Chapitre 36

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POV Noah

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POV Noah

C'est habillé dans un style plus décontracté que d'habitude que je me rend à l'avant-première de Mad Max Road.

Je salue poliment les personnes que je reconnais et je prends place sur le siège qui m'était destiné dans la salle de projection.

Je soupire en voyant le deuxième sièges à mes côtés qui n'attend qu'elle.

Médusa.

Depuis lundi, nous n'avons échangé presque aucun mot et nous sommes jeudi soir.

Même à l'avant première de Lily mardi, nous sommes juste resté assis gentiment côte à côte jusqu'à la fin de la projection.

Cependant, ce soir il y a une soirée face à l'événement de la sortie du film et je compte bien m'y rendre pour me vider la tête, qui n'est rempli que de son image.

Son silence, me rend ouf et ses regards me plongent dans un univers très peu catholique.

Chaque putain de seconde depuis la nuit de samedi à dimanche je ne pense qu'à elle, à ses baisers, son touché, ses caresses, son regard de tigresse.

Je ne pense qu'à mon corps dans le sien, mes doigts qui effleure sa peau, son odeur de vanille.

Ses gémissements sonnent dans ma tête comme la meilleure et la pire des mélodies, jamais auparavant je n'avais encore goûté à une femme comme Cassie.

Elle est téméraire, sauvage, tentatrice et j'ai autant aimé la dominer que de me laisser faire.

Elle est envoûtante et je crois bien que cette sorcière aura ma peau d'ici peu.

Depuis lundi matin, je ne rêve que d'une seule chose, recommencer et ça me fait un mal de chien de devoir résister à la tentation surtout quand elle se nomme Cassie.

Son corps est un putain de fruit défendu, ses lèvres et ses baisers sont un poison mortel auquel je serais capable d'y goûter à nouveau même si je dois en mourir.

C'est interdit et pourtant délicieux.

Dieu soit loué Zackary n'est pas là cette semaine et je peux tranquillement travailler dans son bureau loin du pêché.

Parce qu'une chose et sûre, je serais incapable de travailler face à elle.

Face à ses mimiques, ses sourcils qui se froncent quand elle est bloquée sur quelque chose, ses lèvres qui se pincent entre elles quand elle est concentrée.

Non je serais si faible, que je la prendrais immédiatement sur son bureau en renversant tout sur son passage, même ma pauvre dignité qui pleure de me voir tomber pour mon ennemi.

Je n'arrive même plus à la détester, parce que je crois que j'aime ce qu'il se passe entre nous.

C'est dangereux et excitant à la fois parce que je suis persuadé qu'elle sait, comme moi que ça va recommencer.

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