Inoubliable

31. Esteban

Ça faisait maintenant un peu plus de trois moi que Ginger était devenu ma fiancée. Notre séparation avait été très difficile. Nous ne voulions pas nous lacher, elle c'était mise à pleurer dans l'aéroport et moi aussi. Bon j'avais pas chialé comme un gosse mais c'était vrai que j'avais versé quelques larmes. C'était un au revoir plutôt déchirant. Mais bon arrêtons de parler de chose qui font mal.
La Polynésie c'est pas mal pour un lieu de tournage. Bon excépté le faite que James et Ginger ne soit pas là.
Ça faisait environ une heure que je glandais dans mon lit, à lire à répéter mon texte, le producteur devait être fou. Bon ça va je peux me permettre d'arriver un peu en retard, même si je suis l'acteur principal. Je me décuda enfin à me lever et sortis en caleçon de la hute où je dormais. Je m'éttira au soleil puis rerentra pour prendre une douche.
Je fus pret vers dix heures. Je sortis et partis jusqu'à ma voiture de location, c'était une BMW plutôt sympa mais un peu petite. Enfin bref je roula juqu'au lieu du tournage. C'est un assistant qui m'accueilli.
- Monsieur Pevensi vous êtes en retard. Me fit remarquer ce dernier.
- Je sais et alors ?
- Tout le monde est sur les nerfs. Ils vous attendent dans l'entrepôt.
L'orsque je rentra tout le monde me tomba dessus en même temps.

***

Ce matin Esteban me manquait plus que d'habitude. J'étais malade, j'avais vomi toute la nuit et j'ai appelé le bureau tôt ce matin pour les prévenir que je ne viendrais pas aujourd'hui. Ma patrone n'était pas très contente mais bon je ne lui avais pas trop laissé le choix. Je peux travailler de chez moi ce n'est pas un problème lui avais je affirmé.
En attendant j'étais seule dans ma grande maison. Enfin pas tout à fait, car j'avais mon chien avec moi. Esteban me l'avait ramené. Mais comme il sont très exigeant au Etat Unis il faut laisser les animaux quarante jours en carentaine afin de voir s'ils n'ont pas de maladies.
Grace à mon chien je sortais beaucoup plus souvent. Je sortais courrir tout les soirs, je le sortais également le matin. J'avais fait cloturer le terrain pour qu'il reste dehors la journée, je lui avais également installé une niche à coté de l'entré.
Mais voilà j'étais malade, mon chien était allongé à coté de moi sur le lit. J'étais sur l'ordinateur et j'essayais de faire le salon de mon nouveau client.
D'un coup Gun se mit à grogner. La sonnette retentit je me leva péniblement et marcha jusqu'à la porte. Gun était assit dernière moi toujours les poils irrisé. J'ouvris et je fus surprise de voir qui se trouvé devant ma porte.
- Qu'est ce que tu fais là ? Lui demandais je méfiante.
- J'ai apris que tu étais en ville et je voulais me faire pardonner mais réelement cette fois.
- Panier. Ordonnais je à Gun. Entre je t'en pris.
- Merci.
Nous nous installâmes sur le canapé.
- Alors comment tu vas ? Lui demandais je poliment.
- Très bien, je me suis repris en main.
- Tant mieux. Et tu travailles ?
- Oui je suis barman, que la journée. Et toi tu es toujours architecte d'intérieur ?
- Décoratrice d'intérieure mais oui.
Nous nous regardâmes quelques secondes.
- Je manque à mes manière, tu veux boire quelque chose ?
- Je veux bien un verre d'eau s'il te plait.
Je partis le lui chercher à la cuisine. Gun ne quittait pas Victor des yeux.
- Tu as une super maison ! Comment tu te l'ai acheté ?
- C'est un cadeau.
Il ne répondit pas mais je l'entendis ricaner. Je retourna au salon et lui tendis son verre. Il remarqua l'anneau que j'avais sur ma main gauche.
- Tu es mariée ?
- Fiancée.
- Et est ce indiscret de te demandé à qui ?
- Esteban.
Il s'étouffa.
- Avec ce que ta mère m'a raconté sur lui, tu n'as pas froud au yeux.
- Je sais que ma mère ne l'aime pas, mais ce n'est pas grave le plus important c'est qu'on soit amoureux.
- Tu as raison.
Nous nous observâmes une fois de plus.
- Bon je vais y aller. Je ne veux pas te déranger plus longtemps.
- Merci d'être passé en tout cas. Ça m'a fait plaisir.
Il me sourit et s'avança vers la porte. Je lui ouvris et lui fis la bise.
- Ça te dis si on allais diner ensemble un de ces jours ?
- Bien sur ce serait avec plaisir.
Il me sourit une fois encore et sortit. Je ferma la porte et soupira. Il avait étonament changé, il était braucoup plus calme et vraiment sympa.
Je sentis la bile me monter à la gorge et je courru jusqu'au toilette. C'étair horrible. Je sentis que ça se calma et je partis à la cuisine me préparer un truc à manger.
J'avais des fillets de poulet et des pâtes. Je mangea comme un ogre. D'habitude j'en gardais un peu pour le chien mais cette fois çi il n'airait que l'assiette à lécher.
Je retourna au lit, je sentais que je ne réusirais peut être pas aussi longtemps sans Esteban. J'étais dépendante de cet homme.