EPISODE 32 - Confesión

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- Ismael : Ne m'oblige pas à débarquer là-bas avec une femme menottée et avec du scotch sur sa bouche.

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PDV CATALEYEA

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PDV CATALEYEA

- Ismael : Nous sommes arrivés. annonce-t-il avec un grand sourire.

Il se penche vers moi pour me retirer mes menottes ainsi le scotch qu'il a collé sur ma bouche.

- Ismael : Arrivés là-bas, essaye de donner l'impression que je ne t'ai pas forcée à venir ici. m'ordonne-t-il. Et souris un peu.

- Pourquoi ? Tu as peur que les gens découvrent que tu séquestres des femmes ? Pour t'en servir comme accessoire. rétorqué-je avec une intonation moqueuse.

- Ismael : Cataleya, ferme ta bouche et descend. s'exclame-t-il avec agacement.

- Déjà, tu ne me dis pas ferme ta bouche. Et si tu veux que je descende, t'as intérêt à me parler correctement.

- Ismael : Tu préfères que je te dise "ferme ta g*eule" ?

- Aucun des deux. Adresse-toi à moi avec respect, c'est tout ce que je te demande. Continue de me parler comme ça et je te promets que je hurle que tu m'as kidnappée.

Il ricane en me regardant avec amusement.

- Ismael : Très bien. Voulez-vous bien descendre de ce van charmante demoiselle avant que je ne m'énerve. dit-il avec sarcasme.

Je descends de la voiture en colère mais lorsque je jette un coup d'œil autour de moi, mon agacement s'évanouit instantanément. Je me tiens devant une immense terrasse, observant la vue imprenable sur les montagnes qui se dressent devant moi. L'air est chaud et chargé de l'arôme de la nourriture qui s'échappe de la cuisine.
La terrasse est bordée de palmiers et de plantes exotiques. La verdure est partout, même au sol, où des herbes folles poussent entre les dalles de pierre.
Le restaurant est à la fois chic et chaleureux, presque familial.
Et les gens qui y sont respirent la bonne humeur, ils rigolent, certains dansent, et il y a même des enfants qui courent et jouent ensemble.
J'ai l'impression d'être transportée dans un autre monde tellement que l'ambiance est incroyable, un sourire se dessine sur mes lèvres sans que je ne le veuille.
Un homme s'avance vers nous et nous accueille chaleureusement.

- ?? : Ismael ça fait longtemps ! s'exclame-t-il en lui faisant une brève accolade.

- Ismael : Tu vas bien, Andrik ?

- Andrik : Oui super bien ! Eh bah ! Dis donc la dernière fois que je t'ai vu tu n'avais pas autant de bras. remarque-t-il en lui touchant les biceps. Il faut que j'aille m'entraîner avec toi, parce que depuis mon opération, j'ai tout perdu. Regarde comme mon corps fait pitié. ajoute-il en rigolant.

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