Inoubliable

22. Ginger

Mon réveil sonna à six heure. Je remis mon tee shirt et sortis de ma chambre, je me frotta les yeux tout en titubant dans le couloir. J'arrivais dans le salon et sur la table il y avait une assiette de pancakes avec des fraises et de la chantilly à coté. La spécialité d'Esteban.

***

Ça faisait environ une heure que je courais. Avant de partir j'avais préparé à manger à Ginger. J'étais sur le chemin du retour. Je jeta un coup d'œil à ma montre. Il était sept heure moins vingt. J'accélérea l'allure. J'arrivais pile au bon moment, elle sortait de la maison. Elle portait un tailleur noir avec une chemise blanche et une jupe crayon noir. C'était vrai que c'était une tenue de travail plutôt simple mais putain qu'est ce qu'elle était sexy avec.

***

Je sortais de la maison avec mon verre thermos remplis de café. Je portais mes feuilles à bout de bras ainsi que mon ordinateur. Je vis alors Esteban arriver du coin de la rue. Je me sentis rougir. Je déverrouilla rapidement ma voiture jeta mes affaires à l'arrière, et monta rapidement. Je démarra et sortis de l'allée. Esteban sprinta vers moi, je baissa la fenêtre pour écouter ce qu'il avait à me dire.

- On mange ensemble à midi ? Me proposa t-il.

- Les restos autour de la boîte sont super cher. L'informais je.

- Mais qui à dit qu'on irait au restaurant ? Me demanda t-il d'un air malicieux. Je vais nous préparer deux lunch box et on mangera quelque part.

- Ok. Acceptais je.

Ça me semblait être une bonne idée. En arrivant je monta directement dans mon bureau. Je détestais le travail de bureau mais bon c'était l'autre coté du métier. Il n'y avait pas que les visites chez les clients, il faut aussi faire toute la partit administrative.

A midi je pus enfin souffler et aller prendre ma pause. Esteban venait manger avec moi. D'ailleurs je ne savais pas comment il arriverait à trouver. Je décida de lui envoyer un rapide texto :

G : Tu as trouvé ?

E : Je suis devant, je t'attend.

Je reteins un cri et descendis en courant. Mes collègues se retournaient en me regardant bizarrement. Je passa les porte en l'air et le trouva assis sur le banc d'en face. Il était au téléphone, il portait ses lunettes de soleil et un pantacourt en jean et un tee shirt blanc. C'était une tenue plutôt basique mais elle lui allait bien, il était sexy à mort.

- T'as vu ce mec, il est nouveau ici. Me chuchota Lisa qui était apparut à coté de moi.

- Ouais tu dois avoir raison. Lui dis je en avançant vers lui.

Esteban raccrocha et m'offrit un grand sourire. Il se leva et s'avança. Il passa son bras autour de ma taille et m'embrassa délicatement.

- Alors mademoiselle de Cambridge vous avez faim ? Me demanda t-il avec un sourire malicieux.

- Je meurs de faim. Lui dis je en lui rendant son sourire.

- Alors allons manger ! S'exclama t-il.

Je le suivis jusqu'au banc. Nous nous assîmes. Il attrapa le sac à coté de lui et en sortit deux boutes.

- Salade d'avocats. Déclara t-il fièrement.

- Ça a l'air délicieux. Le complimentais je.

- Attend tu n'as pas encore goûté. Me dit il en me tendant une fourchette.

Je goûta.

- C'est délicieux Esteban ! M'exclamais je.

- C'est un plaisir de cuisiner pour toi. Me dit il en m'embrassant sur la joue.

Nous mangeâmes en discutant de tout et de rien, et ça faisait du bien. J'avais arrêté de me prendre la tête depuis qu'il était arrivé. Il sortît encore deux boîtes de son sac.

- Le dessert. Annonça t-il fièrement.

Il me tendit la boîte. Je l'ouvris et explosa de rire.

- Un yaourt au chocolat ! M'exclamais je hilare.

Je regarda l'heure sur mon téléphone. Il était déjà treize heure.

- Ma pause est fini je dois y aller. Lui dis je en me levant.

- Reste encore un peu. Me supplia t-il.

- J'ai un rendez vous à treize heure trente, il faut vraiment que j'y aille Esteban.

Je l'embrassa rapidement. Mes collègues me fixaient toute.

- Alors comment vous vous êtes rencontré ? Me demanda Lisa tandis que je montais chercher mes clés.

- Non je ne te dirais rien parce que tu dois aller travailler et moi aussi. Lui annonçais je gentiment.

- Quoi mais tu ne peux pas me laisser comme ça. Protesta t-elle.

- A demain. Lui dis en attrapant les dossier de sur mon bureau.

Je descendis les escaliers et sortis.