73. Esteban

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Je voyais dans ses yeux qu'elle était choqué. Pourquoi est ce qu'elle n'aimait pas mon cadeau ? Elle m'avait toujours dit qu'elle voulait un pied à terre à Hawaii. Et puis franchement une villa c'est mieux qu'un appartement, c'est bien plus grand. De toute façon je savais qu'elle ne la refuserait pas. Je voyais bien dans ses yeux qu'elle était toute excité même si elle ne voulait pas me le montrer. Ginger aimait mon cadeau je le voyais dans ses yeux. Elle ne le refuserait pas. Elle s'obstinait à me dire que c'était trop, mais je n'entendais rien.

Au bout d'un moment elle déposa les armes. Elle avait dût comprendre que ça ne servait à rien de parlementer. D'un coup elle se leva et m'attrapa par la main.

- Viens moi aussi j'ai un cadeau pour toi.

Les quelques mots qu'elle venait de prononcé suffirent à faire naitre ma curiosité. Je me laissais trainer jusqu'à la chambre. Elle ouvrit et me poussa dedans. Elle ferma la porte à clé derrière elle. Ce qui ne fit qu'attisé encore plus ma curiosité. Elle se dirigea vers mon enceinte Bluetooth et connecta son téléphone. Elle mit de la musique. Elle se tourna ensuite vers moi, je n'avais pas bougé. Elle me poussa sur le lit et je me laissais tomber en arrière. Elle me fait signe de me redresser. J'obtempère sans broncher. Elle me regardait intensément.

Elle se mit à bouger son corps au rythme de la musique. Putain cette femme était une déesse. C'était ma déesse. Elle retira son jean moulant. Je vis qu'elle portait une sublime petite culotte en dentelle rouge. Elle déboutonna lentement la chemise qu'elle m'avait volé le matin même. Un grognement m'échappa et je la vis sourire. Elle allait bien trop lentement. Je décidais alors de l'aider. Je me leva et m'avança vers elle, tel un prédateur. Lorsque mes mains enfleurèrent sa taille elle me repoussa sur le lit.

- On touche avec les yeux monsieur Pevensi. Me dit elle un sourire malicieux aux lèvres.

Une fois qu'elle eu fini de défaire sa chemise elle la laissa tomber à terre. J'eu le plaisir de découvrir qu'elle portait un ravissant soutien gorge assorti à sa culotte. Ce qui était certain c'est qu'elle avait choisis un ensemble des plus délicieux. Je pris deux secondes pour admirer cette sublime créature qui était en train de s'offrir à moi. Ses cheveux tombaient en une cascade blonde sur ses épaule, son ensemble rouge mettait sa peau blanche en valeur. Elle s'avança doucement vers moi. Lorsqu'elle ne fut qu'à quelques centimètres de moi je ne pu m'empêcher de portait ma main à sa hanche. Elle me donna une petite tape.

- Pas touche à la marchandise ! S'exclama t-elle.

Je ricana. Elle m'enleva mon tee-shirt et me fit signe de me lever pour enlever mon bas.

Nous étions à présent en sous vêtements. J'étais de nouveau assis eu bord du lit et elle s'était mise à califourchon sur moi. Elle m'interdisait toujours de la toucher. Elle m'embrassait à présent dans le cou et un grognement bestiale m'échappa. Je la sentis sourire contre ma peau. Elle se mit à bouger son bassin et une fois encore un grognement rauque s'échappa de ma gorge. Elle ne voulait pas que je la touche et je devais faire des efforts sur humain pour la satisfaire. Je savais pertinemment que il arriverait un moment où je ne réussirais plus à me retenir. J'essayais tant bien que mal de repousser ce moment. Elle accéléra ses mouvements de bassin tout en continuant à m'embrasser et me mordiller. J'étais de plus en plus serré dans mon boxer. Au bout d'un moment elle s'arrêta et me fit basculer sur le dos. Je me laissais faire difficilement. Je commençais à perdre patience. Elle se mit une nouvelle fois à califourchon sur moi et passa les mains dans son dos pour dégrafer son soutien gorge. Je retins mon souffle.

Elle le laissa descendre sensuellement le long de ses bras.

- J'ai une autre surprise. Me susurra t-elle à l'oreille.

Elle m'offrit un superbe sourire et se laissa tomber à coté de moi. Instinctivement je me jetais sur elle. Elle me poussa et me fit non du doigt.

- Va voir dans le tiroir de ta table de chevet. Me dit elle un sourire aux lèvres.

Je fronçais les sourcils. Qu'est ce qu'elle avait foutu dedans ? Je me jeta sur ma table de chevet et ouvrit le tiroir. Ce que j'y trouva me stupéfia. Je sortis les deux paires de menottes du tiroir.

- Et ben tu n'es pas aussi chaste que ce qu'on pourrait croire !

- Alors ça te plait ? Me demanda t-elle toujours son sourire accroché aux lèvres.

- Oh oui. Lui répondis je en affichant un sourire salace.

Je me mis à califourchon sur elle et lui attrapa les poignets. Je lui attachais un poignet à la tête de lit. Putain j'adore cette fille. Une fois que j'eu fini je me redressa et la contempla. Cette splendide femme était à moi et à personne d'autre.

Je plaqua sauvagement mes lèvres sur le siennes. Mes mains arpentait avidement son sublime corps. Je lui déchira sa culotte et la jeta derrière, mon boxer la rejoignit quelques secondes plus tard. Ma bouche se délectait de chaque parcelle de son corps. Je savais exactement ce qu'elle aimait et elle le savait. Je mordilla ses tétons et elle se cambra instantanément en mordant sa lèvres inférieur pour retenir un cri.

- Tu es magnifique. Lui murmurais je contre la peau.

Je ne savais pas si elle m'entendait, mais je ne pouvais pas m'empêcher de lui dire. Je lui écarta les jambes avec mon genou et enfouis deux doigt dans son intimité.

- Putain tu es tellement prête pour m'accueillir. Lui susurrais je contre son oreille.

J'avais conscience que je n'avais jamais été comme ça avec elle, et qu'elle pouvait avoir peur. Mais vu le regard qu'elle me lançait, elle était plus excité qu'autre chose. Lorsque je la sentis se tendre contre moi je retirais mes doigts et elle poussa un long soupire de frustration. Je plaqua de nouveau mes lèvres au sienne ton en la pénétrant d'un coup de hanche. J'entendais ses menottes tinter contre la tête de lit en métal. Je devais bien avouer que ça m'excitait encore plus. Tout en l'embrassant fougueusement je la pénétrais de plus en plus vite et fort. Je plaquais mes lèvres contre les siennes pour étouffer ses cris. Je décolla mes lèvres des siennes pour la contempler. Elle avait rejeté sa tête en arrière, elle se mordait la lèvre pour étouffer ses cris d'extase et elle avait fermé les yeux. Lorsque nous fûmes sur le point de jouir je lui ordonna d'ouvrir les yeux. Elle devait être tellement perdu dans son plaisir qu'elle n'en fit rien. Je ralentis alors la cadence et elle s'exécuta en me suppliant de ne pas m'arrêter. Je repris alors a une rythme infernal. A chacun de mes puissant coups de hanches un gémissement de plaisir lui échappé. Putain cette fille était parfaite. Mes yeux étaient plongés dans les siens, et j'étais incapable de m'en détacher. Lorsque nous atteignîmes le point d'extase elle se mit à répéter mon nom comme s'il était une prière. Je me contentais de pousser un grognement en la regardant atteindre l'orgasme. Je n'arrivais toujours pas à croire que c'était moi qui la mettait dans un tel état, que c'était moi qui lui faisait atteindre le septième ciel. Je m'effondra sur elle en sueur. Putain j'aimais cette fille, c'était incontestable. Je l'aimais plus que moi même. Je l'aimais à n'en plus pouvoir.

Je posa mon front contre le sien.

- Je t'aime tellement... Lui murmurais je.

Je vis une larme rouler le long de sa joue.

- Moi aussi je t'aime Esteban. Se contenta t-elle de me répondre. Est ce que tu peux me détacher maintenant ? Me demanda t-elle en agitant ses bras au dessus de sa tête.

Je pris la clé que se trouver sur la table de chevet et les lui retira. Elle avait une marque sur les poignets tellement elle avait tiré dessus. J'étais toujours en elle, mais je n'avais pas envie de partir. Je me mis alors à bouger mon bassin et elle enfouit ses mains dans mes cheveux et me les tira légèrement. Ses lèvres trouvèrent rapidement les miennes. Et nous repartîmes sur le chemin de l'extase.

InoubliableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant