XIII. Discussion sous le clair de Lune (2/3)

31 3 0
                                    


Et non ! Il n'était pas jaloux de son Shixiong ! Pourquoi le serait-il ? Certes, il recevait amour, affection et admiration de la part de leurs pairs. Il était meilleur que tout le monde après tout. Le talent, la cultivation, le charme, l'intelligence et le tempérament. Il avait tout. Tout pour plaire. Tout. Absolument tout. Wei Wuxian était adulé par tous dans les Cinq Royaumes.

Tel un Dieu qui aurait pris forme humaine, une sublime, une magnifique, une divine forme humaine qui alliait tout ce que les Mortels aimaient.

A savoir, une belle paire de magnifiques lèvres semblables au plus précieux des boutons de rose, aux baisers mortels, aux ravissants et délicieux sourires irrésistibles, d'une douceur féerique à en avoir le souffle coupé. Un nez sculpté avec minutie, délicatesse. De tendres joues creuses aux délicieuses pommettes qui saillaient avec superbe, fierté. Ses sourcils avaient été dessinés avec finesse, légèreté par Vénus, elle qui était la Créatrice du magnifique visage édénique, onirique, à la fatale et enchanteresse beauté astrale, de Wei Wuxian, comme celui de Iroh à qui Wei Wuxian avait dérobé les séduisants, ravissants traits à la naissance, lui ressemblant ainsi, dans une perfection déconcertante, comme deux gouttes d'eau.

En plus de cela, de ce délice céleste, angélique qu'était le magnifique visage de Wei Wuxian, celui-ci possédait un corps parfait. Un long, majestueux et sublime cou de cygne à l'affriolante et fine chair laiteuse, savoureuse qui était terriblement vulnérable aux généreuses lèvres cruelles de Lan Wang Ji ainsi qu'une appétissante pomme d'Adam tendre. Une délicieuse et saillante poitrine masculine plus qu'avantageuse avec six bosses extrêmement bien dessinées, à l'exquise courbe délicate ainsi qu'une divine taille fine.

Et si le haut était aussi plaisant et agréable à contempler, le bas l'était aussi avec ses aguicheuses hanches voluptueuses au séduisant, captivant et hypnotique déhanché empreint d'une dangereuse sensualité céleste ainsi qu'avec ses délicieuses cuisses laiteuses, neigeuses aussi tendres que fermes. Même son infinie chevelure d'obsidienne, cette sublime rivière de soie aussi noire que les Ténèbres séductrices, était parfaite. Tout comme ses magnifiques mains l'étaient pour tenir une tendre et superbe rose aux fragiles pétales entre ses fins doigts délicats.

Oui, Wei Wuxian était parfait. Un vrai Dieu incarné en une irrésistible, sublime, sensuelle, voluptueuse et magnifique enveloppe charnelle aux édéniques et oniriques charmes célestes, astraux. Que restait-il à Jiang Cheng si le Prince de Fenghuang avait déjà pris le don de posséder une enchanteresse et ensorcelante beauté angélique, féerique, aussi fatale que lumineuse ? Rien.

Rien du tout. C'était ce qu'il pensait être aux yeux du monde, ne vivant que dans l'ombre de cet être onirique, édénique, cette divine Créature éthérée. Oui, il le jalousait par moment mais il savait combien il était dur d'être Wei Wuxian.

Être sans cesse courser par plusieurs milliers de femmes, et d'hommes, qui ne rêvaient que d'une chose : lui.

Être sans cesse considéré comme une délicate mais ravissante, séduisante jouvencelle en détresse que l'on devait à tout prix sauver car jugé trop délicat, trop fragile.

Être sans cesse comparer à une princesse délicieuse, voilà quel était le fardeau que son charmant et craquant Shixiong devait porter sur ses faibles et chétives épaules frêles.

Quel dommage que Wei Wuxian ait plus l'air d'une envoutante jeune femme que d'un charmant et jeune damoiseau... Tout ça à cause de la douce mais sombre féerie irréelle, édénique de son angélique visage doté d'une irrésistible beauté ensorcelante, enchanteresse... La finesse divine de ses traits, magnifiques et sublimes, et l'androgynie céleste, astrale de ses sensuelles courbes voluptueuses, aguicheuses n'aidant en rien le resplendissant Prince Phénix à se sentir à l'aise dans son corps, un corps qu'il jugeait féminin, trop féminin, depuis sa renaissance. « Sérieusement ! Il ne manque plus que des seins pour être une femme ! » n'avait-il pas censé de lui crier dans les oreilles lorsqu'il était revenu d'entre les morts.

Danse avec les Phénix / Yeux enflammés [WYxLZ] (Tome 1)[The Untamed Fanfiction]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant