Chapitre 64- Et c'est lui?

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Point de vue: Harry.

J'arriva chez Perrie. Comme par pure hasard ma chérie était là. Hé hé.

Ce n'est pas un hasard, je le savais très bien.

Point de vue: Selena.

J'arrête ma bagare dès que je le reconnu. Putain, Harry?!

Tu fou quoi là?

Oh non bébé...

-Harry? Tu fou quoi là? Putain Harry!

Eleanor parti s'asseoir dans l'auto. Gêner de la situation j'imagine.

-Euh, je..

-Oh Harry!!

Cria Perrie.

-Tu arrives au bon moment.

Rajouta t'elle.

Oh la salope de pute de putain de cone.

Je la déteste! La p'tite crote fushia.

(NDL:Perrie a les pointe de cheveux fushia, à ce moment de l'histoire& j'ai énormément de respect pour elle.)

-Euh ferme ta grande yeule Perrie.

Dit Harry.

-C'est pas ce que tu me disais hier, en tout cas. "Ah Perrie t'es trop bonne."

-Oh ma chère tu te trompes de mec. Tu t'en tapes trop.

Lui dit mon charmant amoureux.

Defois je l'aime defois j'ai envie de lui casser les couilles.

-Et pourquoi t'es là Harry?

-Bébé.. on s'en reparle plus tard.

-Non Dis le maintenant. Tu me trompes avec cette pute à mecs?

-Non?

-C'est quoi alors? Qu'est qui a de pire alors?

-Je.. je.. je t'espionne.

J'éclata de rire. Mon amoureux qui m'espionne.

-Je te crois pas, sérieusement?

-C'est vrai. J'ai mis une puce GPS dans ton cellulaire pour que je puisse te retrouver. Parce que je m'inquiète pour toi, mon coeur.

-Ok? Mais pourquoi tu ne m'appeles pas à la place?

-Je ne sais pas. Au moins je sais où tu es quand je le veux. Si tu verrai le nombre de fois que je clique sur ton GPS.

-Mais bébé?

-Et quand j'ai vue que tu étais chez Perrie j'ai compris. J'ai vue le fucking journal.. je ne suis pas con. Sa ma frustré moi aussi.

-Tu ne vas pas perdre de fan toi!! Il y a une différence.

-Bébé, de toute façon tu ne travail plus..

-Je sais.

-Bébé.. comprends moi. Je m'inquiète avec ta tentative de suicide.

-ugh, tu dis sa devant elle.

-On s'en fou des autres bébé! Que le monde sache que tu es enceinte, malade, suicidaire, dépressive, l'important c'est toi et moi, non?

-Oui, oui. Mon coeur je t'aime tellement!

Je lui sauta dans les bras en enroulant mes jambes autour de sa taille comme un panda.

ImpossibleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant