Danse avec les Phénix / Yeux enflammés [WYxLZ] (Tome 1)[The Untamed Fanfiction]

vi. Passé lointain d'un Roi (2/3)

Wei Ying n'en revenait pas. C'était bien lui qu'il voyait. Seulement... Cette version paraissait ancienne, bien que sa beauté fraîche, majestueuse soit demeurée intacte.

De fins sourcils bruns joliment dessinés. De doux yeux à la délicieuse forme d'amande où brillait une intense étincelle de noisette. Un nez sublimement sculpté dans la plus pure des porcelaines. Et des lèvres généreuses en chair. Des exquises lèvres suaves pareilles à une rose irrésistible, magnifique qui était sur le point d'éclore avec superbe. Il lui ressemblait en tout point. Ce qui était assez effrayant vu combien il se trouvait d'une beauté à en avoir le souffle coupé ainsi.

La longue chevelure d'ébène de ce Wei là, cette infinie rivière de soie sombre étincelante, coulait avec grâce dans son dos à la jolie courbe. Certaines de ces mèches, qui étaient aussi ténébreuse et profondes que les Abysses, avaient été coiffées en un demi chignon bas, maintenu grâce à un bijou de cheveux superbement ouvragé dans le plus pur des argents, prenant la forme d'une délicate branche de cerisier en fleurs.

Le violet seyait divinement aux Wei. Le Wei au charme majestueux, céleste, astrale portait un hanfu aux différentes mais superbes teintes améthystes. Le tissu de ces sublimes tuniques fermées sur ce torse que Wei Ying savait sculpté avec finesse, une extrême minutie, était léger, flottant avec sensualité à chaque pas gracile que ce Wei effectuait dans cette féline démarche voluptueuse.

L'habit intérieur était fait dans un splendide violet sombre. Un mauve divin, exquis qui offrait un contraste plus que délicieux avec la savoureuse chair laiteuse, cette peau pareille à l'ivoire, de la superbe gorge de ce Wei resplendissant de beauté, de majesté. La deuxième brillait de mille feux dans un éclat pareil à celui du nacre, un blanc pur lumineux. La douceur de ce satiné, splendide tissu ivoirin flamboyait superbement. La troisième couche d'étoffe, faite de cette soie légère, transparente et lumineuse, dévoilait un peu de ce délicat tissu au pur satin de nacre en étant ainsi délicieusement croisée sur son torse sculpté, dessiné avec finesse, délice.

 
Une ceinture un peu plus rigide et d'un doux violet virant au rouge puissant, séduisant, maintenait tout ce léger, volatile tissu gracile sur les sensuelles formes voluptueuses de ce Wei. Sa divine taille fine était, par ailleurs, célestement mise en valeur, l'affinant davantage comme si cela était réellement nécessaire...

L'ultime tunique, de ce même puissant améthyste délicat, puissant, n'était point croisée sur le torse aux agréables, aguicheuses bosses divinement dessinées. Au contraire, ainsi ouverte somptueusement sur les trois tuniques qui recouvraient la douce chair neigeuse de ce Wei ci, il dévoilait juste superbement la divine taille fine de ce dernier, en plus de découvrir les différentes mais sublimes couches de son habit au doux et souverain violet magnifique.

Le tissu de cette ultime et magnifique tunique était si volatile, si léger ainsi fait de cette soie divine, qu'il se mouvait avec grâce, sensualité à chacun des pas félins, emplis de superbe et de majesté, du Phénix qui ressemblait comme deux goutes d'eau à Wei Ying. Il semblait briller de milles feux, de feux à la captivante, ensorcelante mais sombre teinte lilas.

La puissante teinte rouge des murs du pavillon se trouvant derrière cette apparition féerique, divine, d'une majestueuse somptuosité, ne faisait que rehausser le caractère céleste, astral de cet être sublime, cette Créature à la fatale beauté éthérée, enchanteresse, douée d'une superbe angélique.

Il était d'une véritable beauté à en avoir le souffle coupé, une irréelle vénusté infinie. Il semblait intouchable. Si majestueux, si somptueux, si superbe. Même Wei Ying qui possédait ce même minois doux, ravissant, se sentait terriblement inférieur à son double antique. Une aura de splendeur se dégageait de cette Créature éthérée, séduisante et à l'irrésistible charme divin, angélique.