouais, tout est bon. Me dit-il en se tournant vers moi, le sourire aux lèvres. Il attrape ma main et m'attire vers lui. Il prend son poing et le frotte contre ma tête.

Moi : Owen. Je gémis en fronçant les sourcils, il rit et arrête. Je parie que mes cheveux sont tous en désordre maintenant.

Owen : Tu vas me manquer toi. Me dit-il. Je relève la tête et lui fais un petit sourire.

Moi : Toi aussi. Dis-je en souriant.

Owen : Bon stop le moment de douceur, tu dois appeler maman. Me dit-il. Je me décolle de lui et attrape mon téléphone qui est dans la poche de mon jean. Je compose le numéro et le colle à mon oreille.

Moi : Allô. Dis-je quand elle décroche. Ils ont un job qui leur fait beaucoup bouger. Ils ne peuvent pas m'accompagner à l'aéroport aujourd'hui. Ils sont à Tokyo. Je suis assez triste mais bon, c'est la vie.

Maman : Oh ma chérie, ça me fait tellement plaisir d'entendre ta voix, ton frère et toi aller bien ? Me demande-t-elle toute contente. Un sourire se forme sur mon visage, je suis contente de l'entendre si joyeuse. Ce n'est pas facile d'avoir des parents qui bougent beaucoup. On déménage beaucoup, etc.

Moi : Oh maman, toi aussi ça me fait plaisir d'entendre ta voix. Tu vas bien et papa ? Pour nous tous va bien Owen va bien et moi aussi. Dis-je en souriant. Owen me regarde tout en souriant.