Anna : La Séductrice Célibataire

Chapitre 78 : Un traitre parmis nous.

Moi : réunion dans la grande salle dans 30 minutes.

Vanessa : très bien.

Elle sort de mon bureau et referme la porte après elle. Je m'assois sur ma chaise et prends une feuille et un stylo afin de pouvoir noter.

Si je comprends bien cette personne a accès aux chiffres de l'entreprise pourtant seulement 5 personnes y ont accès.

Il y a moi, Vanessa, Younes, Yanis et Awa celle qui s'occupe du transfert des actions de l'entreprise.

Putain qui ça pourrait être merde ? Comment j'aime pas les coups de putes ! Je scrute tous leurs dossiers et leurs virement bancaire un par un.

Ça m'a pris beaucoup de temps et surtout quand j'ai su c'était qui j'me suis pire que trahie. Décidément on m'a pris pour une fragile deh.

J'suis restée scotchée devant mon ordinateur qui me montrait noir sur blanc le nom et les activités du coupable.

Si cette personne croit qu'elle va rester inpunie elle se trompe lourdement. Je saisis mon portable et tape le numéro de la police nationale.

**Conversation téléphonique **

.... : allô oui bonjour, police nationale à l'appareil.

Moi : oui bonjour Anna Toureh de l'entreprise Toureh's Consolidated à l'appareil.

Policier : d'accord, que puis-je faire pour vous ?

Moi : serait ce possible de m'envoyer des policiers ?

Policier : et pour quelles raisons ?

Moi : j'en ai besoin pour une arrestation en fait.

Policier : les motifs de l'arrestation, donnez les moi.

Moi : écoutez, je suis assez énervée comme ça et je n'ai vraiment pas la tête à parler. Envoyez moi des policiers, une fois sur place ils jugeront d'eux mêmes si ils doivent l'arrêter ou pas.

Policier : mhm. Je vous les envois dans quelques minutes.

Moi : merci, merci beaucoup.

Policier : de rien. C'est mon devoir.

**Fin de la conversation téléphonique **

Je redépose mon téléphone sur ma table et imprime toutes les preuves nécessaires. J'appelle ensuite 'Nessa pour lui expliquer que j'avais trouvé qui c'était et que des policiers allaient venir.

Elle me dit alors que les membres de l'entreprise m'attendent tous dans la grande salle. Je prends mes papiers et les quelques conversations téléphoniques entre lui et ses complices puis sors de mon bureau.

L'heure de vérité a sonné. Je rentre dans l'ascenseur puis appuie sur le bouton de l'étage. Une fois l'ascenseur arrêté je me recoiffe vite fait et marche jusqu'à la salle.

J'ouvre la porte et ils me regardent tous. J'avance et rejoint ma place, j'y dépose mes affaires et salue tout le monde. Le silence régnait.

Moi : bonjour tout le monde.

Eux : bonjour.

Moi : alors si ce matin une telle réussi a lieu c'est parce que je suis déçue, très déçue même.

Eux : ....

Moi : donc si je comprends bien il me suffit de m'ansenter pour quelques jours et quelqu'un s'accapare de mes biens ? Je croyais que dans cette famille nous étions une famille. Mais à ce que je vois tout cela n'est que bluff. Eh bien, félicitations.