Je suis fière de toi.

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[...] Mais je les ai tué ce jour même et j'ai sombré dans les ténèbres.

***
_Là tout a commencé. Je tuais pour mon propre plaisir, j'aimais voir la peur dans les yeux des autres. Je tuais pour aucune raison. Je ne voyais que le noir partout tout le monde n'était que mauvais, personne était sincère, tout le monde respirer l'hypocrisie. J'ai tué, sous prétexte que je voulais exterminer la mauvaise graine de l'humanité. Tous les hommes étaient des assassins, des sans cœur. Jamais je n'ai touché à une femme où un enfant. Les enfants n'étaient que de petits anges sans défense et les femmes je le respectais. Elles sont les seules qui m'ont montré une once d'amour, elles sont la source de la vie, je les respectais et je les respecte, j'ai même contribué que les femmes puisse avoir leurs droits.
Mais plus je tuais, plus je m'enfonçais. Je devenais comme ceux que je tuais. Après deux ans où je n'étais que meurtrier, j'ai arrêté, je me suis dit que je me devais d'honorer mon maître, prendre soin de mon héritage et sa lignée. Je suis retourné chez moi pour retrouver ma sœur. Avec son aide, on a fait beaucoup de chose. On a commencé à étudié notre génétique et on a pu constater qu'on avait une sorte de gêne qui est la cause de notre guérison rapide. On a étudié cette gêne et on a constaté qu'elle pouvait guérir les humains également.

_Après cette découverte, on a commencé une sorte de médecine où on mélangeait plante et notre sang ou un liquide et notre sang. Ça c'était les médicaments. L'effet était spontané, la personne guerrissait à vue de l'œil.
On a continué notre petite entreprise mais plus les années passées, plus on voyait les effets de notre sang sur l'organisme humain. La personne en soi, devenait plus fort, sens développé, elle vivait plus longtemps. Ce n'était pas rassurant. Les personnes adoptaient des faits anormaux. Ça explique d'ailleurs à moitié pourquoi les anciens vivaient plus longtemps. On a commencé à diminuer la dose du sang utilisé. Et on a commencé les recherches pour remplacer notre sang. Plus le temps passé, plus on diminuer la dose et on commça avec des composition chimique. La médecine a commencé par là. Puis on a commencé autres entreprises jusque là.
Voilà l'homme que je suis Ericka. Mon passé qui me définie. Ainsi j'ai vécu. Termina t'il son récit.

Mon Dieu ce qu'il a vécu. Jamais je n'aurais pu penser que ce genre de vie existait. Je le voyais dans les films mais je ne pensais pas que c'était réel. Je l'ai écouté durant son récit, j'avais même versé un peu une larme. Son regard était fermé, vide. Il se souvenait de son passé et moi je le vivais avec lui. C'est affreux aucun enfant ne doit vivre cela pas même un adulte.

Je suis fière de son ce qu'il devenu, il a pu ce relever du plus bas pour être ce qu'il est. Il a sauvé plus de vie qu'il ne le pense. Il a peut-être tué, il a sombré dans les ténèbres mais l'important c'est qu'il a pu se convertir en sauvant. Je suis fière de lui, de son courage.

PDV Neil.

Mon passé n'est pas du tout en rose. Il a été plus sombre que le noir. J'ai vécu des choses difficiles. Mes choix ont pas toujours été les bons. J'ai fait des choses horribles que je regrette à peine.

Mais le problème ne se trouve pas là. Le problème est que mon passé risque d'affecter mon présent, parce qu'il faut avouer que mon passé n'est pas glorieux.

_Je me demande ce que tu peux bien penser là maintenant. Dis je.

C'est vrai quoi. Elle me regarde, elle m'analyse plutôt. Elle me regarde de partout sans rien dire son expression faciale est neutre, rien ne me prépare à une quelconque réaction, ce qui ne présage rien de bon, son esprit est fermé pour de bon, rien ne passe.

_ Dis quelque chose Eri!

_Ta vie... Ta vie a été tellement horrible Neil. Je n'arrive pas à croire ce que tu as pu ressentir. Je... Je ne sais pas quoi dire pour dire vrai.

Voilà ce que je redoutais. Les meurtriers restent des meurtriers. Qui n'aurait pas peur de quelqu'un qui a tué juste pour le fun? Moi en tout cas, je me mifierai.

Elle s'approche de moi et me regarde attentivement. Au passage on est arrivé à la maison. On est dans mon salon privé.
Elle met sa main sur ma joue l'autre main dans mes cheveux. Elle caresse doucement mais cheveux en me grattant l'arrière crâne. Ce geste est bizarre pour moi mais c'est très agréable que si j'étais un félin, je saurai en train de ronronner.

_ Je suis fière de toi Neil. Je peux t'assurer que si ç'avait été moi, je me serai suicidée. Tu as peut-être déraper mais tu t'es relevé, tu as sauvé des gens pour te repentir on va dire. Tu as fait énormément de choses glorieuses. Et ça tu peux en être fier. Maintenant, tu n'es plus cet enfant qu'on battait, tu es un homme beau, fier et qui sait ce qu'il fait, ce qui fait ton charme Neil. Je ne vais pas me focaliser sur tes erreurs mais sur l'ensemble de ta vie. Et je peux t'assurer que rien dans tout cela te rabaisse à un homme effroyable par contre ton histoire te fait monter dans mon estimé, je sais que tu n'es plus cet homme sans pitié et je suis heureuse de te connaître Neil.

Mon Dieu ! Celui qui a créé cette femme a vraiment pris toute une année pour la perfectionner.
Je la regarde un instant et je l'attire vers moi, je lui mais un baiser sur le front la serre dans mes bras.
Cette femme est très précieuse pour moi.

PDV Ericka.

Je ne suis pas folle mais son histoire est tragique et je l'admire. Ce que je viens de dire est bel est bien vrai. Son histoire l'a monté dans mon estime. Quoi que nous réserve l'avenir, je serai là pour lui. Je me le promets. En tout cas je suis fière de lui.

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Chapitre 49. Bonne lecture.

Son Monde IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant