Volonté - Tokyo revengers x OC

Les trois piliers

————————————Hey—————————————

Désolée pour cette absence !!

Je suis prise entre le boulot et les 56 dossiers et mémoires à rendre pour mes études mais promis cette histoire n'est pas terminée !

Je dois juste me sortir de cette partie de transition dans laquelle je n'arrive pas à projeter notre petite Rina !

Mais promis je continue d'ajouter quelques lignes chaque semaine au minimum si ce n'est tous les jours !

Je suis bientôt de retour avec de l'action (tous les chapitres sont déjà planifiés et les idées générales sont posées il "suffit" de rédiger...)

Je tiens à vous remercier pour votre présence tout au long de cette ff, on continue l'aventure ensemble !

Je vous laisse avec ce chapitre qui a mit TRÈS longtemps à venir !

Des bisous <3

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La salle est sombre autour de nous, le bras de Chifuyu entoure mes épaules, j'observe son visage grâce à la lumière tamisée du projecteur.

"Regarde le film, pas moi, cretine."

Je dissimule un sourire avant de me retourner vers la projection. Mon téléphone se met à vibrer frénétiquement dans ma poche, je le sors discrètement pour ne pas gêner les spectateurs et le découvrant le visage souriant de Mikey qui clignote sous l'assaut incessant de ses appels. Je raccroche une énième fois exaspérée avant qu'il ne choisisse de m'envoyer un message :

"Ce soir, 23h réunion, enfin, j'ai besoin de toi d'urgence plutôt."

Un soupir franchit mes lèvres, ce n'est pas une réunion mais un appel à l'aide. Chifuyu passe la tête au dessus de mon écran :

"Vas-y une fois le film fini ?"

Je fais un petit oui du menton, l'inquiétude de retrouver un Mikey au bord du gouffre commençant à me ronger l'estomac.

Les lumières s'allument petit à petit. Je secoue la tête, les pensées encore perturbées par le film. Comme toujours je m'identifie à l'un des personnages et durant quelques minutes ses problèmes deviennent miens.

Alors que le vent fait remonter un frisson le long de mon corps, Chifuyu pose sa main sur mon épaule. Son contact me détend mais je ne peux jamais m'empêcher de le comparer à la chaleur de la paume d'Hanma, à cette sensation qui avait paralysé mon cœur.

Il dépose un léger bisou sur mon front avant de monter sur sa moto :

"Tiens moi au courant s'il y a un soucis.

- Yes, t'inquiète pas là dessus."

Son moteur vrombit alors que je colle mon téléphone à mon oreille.

"Mikey, je peux venir, où est-ce que je te rejoins ?

- On est au snack à côté de la place de réunion. Bouge, je vais demander à tout le monde de venir ensuite."

Je raccroche en soupirant, le ton de sa voix ne présage rien de bon. Et comment ça "on" ? Qui est avec lui ?

Une vingtaine de minutes plus tard, les mains gelées figées sur les poignets de ma moto je pose la béquille.

L'air chargé d'une délicieuse odeur d'huile et de sel me rappelle que mon seul repas de la journée s'est résumé aux pop-corn que Chif à bien voulu partager avec moi après moult négociations.