Chapitre 40. Mauvais blague, une journée de poisse.

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Taiga: regarde, sans toi on n'aurait pas autant de bon plat. On aurait pas pu savoir que jouer avec un fauteuil était si compliqué, d'ailleurs on n'aurait pas du te fait de faveur, t'es un monstre en faite.
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Taiga: Et puis tu soignes nos blessures. Enfin t'es plus utiles je tu ne le crois.

Comment il a deviné ? Se gars m'étonnes il parait un peu idiot mais en faite pas du tout il se préoccupe beaucoup des autres.

Moi: se que tu viens de me dire me touche énormément... Merci.
Taiga: il y a pas de quoi.

Il m'a frotté le haut du crâne. Avoir un petit copain, ça doit être pas mal en fin de conte.

Hemiko: mais ce n'est pas vrai ! Lâche-moi un peu.
Daiki: pas besoin de me frapper.
Hemiko: si tu comprends jamais quand on te parle. Il faut toujours employer la manière forte.

On c'est regardé avec Taiga, et j'ai pu voir un sourire se dessiner sur ses lèvres. Je n'ai pu que sourire à mon tour.

Hemiko: on vient voir si c'est bientôt près.
Moi: dans 8-10 minutes je dirais.
Hemiko: impeccable !
Taiga: je vais aller prévenir les autres.

Il est partie suite à cette phrase. Bon plus cas attendre que ça cuisent.
Nos deux tourtereaux chamailleurs sont partis à leur tour. De nouveau seule.

// À table. //

Nous étions tous à nos places.
Les discussions se fessaient par-ci et par-là avec une animation plutôt joviale.

Daiki: on organise un concours ?
Ryota: de quoi ?
Taiga: venant de lui ça ne doit pas être un concours normal.
Daiki: et qui définit la normalité ?
Ryota: par toute logique ça peut-être tout le monde comme personne.
Daiki: faux, c'est moi qui l'a défini !
Hemiko: pff la blague, et sinon ton ego ça va ?
Daiki: toujours mais le tiens risque de prendre cher si tu continues de me contre dire.
Hemiko: mais bien sûr. Tu n'oserais jamais faire du mal à la femme que tu aimes, si ?
Daiki: ...

Elle lui a cloué le bec.

Ryota: bah plus rien.
Taiga: on l'a perdu.
Ryota: recalé par sa copine.
Taiga: le naze.
Daiki: c'est qui le naze ?
Hemiko: c'est toi.
Daiki: quoi toi aussi tu t'y mets.

Je crois bien qu'il boude. Ce gars est un gamin.
Le reste de la journée c'est plutôt bien passé, mon envie de partie je l'ai définitivement oublié. C'est avec le cœur léger que je vais continuer mon rôle.

Hemiko: Jun ! On a besoin de toi !

Je ne suis pas si inutile que ça.

Moi: j'arrive.

Je l'ai suivie dehors mais en franchissant la porte d'entrée de l'eau m'est arrivé dessus.
Qui est l'abruti qui a eu cette putain d'idée ?

Moi: qui est la personne que je dois assassiner ?

Il y avait Ryota, Aomine, Kagami, Alya et Hemiko.
Ils se sont regardé tout les cinq et sont tous partie dans une direction différente. Pff, les immatures.
Je suis retourné à l'intérieur persuadé de n'avoir aucune chance de les avoir maintenant mais quand ils y attendront le moins j'attaquerai.
Enfin je me suis dirigé dans ma chambre pour prendre une serviette, en chemin.

Shintaro: et bah que t'est-il arrivé ?
Moi: une petite bande de cinq immatures mon arrosé d'eau.
Shintaro: ça ne devait pas être ton jour de chance.
Moi: tu dois avoir raison.
Shintaro: mais tu devrais aller vite te changer.

Je l'ai vu détourner le regard.
J'ai baissé mes yeux sur mon chemisier. Mince il est blanc. Je me suis caché la poitrine.

Moi: merci de l'avertissement.
Shintaro: derien.

Je suis partie à la hâte. J'avais totalement oublié.
Une fois dans ma chambre j'ai enlevé mon chemisier mais la porte c'est ouverte au même moment. Là ce n'est pas possible c'est le destin.

? et ?? : Désolé !

Ils ont refermé aussitôt. Après mettre essuyer et changer. Je suis allé à la porte pour voir qui était là.
Kuroko et Akashi. Et merde Midorima avait raison aujourd'hui n'est définitivement pas mon jour.

Moi: vous vouliez ?
Seijuro: te proposer de venir avec nous faire les courses.
Tetsuya: enfin si tu es disponible ? Vu que tu fais souvent à manger.
Seijuro: on a pensé que tu voudrais bien nous accompagner.
Tetsuya: voilà, alors tu viens ?
Moi: avec plaisir.

Je suis sortie de ma chambre en la fermant derrière moi. Et les ai suivis.
Arrivé à l'extérieur. J'ai fusillé du regard nos cinq imbéciles qui étaient heureux de leur connerie.

// En chemin. //

Tetsuya: j'ai une question.

🏀🏀🏀

Se souvenir. ( Kuroko's basket ).Où les histoires vivent. Découvrez maintenant