Le Pacte De Cendrillon Tome 1. VERSION WATTPAD [Auto-Edité]

Chapitre 9.Les ennuis commencent.

Après plus de quatre heures de travail acharné nous avons réussi à vider la moitié du dressing et encore.

—Ce dressing est immense. Mon Dieu il est encore plus grand que mon ancien appartement.

—Ancien appartement ?

—Oui je l'ai quitté, lorsque j'ai commencé à travailler ici, il y'a deux ans.

—Tu as accepté de vivre ici ?

—Oui bien sûre, toute ma famille est au Texas, et moi et bien je préfère être ici, Je n'ai pas de loyer à payer, et en plus je n'ai pas à me déplacer. Pourquoi t'as pas accepté de vivre ici ?

—Eh bien. Fis-je en pliant un autre pantalon. Je vis avec mon frère et en plus je n'aurais pas la force de rester loin de 'lui, il est tout pour moi.

—Et si tu rencontrais quelqu'un que tu tombais amoureuse, et que tu te fiançais un jour Kim ?

—Moi me fiancer ?

—Oui Pourquoi tu sembles autant surprise.

—Eh bien je ne pense pas que je le serais, et même si ça devait se faire, et que je devais me marier Nathan viendra vivre avec nous, aussi simple que bonjour.

Elle semble convaincue. Je n'ai jamais pensé à ça, avec Sylvia qui cherche à me caser par tous les moyens.

—Je vais nous préparer un truc, des sandwichs tu devrais en profiter pour faire une pause. fit Mina en se levant. Il est presque Midi de toute façon. Et je meure de faim.

—OK.

Oui je vais prendre une pause, en priant que Suzanne ne monte pas ici pour vérifier le travail.

Bon Dieu qui aurait cru que vider un dressing serait si fatiguant. J'espère juste qu'une fois qu'il aura déménagé, il trouvera d'autres personnes pour faire son boulot. Hors der questions que j'y aille pour refaire la même corvée.

—Tiens vous n'avez pas encore fini ?

—Plus que quelques cartons monsieur.

Je dois reconnaître qu'il a la classe dans son costume gris.

—Oui je vois ça. Fait- il en passant devant moi...j'aspire malgré moi son parfum. Il sent divinement bon...

—Vous partez aujourd'hui ?

—Ça t'intéresse Kimberly ? Demande-il en souriant.

—Je suis désolée, si je suis un peu trop curieuse.

—Ce n'est pas grave oui je pars aujourd'hui je suis fatigué de cette maison.

—Mais c'est la maison dans laquelle vous avez grandi. Vous en avez de la chance.

—Oui mais je ne pense pas continuer à vivre seul ici. De la chance dis-tu ? Tu penses que c'est une chance de ne jamais voir ces parents et se demander s'ils existent réellement.

—Vous avez de la chance vous savez, vous avez vos souvenirs d'enfance ici. Bons ou mauvais, votre vie est liée à cette maison. Si je pouvais retourner vivre dans la maison de mon père, je pense que je serais la plus heureuse même s'il n'est plus là. Quelque part il sera toujours avec moi.

—Votre père est mort c'est ça. Je suis vraiment désolé.

Et il a l'air sincère. C'est ce qui est le plus troublant avec Christopher, je n'ai pas l'impression qu'il feint. Mais il est épuisant, il passe du chaud au froid en quelques secondes.

—Ça fait déjà quatre et bientôt cinq ans ne vous inquiétez pas. Ça va.

L'inconnu de la boite avait dit quelque chose comme ça. Sa petite amie est décédée presqu'au même moment.