99. Ginger

61 6 0
                                    

Prendre la douche avec Esteban avait été une bonne idée. Nous étions à présent allongé sur son lit. J'étais collé à lui, j'avais posé la tête sur son torse et je ne bougeais plus. Il me caressait le dos du bout des doigts. Il m'avait tant manqué. Je leva la tête pour le regarder. Je planta mes yeux dans les siennes.

- On devrait peut être monter. Me murmura t-il.

- Je n'ais pas envie. Lui dis je.

- Je sais moi non plus. Me répondit il en m'embrassant.

Notre baiser devint plus profond et intense. Il m'attrapa par les hanches et me mit à califourchon sur lui. Il se redressa d'un coup et je me retrouva collé à son torse musclé. Et nous voilà partit pour un second round.

Quelques jours plus tard...

C'était déjà demain qu'Esteban et moi rentrions. Hier et avant hier, Esteban m'avait emmené me promener dans Los Angeles, c'était vraiment trop classe. Nous avions également fait les boutiques. Nous étions aussi aller nous baigner avec le groupe, ils étaient vraiment agréable.

Ce soir il y avait le concert des garçons qui commençait à vingt heures. Il était déjà dix neuf heure, je quitta Esteban et le canapé, et partis me changer. Je rentra dans ma chambre et ouvris le placard. J'avais prit deux rodes, une qui m'arrivait en haut des jambes et une autre au genoux. Comme je ne savais pas la quelle mettre je me contenta d'un legging noir et d'une fine chemise blanche. Je me jeta dans la salle de bain, sortis mon maquillage. Je me remaquilla et me mis un peu de parfum. Pendant que je perfectionnais mes anglaises Esteban frappa à la porte.

- Ginger tu es prête ?

- Cinq minutes !

- Il est moins le quart !

- Je fini de me recoiffer et j'arrive !

- Les femmes et leurs maquillage ! soupira t'il en s'éloignant.

Quelques minutes plus tard je sortis de la salle de bain pour mettre mes Stan Smith bleu qu'Esteban m'avait acheté la veille. Je sortis de ma chambre et arriva dans le salon. Esteban était affalé sur le canapé avec un bouquin. Lorsqu'il me vit il se leva, me reluqua. Je tournais sur moi même pour qu'il ai un meilleur angle.

InoubliableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant