47. Esteban

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Je sens des sentiments longtemps refoulés qui remontent. Tout cet amour que j'avais pour cette femme, la trahison que j'ai ressenti lorsqu'elle m'a dit qu'on ne pouvait plus se fréquenter. Je me rappel la première fois où on a couché ensemble, c'est magique. Malgré ce que je ressens je doit continuer. 

- Le prince n'avait que dix sept ans lorsqu'elle lui imposa ça. Il parti alors le cœur brisé. Deux ans plus tard on vint le trouver pour lui annoncer qu'une flèche l'avait touché et qu'elle était mourante. Affolé il se rendit à ses cotés.

- Esteban je regrettes ce qu'il s'est passé mai sache que je t'aime toujours et que je n'ai jamais cessé de t'aimer.  Esteban le jours où je t'ai demandé de partir c'est parce que j'au appris que j'étais enceinte...

Le prince était sans voix et ne savait pas comment réagir. 

- Pourquoi tu ne me l'a pas dis ? 

- Je ne voulais pas ternir ta réputation alors je te l'ai caché. Mais maintenant je meurs et je te le confit.

- Mais Ana comment je vais faire sans toi ? 

- Esteban maintenant va t'en et prend le avec toi. 

Ils s'embrassèrent une dernière fois. Le prince fit monter le petit devant lui est parti au galop. 

Fin !

Ça y est je pleurs. Ginger me prend dans ses bras. On s'endort l'un contre l'autre. 

A six heures mon téléphone et c'est parti pour une heure et demi de footing. Après la soirée de hier soir j'ai besoin de me vider la tête. Hier en voulant tout révéler à Ginger je me suis remémoré des souvenirs douloureux. 

La suite de la semaine passa beaucoup trop vite, et notre retour approcher à la même vitesse. 

Arriver devant le porte d'embarcation James fondit en larme. Ginger le prit dans ses bras pour lui déposer un baiser sur le front. Elle le lâche et je la prend à mon tour dans mes bras. 

- Tu vas me manquer. Lui susurrais je a l'oreille.

- Toi aussi et plus que ce que tu ne le crois. Me répondit elle. 

Je la libère pour la regarder une dernière fois. Elle me dépose un léger baiser sur mes lèvres. Je passe une main dans ses cheveux pour l'empêcher de se libérer. La majorité des gens autour de nous nous regarde choqué et  d'autre nous observe avec amusement. Lorsque je la libère enfin elle me lance son regard qui dit "baise moi tout de suite". Je décide de ne pas y faire attention et me retourne pour prendre ma valise et celle de James. 


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