Chapitre 81. Vie privée.

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Père : C'est de ta faute.
Mère : Les gosses que tu tabassais été des enfants de nos patrons.

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Père : Ils ont coupé le commerce entre nous.

À partir de se jour mes parents m'ont considéré comme seul et unique responsable de leur misère. J'ai donc subit des injures, de la maltraitance à la moindre occasion utile d'après eux, à chaque coup dure pour eux, j'étais devenu leur souffre douleur. Leur propre fils. J'étais devenu un moins que rien à leur yeux.

// Dernière année de collège. //

Je suis dans ma chambre et pour une fois tranquille, car les parents ne sont pas là.
J'ai pris un couteau de cuisine. Désolé petite sœur, mais je n'en peux plus, j'ai envie d'en finir une bonne fois pour toute. J'ai point la lame du couteau vers mon ventre. Il n'était plus cas quelques centimètres de sa cible.

? : Non ne fais pas ça !!!

Quelqu'un m'en a empêché. Le couteau était loin, très loin de moi. J'ai levé la tête. Hemiko était sur moi, elle m'avait pris les deux mains dans les siennes et elle pleurait beaucoup.

Hemiko : Pourquoi ? Ne fait plus jamais ça, trouve une autre solution pour échapper aux parents.

Elle est vraiment lourde. À cette époque Hemiko était en surpoids. Et ce n'est qu'aujourd'hui que je n'ai compris la cause de celui-ci.

Hemiko : J'ai tellement peur pour toi, tu n'imagines même pas à quel point. Il y a des personnes qui t'aime bon sang ! Pourquoi vouloir te donner la mort, c'est égoïste de ta part !

Elle a raison.

Moi : Je suis désolé, je ne recommencerai plus.
Hemiko : Tu es un menteur !

Elle a replié les manches de ma veste.

Hemiko : Tu recommenceras, encore et encore, jusqu'à te vider de ton sang. Et si se jour arrive, je te donnerais mon sang, pour que tu vives ! Alors ne fait plus rien de stupide.

Elle n'avait que neuf ans et moi quinze et pourtant c'est elle qui vient de me donner une leçon.

Moi : Ok, c'est bon. Mais on changera tout les deux. Moi je renonce à mourir et toi tu vas maigrir.
Hemiko : Ok ! Mais je veux que tu m'apprennes à jouer au basket !
Moi : C'est entendu !

On c'est relevé pour une nouvelle vie pleine d'espoir. Une semaine plus tard, j'avais demandé à être émancipé, j'ai commencé à travailler à coté des cours et Hemiko m'a rejoint à son entré au collège.

## Fin du passé. ##

PDV HEMIKO :

J'en suis bouche bée. Je n'en reviens pas. Lui, faire se genre de chose.

Toshiro : Je sais à quel point la vie peut-être cruelle.
Moi : Et maintenant ?
Toshiro : Notre père est mort d'un cancer il y a deux ans. Et notre mère a commencé à ouvrir les yeux à la mort de papa.
Moi : Je vois.

On est resté encore à parler quelques minutes avant d'être appelé pour manger.

Jun : Riko, il me manque deux assiettes.
Riko : Tiens les voilà.

On a entendu des assiettes se briser.

Satsuki : Jun, tu vas bien ?
Jun : Oui, je vais bien.
Satsuki : Il serait temps que tu nous expliques !

On a entendu des éclats de voies.

Daiki : Il se passe quoi ?
Tetsuya : Je ne sais pas ça vient de la cuisine.

On est tous aller voir. Satsuki, Riko et Jun sont entrain de se disputer.

Riko : Elle a raison, on n'est pas aveugle.
Satsuki : On voit bien qu'il y a un truc.
Jun : Mais rien vous vous faites des films.
Satsuki : Mais bien sur et ton gonflement et ses papiers ?

Elle a entre les mains les papiers de grossesse de Jun.

Jun : Comment tu as eu ça ?
Satsuki : C'est Hemiko qui me les a donnés !

Quoi ?! J'ai donné quoi ? Ce n'est pas vrai les plannings, je les ai mis avec.

Jun : Hemiko te les a donnés ?
Riko : Tu ne peux plus mentir.
Jun : Rien ne vous regarde alors laissez-moi tranquille.
Satsuki : On ne peut pas.

Jun est partie rouge de colère. Ça tourne mal.

Toshiro : Tous à vos places, et commencé à manger.

Toshiro est partie à son tour dans la même direction que Jun.
C'est ma faute, j'ai encore une fois commis une erreur. Pourquoi il a fallu que se soit Jun qui se prenne tout. 

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Se souvenir. ( Kuroko's basket ).Où les histoires vivent. Découvrez maintenant