Quelques années ont passé, Enzo est âgé maintenant de dix ans, Clara et Mia sont âgées elles de huit ans et Lucas le petit dernier de cinq ans. Violetta vaquait à ses occupations telles que s'occuper de ses chevaux, les faire travailler. En milieu de matinée, Violetta et León reçurent la visite d'une jeune femme les suppliant de comprendre ce qu'avait sa jument. Violetta étant son dernier recours. Elle était âgée de cinq ans, avait une robe grise pommelée avec les crins gris foncés. Elle était très agressive et avait apparemment très peur de l'homme.
León et Violetta la firent descendre du van tout en lui parlant doucement. Elle tenta de les mordre à plusieurs reprises. Violetta la mit dans un box avec de la paille toute fraîche, la jument essayant de la mordre encore une fois. Après avoir mis la jument dans le box, ils rentrèrent dans la maison et ils discutèrent avec madame Velasquez pendant une bonne trentaine de minutes afin de tout leur raconter sur cette jument.
La propriétaire repartit et Violetta décida de retourner la voir dans la stalle. Elle lui tournait le dos avec les oreilles en arrière, signe qu'elle n'était pas du tout contente. Elle prit un seau, le remplit de granulés et déposa des gouttes d'huiles essentielles de lavande, d'amande et de camomille. Elle mélangea aussi à sa nourriture quelques cuillérées de valériane en poudre.
Ne pouvant rien faire de plus pour la soirée, Violetta décida de rentrer et d'attendre le lendemain matin voir l'état dans lequel sera la jument. Pendant le dîner, León ne desserra pas les dents. Quand Violetta alla faire un câlin à chacun de ses enfants avant qu'ils ne s'endorment, León lui a juste demandé de faire tout son possible pour la soigner car il adorait cette jument. C'était une magnifique jument. Elle lui fit une promesse comme quoi elle ferait tout ce qu'elle peut pour la guérir mais que ça allait être un travail de longue haleine.
Il voulut aider son épouse mais elle refusa. Elle lui raconta qu'elle était dangereuse et tant qu'elle ne saurait pas ce qu'elle a, elle ne voulait pas qu'il s'en approche. Il lui fit la promesse qu'il n'irait pas à ses côtés. Tandis que les enfants furent couchés et bien endormis, León et Violetta discutaient du cas de "Melody".
- Mon amour, tu dois être patiente avec elle comme tu l'as été avec tous les chevaux avant elle, lui dit-il pour la rassurer.
- Je le suis mais je ne comprends pas ce qu'elle a ! Et tu as entendu comme moi ce que la propriétaire a dit : si je n'arrive pas à la guérir, elle appellerait les abattoirs. J'ai peur de faire une bêtise ou quoi que ce soit.
Plusieurs jours passèrent et malheureusement, Violetta avait vraiment du mal à comprendre le comportement de "Melody". Elle décida d'appeler Joanna Velasquez, la propriétaire de la jument pour comprendre ce qui avait pu se passer chez le cheval. Cette dernière se présenta au haras et Violetta reçut la propriétaire et l'invita à entrer chez elle. León se trouvait aussi avec elles et ne dit rien puis écouta attentivement ce que cette femme avait à leur apprendre.
Après plusieurs minutes de discussion, madame Velasquez annonça directement à Violetta :
- Comme je vous l'ai annoncé à vous et à votre mari, il y a quelques jours, si vous n'arrivez pas comprendre d'où vient son agressivité, je me verrai contrainte de la vendre aux abattoirs car je ne peux pas me permettre d'avoir un cheval agressif avec mes élèves.
En entendant le discours de la propriétaire, León fut très en colère puis partit précipitamment de la maison.
Violetta constatait que la jument ne se nourrissait pas mais cependant, elle n'était pas en mauvaise santé. Ce qui l'intrigua fortement. Elle s'interrogeait énormément, se fit des suggestions, puis se dit que ce n'était pas possible et donc était devant un problème qu'elle n'arrivait pas à résoudre.
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Un amour interdit *Finie*
عاطفيةSynopsis Pourquoi tomber amoureux de la mauvaise personne, que celle-ci ait fait de la prison pour vol mais qu'elle s'est payé une conduite et qu'elle veut tirer un trait sur son passé. Toutefois, les sentiments ne se contrôlent pas... Et passer out...