quinze

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DIX ANS PLUS TÔT ;

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DIX ANS PLUS TÔT ;

Victoria :
Tu fais quoi ?

Aïden :
J'rentre et toi ?

Victoria :
Tu faisais quoi ? 🙂

Aïden sourit derrière son écran tout en arrêtant de marcher pour répondre à la brune, toujours autant amusé par sa curiosité :

Aïden :
Je courrais

Victoria :
Ah, d'accord !

Aïden :
Et toi tu fais quoi ?

Victoria :
Je suis chez moi, je m'ennuie

Aïden :
Et tu veux que je vienne c'est ça ?

Tout en continuant d'avancer, le brun ressent une certaine pression, puisqu'il réalise qu'il n'a jamais été aussi sûr de lui qu'en écrivant ce message, et il espère que Victoria ne va pas le prendre pour de la prétention, car ce n'est dans ses habitudes d'être ainsi.
Aïden a juste l'impression qu'avec la brune, il peut parler sans filtre et avec humour, sans avoir besoin à chaque fois de le mentionner, et il est rassuré en lisant sa réponse.

Victoria :
Oui

Même s'il est un peu plus détendu, maintenant c'est lui qui ne sait pas comment prendre cette approbation.
Il ne sait pas si c'est de l'humour ou pas, alors voulant tenter le tout pour le tout, il hausse les épaules et écrit :

Aïden :
Je prend ma douche et j'arrive

Il range son téléphone la seconde d'après et entre chez lui tandis que Laïa s'approche, une brique de jus de fruits à la main, et le suit jusqu'à l'étage en lui racontant le contenu de sa vie avant de se jeter le lit du métis qui lui, est à la recherche de vêtements propres pour les emmener avec lui dans la salle de bain.

- Mais tu vas sortir là ?

- Bah ouais, pourquoi ?

- Gros il est neuf heure du matin, qu'est-ce que tu vas foutre dehors à cette heure là ?

Aïden récupère un short et un t-shirt puis se tourne vers sa sœur en souriant alors qu'elle écarquille les yeux.

- Oh putain je savais que ça puait la meuf !

- N'importe quoi, abuse pas

Laïa s'assoit convenablement sur le matelas.

- Comment ça n'importe quoi ? y'a plus personne que tu fréquentes dans la ville, ils sont tous partis, puis j'te vois pas te tailler si tôt pour une vieille connaissance. Et vas-y j'te vois bien chaque fois hein, à sourire devant ton tel' et à te parfumer à mort, tu crois quoi toi ?

𝖼𝖾 𝗊𝗎𝗂 𝗇𝗈𝗎𝗌 𝗅𝗂𝖾 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant