Chapitre 23

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⚠️ TW : CNC (une scène qui décrit une interaction sexuelle où le consentement n'est pas verbalement donné sur le moment, mais ASSURÉ ultérieurement)

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Ayden


À pas de loup, je quittai la chambre. Le salon était plongé dans les pénombres, et le seul son qu'on entendait était celui de la pluie abondante. Les éclairs éclairciraient la pièce au moment où je débarquai, me permettant de trouver le canapé sans avoir besoin d'allumer la lumière.

Plongée dans un profond sommeil cotonneux, Éloïse ne me sentait pas approcher d'elle. Je me penchais pour observer son visage ; je la trouvais innocente. Trop innocente. Dangereusement innocente.

Je ne niais pas hésiter un peu avant d'abaisser le plaid qui la couvrait. Elle était toujours dans la même position, les mains enlacées sous sa tête, en guise d'oreiller, et les cuisses serrées et relevées vers sa poitrine. Celle-ci s'élevait et s'abaissait tranquillement. Elle était paisible, ne se doutant guère de ce qui tournait dans ma tête, de tout ce que j'avais envie de lui faire...

Un frisson tiède la parcourut lorsque ma main la retourna sur le dos, et ses bras s'étirèrent inconsciemment au-dessus de sa tête, exposant ses seins. Je lui écartai les cuisses sans cérémonie et me plaçai à genoux entre elles. Mes doigts touchèrent ses nichons, pincèrent ses tétons, caressèrent ses mamelons... Elle se tortilla un peu, mais ne se réveilla pas.

Dans son sommeil, elle se cambra. La volupté lui provoquait des rêves lascifs. Ma queue s'allongea dans sa cage en coton. Éloïse, bouche ouverte, respirait vite, comme quelqu'un qui faisait un cauchemar. Cette bouche ouverte m'excitait terriblement, mais si j'y enfonçais mon sexe, elle se réveillera.

Cessant de peloter ses seins, je me penchai pour gober son mamelon, comme un nourrisson affamé, et aspirai goulûment la pointe entre mes lèvres, tout en donnant des petits coups de langue au sommet du tétin. Mes yeux ne se détachaient pas de son visage. Elle dormait toujours, mais se mit à trembler de plaisir. Je ne la stimulais pas par charité, je voulais qu'elle mouille pour faciliter les choses.

Je glissai une main entre ses jambes, caressant les bords de sa chatte. Je lui ouvris le sexe, enfonçant mon majeur en elle, et ne bougeai plus. Je tremblais, moi aussi, et respirais fort. Je fis tourner mon doigt et posai mon pouce sur son clito, l'écrasant doucement. Elle s'arqua pour mieux me sentir. Elle jutait en abondance, une vraie fontaine !

— Petite salope, murmurai-je.

Ne pouvant plus résister, je baissai mon boxer et habillai ma queue d'une capote que j'avais prévu. Je tâtonnai entre ses poils intimes pour bien placer mon gland contre sa fente de chair baveuse. Je la soulevai par les fesses pour bien me positionner, et d'une seule poussée, je la pénétrai.

L'assaut la réveilla comme une gifle en plein visage. Elle poussa un cri et se redressa, mais j'agrippai sa gorge et la plaquai contre le canapé. Penché sur elle, ma bite fichée en elle jusqu'aux couilles, je vis la peur dans ses yeux. Je lui souris, comme pour la rassurer. Elle comprit que ce n'était que moi, et se détendit. Mieux que ça, elle feignait un sourire victorieux.

Je ne lâchai pas sa gorge, et la possédai sauvagement. À chaque coup de rein, ses seins bondissaient devant moi. Un râle lui échappa, une sorte de feulement ; l'instant d'après, ses cuisses encerclaient ma taille et elle me poussa plus profondément en elle. Ma bite la comblait délicieusement. Elle savourait. Elle se régalait. Mais hors de question de la satisfaire sans la décoiffer un peu.

Je me retirai, repoussant ses jambes, et la retournai pour la mettre sur le ventre. Je revins dans son vagin, dont les muqueuses s'écartaient sous ma poussée comme la chair d'une prune trop mûre. Je n'eus aucun mal à m'enfoncer profondément, elle mouillait tellement ! Putain que c'était bon !

Catharsis [Spin-off]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant