Se souvenir. ( Kuroko's basket ).

Chapitre 3. Erreur de parcours.

{ le média c'est Hiyani }

Aomine a ouvert le dossier et a pris le contenu entre ses mains.

Daiki: euh c'est quoi ?
Moi: c'est un papier comme quoi aumoindre faux pas et je ne serais pas prise c'est tout, et vous n'avez pas àfouiner dans mes affaires, occupez-vous de vous. 

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Ryota: mais tu n'es pas une élève a embrouille, si ?
Moi: non loin de là, c'est juste que c'est du haut niveau.
? : Tiens elle est là.
?? : C'est toi Hemiko ?
Moi: oui pourquoi ?
?? : Il faut que t'arrêtes de parler avec Aomine et Kise.
Daiki et Ryota: Et pourquoi ? Ce n'est pas à vous de décidé.

Pourquoi moi et pas Hiyani ? Minute, je crois que je viens de comprendre.

Moi: WINRY TU PEUX SORTIR !!
Winry: C-Comment ?
Daiki et Ryota: c'est qui ?
Moi: une fille en kiff sur vous deux c'est tout.
Ryota: elle ressemble à quoi ?
Moi: ah ça

Je l'ai forcé à sortir de sa cachette.

Winry: comment tu as deviné ?
Moi: on voyait ta tête dépasser.

// Fin des cours. //

// En deuxième année de collège. //

Comme depuis quelques jours Daiki me suis jusqu'à quelques pas de chez moi. J'ai décidé de le piéger, je pris un autre chemin, mais il se mit à pleuvoir. Je suis loin de cher moi. La poisse. C'est la meilleure idée que j'ai eu franchement.

Moi: oh non, la poisse.

Daiki est venu vers moi.

Daiki: Qu'est-ce que tu fais là ? Tu es loin de chez toi c'est à l'autre bout de la ville.
Moi: J'avais une course à faire mais je crois bien que je me suis égaré.
Daiki: t'es sérieuse ?

Ce n'est pas crédible.

Daiki: Si tu veux en attendant que la pluie se calme, tu peux venir chez moi ce n'est pas loin.

Je n'ai pas eu le temps de lui répondre. Il m'a pris la main, on a pris le chemin de chez lui. Il a ouvert la porte de chez lui. Mais il n'y a personne chez lui. Daiki me fixait et il est parti dans son couloir, revenu avec une serviette entre ses mains. Son visage affiche un grand sourire.

Daiki: on voit à travers ta chemise.
Moi: gros pervers.

J'ai enroulé la serviette autour de moi.

Daiki: je te raccompagne quand ça se sera calmé.
Moi: Merci, tu m'as tiré d'un mauvais pas.

Je me demande s'il vit seul.

Daiki : Tu as quelques choses à demander.
Moi: En effet, tu vis seul ?
Daiki: J'habite avec mes parents, mais ils sont partis tôt se matin, et ne reviennent que dans trois jours. Je te trouve étrange en se moment.

Je me suis juste aperçu de se que je ressentais pour toi, et ça me trouble énormément.

Moi: Tu te fais des idées Aomine.
Daiki: et s'il te plaît appelle moi par mon prénom comme tu le fais avec les autres.
Moi: ok si tu veux.
Daiki: tu te rappelles des journalistes de l'année dernière ?
Moi: Plus ou moins.
Daiki: tient regarde.

Il m'a tendu un livre enfin plutôt un magazine.

Moi: c'est un magasin sur le basket mais ils ont complètement déformé ce qu'ils ont vu et pourquoi seulement maintenant.
Daiki: ouais complètement.

Daiki a regardé à l'extérieur.

Daiki : Surtout ne regarde surtout pas dehors.
Moi: pourquoi ?
Daiki: il ne pleut plus...il grêle maintenant.
Moi: ça ne va jamais s'arrêter.
Daiki: Il est déjà dix-neuf heure trente, tu as faim ?
Moi: Un peu.
Daiki: En tout cas moi j'ai la dalle. Je vais préparer à mangé.
Moi: je peux t'aider ?
Daiki: si tu veux. Tu sais cuisiner ?
Moi: un peu.

On a commencé mais j'avais un peu de mal.

Daiki: mais non pas comme ça.

Il m'a montré comment faire. J'ai ensuite essayé de le reproduire.

Daiki: mais non c'est...non laisse tomber.

Il se mit derrière moi, me pris les mains et me le fit faire. Je suis sur que mes joues son aussi rouge que les tomates.

Daiki: et bah voilà.

Alors qu'on avait terminé de manger. Daiki en ce levant a trébuché et est tombé sur moi, on est autant rouge l'un que l'autre.

Moi: tu peux te levé ?

Il ne fit rien, son regard c'est plongé dans le mien. Son visage se rapproché dangereusement du mien, nos lèvres se sont rencontré.

Moi: ...mais...qu'est-ce qui te prend ?
Daiki: je t'aime mais je n'osais pas te le dire.
Moi: moi aussi, je t'aime.

Il a voulu aller trop loin et a essayé de m'enlever mes vêtements. J'essaye de le repousser mais il est trop fort. Jusqu'à ce qu'une de mes mains se libère et je le gifle.

Daiki: désolé....
Moi: idiot, crétin.

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