Se souvenir. ( Kuroko's basket ).

Chapitre 4. La fin.

{ le média est Toshiro, le frère de Hemiko }

Il a voulu aller trop loin et a essayé de m'enlever mes vêtements. J'essaye de le repousser mais il est trop fort. Jusqu'à ce qu'une de mes mains se libère et je le gifle.

Daiki: désolé....
Moi: idiot, crétin.

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Je suis partie, en prenant mes affaires avec moi. Quand je suis rentré chez moi, il pleuvait toujours sinon ce n'est pas drôle après tout.

PDV DAIKI :

Moi : Quel idiot j'ai fait n'importe quoi.

// Le lendemain au collège. //

Hiyani: tient Hemiko, elle n'est pas là ?
Tetsuya: Visiblement non.

Hiyani a sortie son téléphone.

Satsuki: Hemiko n'est pas là ?
Hiyani: Elle ne viendra pas elle est malade.
Satsuki: ah pas de chance.
Ryota: il y en a qui se gêne pas.
Satsuki: de quoi tu parles ?
Ryota: tient lis l'article.

Il lui a donné le magazine, c'est le même que j'ai montré hier à Hemiko.

Satsuki: alors il dit une personne de la génération miracle a fait un peu trop d'avance à une fille qu'il n'aurait pas dû. Ou alors c'était le but de leur duel qui date d'il y a un an. C'est personne sont... Comment ?!
Moi : c'est qui !?
Ryota: toi et Hemiko.
Moi: mais il ne sait rien passé du tout !
? : Tu as entendu ça ?
?? : Oui c'est une p***.
? : C'est clair.

// Fin des cours. //

PDV HIYANI :

Je suis arrivé devant leur maison en compagnie de Ryota et Tetsu.

Moi : salut Toshiro.
Toshiro: Hiyani tu viens pour Hemiko, et eux ?
Ryota et Tetsuya: on est des camarades de classe.
Toshiro: ta tête de blond, je l'ai déjà vu quelque part.
? : C'est normal Kise Ryota. Génération miracle. Ça te parle.
Toshiro: va te couché Hemiko.
Hemiko : non. C'est bon je vais bien mieux.
Ryota: tu as quoi ?
Hemiko: un petit rhume.
Toshiro: mais oui un petit rhume à 40 de fièvre.
Hemiko: mais j'ai plus rien.
Moi: tu reviens demain ?
Hemiko: oui bien sûr.

L'on parlait de tout et de rien. Le frère d'Hemiko a du partir pour son travaille.

Moi : Hemiko demain quand tu reviendras tu auras des mauvaises surprises.
Hemiko: C'est-à-dire ?
Moi : Il y a eu un article spécial qui parle de toi et Daiki.
Hemiko : Oui et ?
Moi : Et bien, il t'aurait obligé à faire certaine chose.
Hemiko : C'est n'importe quoi.

PDV HEMIKO :

Ryota: Mais a part les ragots vous ne risqué rien.
Moi : Des ennuis, super, il ne me manque plus que ça.

// Le lendemain. //

Quand je suis revenu au collège, si les élèves avaient des regards qui pourraient tuer, je serais déjà morte. Pourquoi ça n'arrive qu'à moi c'est chose là ?

? : Elle n'aurait jamais du revenir.
?? : Ce n'est qu'une p***.
Ryota: fait pas cette tête.
Moi: ma tête est normale.
Tetsuya: aujourd'hui on a un nouvel entraîneur pour une semaine.
Ryota: Ah bon ?

PDV RYOTA:

Moi et Kuroko, on c'est dirigé vers le club.

Tetsuya: mais c'est...
Moi: Le frère de Hemiko.
Seijuro: vous le connaissez ?
Moi et Tetsuya: oui.
Toshiro: tient, Ryota et Tetsuya c'est ça vos prénoms.

Satsuki, Hiyani et Hemiko sont arrivés.

PDV HEMIKO:

Moi: Toshi ? Qu'est-ce que tu fais là ?
Toshiro: salut. Je viens les entraîner.

Daiki n'a pas l'air d'être là. Atsushi est arrivé quelques minutes plus tard en compagnie de Daiki.

Daiki: c'est quoi tout ce boucan ?

Comme à son habitude Atsushi s'en moque totalement.

Ryota: c'est que notre entraîneur remplaçant et c'est aussi le grand frère d'Hemiko.
Daiki: sérieux ?

Quand mon frère c'est mis à la hauteur de Daiki, nous pouvions voir que min frère était plus grand que lui.

// Sonnerie. //

On a du aller en cours.

// Fin des cours. //

Hiyani: tu viens ?
Moi: non tout à l'heure il faut que je prenne un truc à mon casier.
Hiyani: ok. Je t'attends dehors avec les autres.
Moi: ok.

Je suis arrivé à mon casier et en l'ouvrant, il y avait un morceau de papier qui dit << Tu peux toujours crever, personne ne s'en plaindra. >>

Daiki: bah qu'est-ce qui t'arrive ?

...

Daiki: Je suis vraiment désolé pour se que je t'ai fait.
Moi: ce n'est pas pour ça.
Daiki: bah qu'est-ce que c'est ? Et c'est quoi de papier ?
Moi: c'est pour rien et pis lâche moi.
Daiki: ok ok.

On est allé tout lesdeux rejoindre les autres en marchant, ils étaient tous entrain de rire maismoi non j'étais à l'écart, j'étais à deux doigts de pleurer mais je ne l'ai pasfait.

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