Chapitre 37

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Je souffle déjà soûlé de mon samedi soir en sortant de l'ascenseur de mon hôtel

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Je souffle déjà soûlé de mon samedi soir en sortant de l'ascenseur de mon hôtel.

Normalement, je suis en week-end mais bien non.

Monsieur Cody Meyers l'ami de mon père a insisté pour avoir un dîner d'affaires ce soir avec le représentant de The Cineart, c'est-à-dire Noah et moi vu que Zackary est encore à LA ainsi que le réalisateur en vogue.

Tout ça pour une seule raison, lui présenter son actrice du moment de son agence de Webdia.

Vu le pauvre type que j'ai pu apercevoir lors de mon premier dîner lorsque je suis arrivé ici, ça ne m'étonne pas que ce mec se croit au-dessus de tout le monde et peut commander qui veut du bout des doigts.

C'est pourquoi, j'attends les invités de ce soir, Dieu merci Meyers a choisit de manger dans le même restaurant que la dernière fois, c'est-à-dire le resto de mon hôtel.

Je suis habillé d'un pantalon carotte noir accompagné d'une ceinture, d'une brassière ainsi que d'un top transparent en dentelle et des escarpins.

Je suis habillé d'un pantalon carotte noir accompagné d'une ceinture, d'une brassière ainsi que d'un top transparent en dentelle et des escarpins

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J'ai ondulé grossièrement mes cheveux et j'ai fait un maquillage vite fait.

C'est alors que je vois Noah faire son apparition dans l'hôtel alors qu'il sourit aux membres du personnel.

Mon corps réagit directement à la beauté de cet homme ainsi qu'à nos souvenirs de la nuit passé il y a maintenant une semaine.

Mon corps n'a jamais autant désiré quelqu'un que lui et je suis autant gêné que frustré.

Je ne parle même pas des deux représentations où j'ai été assise à ses côtés alors que je ne rêvais que d'une seule chose, grimper sur ses genoux.

Et je ne parle pas de la tension qu'il y entre nous deux et du voyage en voiture après l'after de Mad Max Road jeudi soir.

J'ai cru que j'allais mourir étouffé par l'ambiance sexuelle qu'il y avait au sein de la voiture.

Tout le long du trajet, mon cerveau était en train de nous imaginer à l'arrière sur la banquette, nos corps transpirants de désir de sueur si bien qu'on referait la scène de Titanic.

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