XII. Mystérieuse Lune d'Orient (3/3)

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XianXian a... commença-t-il, sa voix suave, ensorcelante prenant un tendre ton enfantin.

Ses sublimes yeux de biche au regard perçant, séduisant, tantôt divinement clos, se rouvrirent alors dans une lente délicatesse quand ses sourcils bruns, dessinés dans une extrême finesse, se soulevèrent avec minutie, se haussant dans une légèreté subtile. Le magnifique sourire qu'avait esquissé ses édéniques lèvres suaves, irrésistibles s'amincit avec tendresse, devenant un mince mais ravissant, lumineux sourire d'une insaisissable douceur céleste quand ses fins sourcils au puissant noir d'obsidienne reprirent leur belle forme lisse d'antan. Les délicieux coins externes de ses superbes yeux à la gracile forme d'amande semblaient toujours être joliment soulignés d'un fin, d'un léger trait sombre qui venait agrandir son sombre mais féerique, onirique regard.

Son minois à l'affriolante vénusté ensorcelante, envoutante se pencha dans une telle grâce divine, légère sur le côté que ce mouvement empreint d'une suave angélie aérienne paraissait imperceptible. Ses pupilles superbes d'ambre sombre aux ténébreuses paillettes dorées de ses yeux dessinés dans une féerie gracieuse, douce, délicate, tantôt reposées sur le ventre extrêmement fin, menu de Chu Fei, se posèrent sur le neigeux poignet fin, fragile la jolie hybride, ce mince et tendre sourire doux demeurant sur ses suaves et irrésistibles lèvres tentatrices, exquises.

Wei Ying laissa alors ses graciles mirettes délicates, sublimes se clore avec tendresse lorsque sa voix séductrice, aux mélodieuses notes douces franchit la rose délicieuse, édénique qu'étaient ses magnifiques lèvres suaves.

A trois ans cette année, répondit-il dans un tendre gloussement cristallin.

Un tendre gloussement cristallin qui n'était qu'un suave hydromel grisant aux oreilles de Chu Fei. Le mince, doux sourire affectueux, lumineux qui avait, tantôt, possédé ses exquises lèvres, irrésistible et séductrice rose fatale, s'élargit avec splendeur, devenant un délicat, délicieux sourire d'une magnificence éblouissante, ravissante. Tantôt clos sublimement, ses doux yeux de biche s'ouvrirent dans une minutie si subtile, si légère qu'ils en semblaient clos avec soin. Ses paupières à la chair fine, fragile paraissaient joliment soulignées d'un délicat trait rouge.

De tendres éclats résonnèrent avec douceur dans le Hall, les deux meilleurs amis se retrouvant ainsi. Chu Fei avança une main affectueuse en direction de l'infinie chevelure au puissant noir d'obsidienne, au noir plus abyssale que les Ténèbres, cette cascade de soie sombre, aux lumineux reflets bleutés, caressant ainsi ces longues et soyeuses boucles noires.

Avec tendresse, affection, la jolie hybride caressa l'infinie chevelure d'obsidienne, cette longue cascade de soie noire, aux superbes mais glacés reflets bleutés, commençant même ses douces cajoleries délicates en effleurant, de ses fins doigts d'ivoire, sa haute demi-queue de cheval retenue par un sublime ruban au puissant rouge rubis. Le magnifique sourire lumineux d'une splendeur divine qui avait tantôt étiré ses suaves lèvres exquises, irrésistible, séductrice rose diamantée s'amincit avec délicatesse. Les délicieux pétales roses de sa sensuelle bouche affriolante s'étaient pincés avec douceur, devenant ainsi un fragile bourgeon fleurissant avec timidité. Un de ses fins sourcils bruns, le gauche, s'était soulevé avec grâce, sa délicate arcade sourcilière ne reprenant sa belle forme lisse d'antan. Ses yeux, ce divin délice sucré pour les mirettes mortelles se fermèrent un bref instant, un bref instant parfaitement suffisant pour que ses belles pupilles d'ambre sombre, tantôt reposées sur l'abdomen mince, menu de Chu Fei, se posèrent au sol, ses yeux à la sublime, délicate forme d'amande aux longs cils graciles se rouvrirent avec tendresse.

La félicité, le bonheur qui s'étaient joliment inscrits sur son visage à l'enchanteresse beauté féerique, ensorcelante, envoutante, scandaleusement onirique, s'estompèrent dans une lente tendresse. Ainsi, il perdit son doux, délicat sourire, la rose sensuelle, magnifique qu'étaient ses suaves lèvres exquises, irrésistibles fleurissant dans une magnificence angélique alors que Chu Fei continuait ses caresses affectueuses dans l'infinie chevelure à la sombre, divine soie abyssale de sa Ravissante Altesse Royale. Ses belles lèvres délicieuses, alléchantes se fendirent avec douceur, dévoilant joliment ses deux adorables dents de lapins.

Danse avec les Phénix / Yeux enflammés [WYxLZ] (Tome 1)[The Untamed Fanfiction]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant