Point de vue: Selena
Et, c'était le jour où je rencontrais les parents de ce petit ange.
Le petit Éliot.
J'en avais pas parler à Harry, ni à Paul, j'en avais parler à personne. J'avais garder sa pour moi.
C'était moi pour lui.
Et personne d'autre. Pauvre petit loup.
Je voyais le médecin avec les parents de son petit garçon.
-Donc nous avons évalué votre dossier madame Gomez. Ceci peut être dangereux. Vous vous demandez, tous, sûrement pourquoi? Madame Gomez à un cancer, une leucémie plus précisément. Elle vas mourrir dans environ 10 ans. Elle n'a pas beaucoup de force donc lui enlever un reins pourrait provoquer, un coma, la mort, une partie de son corps pourrait se paralysé, elle pourrait tellement s'affaiblir et mourir à peine deux jours après. Madame Gomez est aussi enceinte, le bébé n'a pas vraiment de risque à par que si elle meurt il meurt aussi, il est trop jeune pour vivre, si elle tombe dans un coma il peut vivre. Mais, je tien à vous dire que si vous tombez dans un coma profond vous allez mourrir. Selon la demande de votre mari nous allons sois vous tenir en vie pour donner naissance à se bébé ou vous mourrez tous les deux. Donc, voulez vous toujours embarqué dans le projet?
Je voyais les yeux de ces parents. Tellement fou à l'idée. Je voyais la petite fille tellement mignone, elle n'arrêtait pas de faire des petits bruits, gazouiller. Je voyais leurs yeux fou mais apeuré pour ma vie. Qu'est que ma vie change a leur yeux? Je donne l'opportunité à leur enfant, tellement mignon, de vivre il devrait être heureux? Mais, je voyais qu'ils l'étaient mais ils étaient tellement apeuré.
-Selena vous n'avez pas besoin de faire ça..
Me dit la jolie maman d'Éliot.
Une femme grande avec de beau grand cheveux long roux. Ces yeux bleu claire, cette bouche si bien définis, ces sourcil foncé presque noire. Cette femme avec un si beau sourire.
-Sérieusement, vous êtes l'idole de mon fils comment il vas se sentir si vous mourrez pour lui?
Me dit Hugo.
Un homme brun musclé, avec des tatoos sur tous les bras. Un homme très beau grand et avec un sourire chaleureux.
-Je vais mourrir de toute façon. Je vais lui donner mon reins, parce que je ne sais pas quoi en faire? Il vas de toute façon être pour quelqu'un d'autre quand je vais mourrir. Pourquoi ne pas prendre le risque maintenant? Madame et monsieur je dois vous avouez que je n'ai pas peur de la mort j'ai même pratiquement hâte. Mon bébé, de toute façon il aura pas de mère à 10 ans. Qu'il vive ou qu'il meurt au fond sa donne la même chose. C'est peut être méchant mais j'aimerais quasiment mieux qu'il meurt, il n'aura pas cette douleur à vivre quand je vais mourrir, il n'aura pas à m'accompagner dans tous ces hôpitaux. Vous comprenez pourquoi je fais ceci? Je l'aurai fait pour chacun d'entre ces enfants mais le votre, est le seule qui a la soif de vivre. Il veut vivre, je le sais, je le vois. Les autres ont peur et se laisse mourrir dans leur lit. Mon but en venant ici, était d'inspirer certain jeune de les aider et leur donner de l'argent. Mais, quoi de mieux qu'un reins? Et un petit chèque?
-Comment ça un petit chèque?
Me dit Lexie contrarié.
-Éliot ma dit qu'avec tous ces machines et traitements branchés après lui il avait épuisé toute vos économies. Si vous parliez à le débrancher je pense comprendre que c'est la fin du compte conjoint.
Dis je avec un clin d'oeil.
-Donc vous avez pris une décision?
Me dit le médecin.
-Oui, c'est oui. Je vais le faire.
-D'accord, alors aujourd'hui 16 heures vous convient?
-Très bien.
-Vous devez prévenir quelqu'un. Quelqu'un doit être ici si sa se passe mal.
-D'accord. A plus tard.
Les deux parents de ce petit garçon me sautèrent dans les bras. Me remerciant 15 fois chacun. Sa me fait tellement plaisir leur répétais je. Mais ils ne fessaient que pleurer.
Quel beau cadeau je fessais, pour une fois j'étais fière. Pour une fois ce que je fessais avait un sens.
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Impossible
Teen FictionQuand tous est impossible. Qu'il y a une fin à tous. Que tu t'attends à un miracle. Que la vie est impossible. Donc tu arrêtes tous. Un évènement arrive et change tous. Jusqu'à vouloir ce battre. L'impossible est possible. C'était impossible mais po...