VIII. Appétit insatiable de chair (1/2)

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« Contrôle-toi Nandou, reste calme. Ce n'est pas parce qu'il a employé son ton suave et qu'il est diablement craquant en Wei Wuxian que tu peux te permettre de lui sauter dessus. Oui, ce n'est que Degula après tout. Pas de quoi en faire un drame... » ne cessait de penser la Créature Originelle des Tortues du Carnage, tentant de réprimer ce profond et ardent désir de presser, de caresser avec douceur et violence cette sublime paire de lèvres entre les siennes, viles et profanes.

Malheureusement pour lui, son terrible et bel amant ne semblait pas vouloir le laisser en paix, ni lui ni ses pensées devenues trop perverses au fil des galanteries délicieusement malicieuses que Degula et lui échangeaient à longueur de journée. Ce terrible et bel amant, à la vénusté bien trop magnifique, sublime, enchanteresse pour être réelle portait si divinement la joie sur son ravissant masque de chair. Comment lutter contre cet irrésistible et superbe sourire d'une splendeur féerique presqu'irréelle qui été venu étirer, avec douceur, ses exquises, délicieuses lèvres suaves à la douce caresse mortelle et au goût divin ? Comment lutter contre ce tendre rire d'une plaisante espièglerie séduisante qui s'échappait avec délice de cette belle bouche, tentatrice rose fatale ? Quant à ses longues mains délicates et graciles, elles s'affairaient, dans d'impatients et vifs gestes, à défaire ce qui retenait la sombre et précieuse étoffe à la volupté légère, exquisement aérienne, sur ses alléchantes et fines, délicieuses courbes sensuelles et dangereuses.

Et, parlant de ce délice sucré de chair, Nandou ne pouvait qu'imaginer ce qui se trouvait sous tout ce tissu... Déjà que la soierie ébène soulignait avec trop de plaisir ces irrésistibles charmes exquis comme sa délicate taille fine ou son princier fessier suavement dessiné, il ne pouvait supporter plus. Surtout qu'auparavant, Degula restait tout de même fermement opposé à prendre l'apparence sublime de Wei Wuxian. Pourquoi un tel revirement de situation ? Le Jiangshi savait d'ores et déjà ce qui se trouvait au-dessus et au-dessous de la ceinture de son adorable neveu, pourquoi tant d'empressement ?

« Et pourquoi je me pose toutes ces questions moi ? » se demanda la Créature Originelle des Tortues du Carnage. Après tout, il ne rêvait que de ça, qu'enfin Degula daigne montrer les véritables charmes irrésistibles, envoutants et délicieusement enchanteurs du Prince Wei Wuxian était son désir le plus cher et à présent qu'il était sur le point de voir son vœu exaucer, il faisait son Lan Zhan et voulait presque fuir son bel amant à la dangereuse sensualité. Laissant son sombre regard ébène glisser, s'abandonner avec délice sur les délicates et fines formes féeriques d'une exquise sensualité divine des plus alléchantes, à la sublime androgynie parfaite, Nandou ne pouvait s'empêcher d'imaginer son bel et terrible amant sans la vile étoffe à la précieuse soie sombre qui dissimulait, bien que les soulignant dans une terrible extase perverse, ses belles et savoureuses courbes d'une scandaleuse mais angélique, suave volupté séduisante, diablement aguichantes.

Les exquises courbes que formaient les délicieux abdominaux sculptés dans une splendide, délicate minutie tendre et diablement douce vinrent agréablement envahir les pensées de Nandou, les hantant dans un délice, une extase divine. La Créature Originelle des Tortues du Carnage imagina le gracile mouvement alanguissant de la cruelle caresse suave, douce que laissaient de viles et fines perles d'eau sur cette appétissante, savoureuse chair opaline superbement ciselée. Aussi, pouvait-il imaginer ces alléchantes bosses suaves et terriblement appétissantes sans penser aux saillants pectoraux, affriolante poitrine divinement musclée, irrésistible délice sucré, gourmandise céleste ?

La réponse était évidente : non. Par Iroh, il salivait rien qu'à l'idée de prendre en bouche cette exquise chair opaline aux suaves, sensuelles et irrésistibles courbes à la dangereuse sensualité divine, de caresser, du bout de ses charnues lèvres brunes, la ligne gracile qui séparaient ces agréables bosses délicieuses, les mettant ainsi joliment en valeur. Il en avait l'eau à la bouche et ne pouvait imaginer l'appétit qui lui comprimerai l'estomac en découvrant ce que Degula tenait tant à laisser dissimuler sous plusieurs couches d'une vile étoffe à la soie légère, voluptueusement aérienne.

Danse avec les Phénix / Yeux enflammés [WYxLZ] (Tome 1)[The Untamed Fanfiction]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant