Se souvenir. ( Kuroko's basket ).

Chapitre 74. Nouveau souvenir, tromperie.

Moi: La ferme, sinon je te les fais bouffer.
Seijuro: Vous êtes vulgaire ici, et vous faites quoi ?
Jun: Une petite surprise que l'on doit ramasser.
Daiki, Seijuro: Et bien bon courage à vous ?

Ils sont partie rejoindre les autres garçons de l'équipe.

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Sérieux ! Ils ne nous aident même pas.

// Trois heures plus tard. //

On a vraiment mis trois heures à tout ramasser.

Moi: Jun, je peux te demander quelque chose ?
Jun: Oui, bien sur.

J'ai pointé son ventre.

Jun: Comment ?
Moi: Désolé, c'est quand j'ai été chercher les papiers pour l'entraînement je suis tombé dessus.
Jun: Je vois...
Moi: Je ne te juge pas, au contraire, je te soutiendrai si tu en as besoin.
Jun: merci mais t'inquiète pas tout ira bien. Par contre arrête de regarder les affaires des autres.

On a pu retourner dans nos chambres.
J'étais seule dans la mienne, Daiki m'a dit qu'il ne viendrait peut-être pas car il jouait avec Taiga et Ryota au basket dehors.
Tant pis se soir c'est toute seule.
J'ai du m'endormir.

PDV DAIKI:

Au vue de l'heure elle doit dormir. Je suis quand même allé voir. Une fois arrivé devant sa chambre, j'ai ouvert délicatement la porte au cas où elle dort.
Et effectivement elle doit. Je me suis approché d'elle pour lui déposer un baiser sur son front.

PDV HEMIKO:

// Rêve. //

? : Je ne peux plus le supporter !
?? : Tu nous dois le respect !
? : Dans se cas je m'en vais !
??? : Tu n'as nul part où aller.
? : Je vous déteste tous !!!

// Fin du rêve. //

Je me suis réveillé en sursaut. Et ça c'était quoi ? Qui était ses trois personnes qui se disputaient, ils n'avaient pas de visage. Après c'est peut-être juste un cauchemar. Je verrai bien dans les jours à venir. J'ai attrapé mon téléphone pour voir l'heure. Huit heure. Et j'ai un message de Daiki il dit <<Hier soir je suis venu, et tu ronflais :)>>. Je vais me le faire celui-là.

Dans la cantine j'ai pris une place juste à cote de Daiki.

PDV SEIJURO :

Daiki et Hemiko étaient devant moi, mais il y a quelque chose qui ne va pas. Daiki avait son assiette qui diminué beaucoup trop rapidement au fur et à mesure qu'il se servait.

Daiki : Tu es une vraie gamine !
Hemiko : Et toi alors !

Et c'est reparti pour un tour.

Alya : Il y a quoi ?
Moi : Daiki et Hemiko qui se dispute, comme un peu près tous les matins. C'est lassant.
Toshiro : Je ne dirais pas le contraire. Alors vous deux vous allez vous calmez ou c'est moi qui vous calmer.

Il leurs a mis une tape sur la tête.

Toshiro : Un peu de concentration.
Jun : Il n'a pas tord surtout avec se qu'il vous attend après.
Hemiko : Tu non vous êtes des monstres.

La femme de notre entraîneur est arrivée avec leur fils et la sœur à Jun.

Len : Pourquoi c'est toi leur capitaine ? Il y a meilleure que toi !

Je supporte de moins en moins les piques de sa sœur.

Moi : Va demander à l'entraîneur.
Len : Non, c'est ta réponse que je veux.
Moi : Je ne sais pas, et puis lâches moi deux seconde veux-tu ?!

J'en peux plus faite qu'elle parte vite. Elle le fait toujours quand sa sœur à le dos tourner.

Jun : Alya, Daiki, Sei... Akashi et Hemiko on va commencer.

Il vaut mieux éviter devant Len. On a commencé l'entraînement dirigé par Jun. Cette fois c'est individuel. Dans sept jours sera notre prochain match mais nous ne serons contre qui que demain après midi.

// Deux jours plus tard. //

Nous jouerons contre l'Italie. C'est une équipe qu'on a rencontre en ville dans les débuts où nous sommes arrivés ici. On est en fin d'après-midi, et ça fait déjà trois jours qu'on est obligé Jun et moi de jouer la comédie à cause de sa sœur.

Moi : J'en ai marre.
Jun : Je sais, moi aussi mais je ne peux rien faire pour le moment.
Moi : On a cas lui dire, elle devrait s'y plier.
Jun : J'y ai pensé mais...

De parfaits inconnu sans aucun moment à nous deux et j'en ai marre. Je l'ai doucement coincé entre le mur et moi, pour l'embrasser. Ses mains se sont glissées dans mes cheveux. Ces contactes à elle aussi lui manquait.

? : Mais... Comment ? Pourquoi ? Il est horrible !

Malheureusement, il s'agissait de Len. Nous nous sommes écartés l'un de l'autre.

Jun : Il faut que tu comprennes.

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