EPISODE 46 - La pérdida

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Désolée j'ai dépublié le chapitre car j'avais fait une grosse erreur au niveau du dialogue entre Ismael et Emilio. (J'ai écris Antonio au lieu d'Emilio... à la correction, je ne sais pas comment j'ai fait pour ne pas voir que j'avais modifié le prénom du père de Cat'...)
Du coup, j'ai corrigé ! C'est bon ! Bonne lecture !!!

)Du coup, j'ai corrigé ! C'est bon ! Bonne lecture !!!

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- Respire mon petit... respire...

Le souffle saccadé, je sentais que ma vie était en train de m'échapper.

- Respire, Ismael, me susurra-t-il. Si tu paniques, ce sera encore pire.

J'essayais de respirer, mais chaque inspiration se bloquait dans ma gorge.

- J'ai mal... j'ai si mal...balbutiai-je, ma voix brisée par l'angoisse.

Mon entraîneur fit un bref signe de tête, donnant ainsi un signal silencieux au monsieur qui se tenait à côté de moi.

- Pitié, non... non... implorai-je, secouant frénétiquement la tête de gauche à droite.

Je me débattais désespérément sur ma chaise, ligoté.

- J'vais pas pouvoir tenir... mon sang... mon sang... il coule sans s'arrêter... je me vide de mon sang. mes mots s'échappèrent de ma bouche tremblante. Je me vide de mon sang...

Les yeux, dépourvus de toute émotion, de mon entraîneur se posèrent sur mes blessures.

- Arrache-lui un ongle. ordonna-t-il d'une voix glaciale.

Je tournai la tête vers l'autre homme et vis qu'il s'approchait de moi avec une pince dans la main. Il se rapprocha de ma main et la maintint fermement.
Je fixai ma main, vulnérable et immobile, tandis que la pince se rapprochait lentement de mon ongle. Quand elle l'arracha , la douleur fulgurante traversa tout son être. J'ai l'impression que l'on m'a poignardé la main.

La douleur était tellement forte que des larmes involontaires dévalaient mes joues. Et je savais que j'allais devoir payer le prix de cette faiblesse.

Mon entraîneur s'approcha vers moi et il me frappa au visage.

- Un mercenaire ne pleure pas, un mercenaire ne supplie pas, un mercenaire ne montre pas sa faiblesse. cracha-t-il avant de m'asséner un autre coup dans le ventre. Je ne veux plus jamais voir de larmes sur ton visage, sinon je te crèverai les yeux.

- Fin du flashback -

PDV ISMAEL

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