Chapitre 53. La gentillesse peut sauver un cœur.

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Jun: Sei regarde-moi, tu n'as pas à avoir honte.

J'ai tellement honte de mon comportement.

Jun: tu n'as rien fait de mal.

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Si je vais te faire du mal à toi, mais tu ne le sais pas encore. Rejettes-moi... Avant qu'il ne soit trop tard.

Jun: c'est normale d'avoir se genre de projet, mais pas maintenant.

Pourquoi tu es si gentille ? Dit non tout simplement. Je t'en supplie, arrêtes-moi, avant que je ne foute tout en l'air.
Je l'ai pris dans mes bras. Des larmes que je pensais impossible on commençait à perler sur mes joues, sans que je ne puisse les arrêter.

Jun: Sei... tu sais tu peux me dire se qui ne va pas au lieu de tout prendre sur toi.

Elle m'a caressé le dos avec une telle douceur que j'en avais mal.
Je me suis mis la pression pour un connard de père qui ne pense cas sa gueule.

Moi: j'ai craqué Jun, excuses-moi.

Jun m'a pris par les épaules et a plongé son regard dans le mien.

Jun: ce n'est rien, on a tous le droit de craquer, toi compris. Mais s'il te plaît arrêté de tout prendre sur toi, tu vas finir par te ruiner la santé.

Elle marqua une légère pose avant de reprendre.

Jun: C'est la première fois que je te voie pleurer.
Moi: ne va pas te moquer.
Jun: je ne me moquerai jamais de toi. Et puis ça me touche que tu te montres comme ça à moi.

Je t'adore même plus je t'aime plus que tout.
Elle a essuyé les larmes qu'il le restait aux coins des yeux.
La petite violette a remit son pantalon ainsi que sa veste.

Jun: tu as l'air d'aller beaucoup mieux.
Moi: oui grâce à toi. Mais dit moi, tu n'aurais rien à me dire ?

Elle semblait chercher quelque chose.

Jun: tout dépend quoi j'ai deux truc à dire. L'un est sans importance alors que l'autre oui.
Moi: commence par le moins important dans se cas.

Les joues de la jeune fille en face de moi c'est teinté de rougeurs, elle est à croquer.

Jun: et bien, est-ce que tu voudrais bien me passer un de tes tee-shirts ?

Un tee-shirt ?

Moi: bien sûr pourquoi ?

Son visage pourrait s'apparenter à une tomate. Je me suis levé vers mon armoire pour prendre un tee-shirt bleu marine.

Jun: pour... comment dire... t'avoir au près de moi un peu... plus souvent.
Moi: si c'est pour ça.

Je lui ai déposé sur ses cuisses.

Jun: merci !

Un rien peut la rendre heureuse.

Moi: le deuxième truc ?

Son visage c'est assombrie.

Jun: si je venais à être amputé des deux jambes, tu m'aimeras toujours ?

Aie, ça s'annonce mal.

Moi: bien sûr. Et puis maintenant avec les prothèses on y voit que du feu.
Jun: ouf ça me rassures.
Moi: mais tu ne les perdra pas, rassures-moi?
Jun: pas pour le moment du moins. C'était juste pour savoir à l'avenir.
Moi: je comprends.

Je pouvais facilement savoir grâce à son expression qu'elle en souffrait en se moment même.

Moi: tu as mal ?
Jun: oui depuis le match, ça n'arrête pas.
Moi: j'aurais dû demander à se que tu ne joues pas.
Jun: tu n'y es pour rien. Je peux te demander autre chose ?
Moi: oui ?
Jun: Ton père il sait pour nous ?

Pourquoi cette question maintenant ?

Moi: Non et il ne vaut mieux pas pour le moment.

C'est la vérité après tout. Il c'est que je suis avec quelqu'un mais pas qui, alors je ne mens pas complètement.

Moi: ça se voie que tu veux encore quelque chose.
Jun: c'est gênant, mais est-ce que je peux dormir avec toi se soir ?

Cette fille est juste adorable, comment résister ?

Moi: oui bien sûr. Ça me ferait plaisir.
Jun: youpi !!

Elle m'a sauté dans les bras à m'en faire tomber, elle sur moi. Je lui ai caressé son visage des bout des doigts.
Mais son regard changea il se montrait plus taquin.

Moi: qu'est-ce que tu prépares?
Jun: hehe.

Elle c'est assise sur moi et a commencé à me chatouiller.

Moi: ... Stop... arrête... attends tu vas voir.

Je l'ai chatouillé à mon tour.

Jun: ok... T-tu as gagné....
Moi: je ne t'entends pas.
Jun: oh grand Akashi Seijuro, vous avez gagné.
Moi: mouais, peut faire mieux.

🏀🏀🏀

Se souvenir. ( Kuroko's basket ).Où les histoires vivent. Découvrez maintenant